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14/08/2015

Le pouvoir ?

Le Maire, aujourd'hui, une marionnette incompétente...

Thomas Degosse, Préfet du Morbihan et Olivier Lepick, Maire de Carnac.jpg

Une bonne connaissance de la Commune est l'élément prédominant, dans la capacité à diriger une commune en Morbihan... Pour des raisons professionnelles, le nouveau Maire fait souvent l'impasse de cette découverte du terrain, alors qu'il est "imprégné" par la zone où il habite !

C'est ainsi qu'aujourd'hui à Saint Pierre, on sent un basculement vers Kergroix et Portivy et un abandon de Kerbourgnec, du Grand et Petit Rohu... Le Maire a ainsi boudé la réunion des voisins du Petit Rohu, au profit d'un coup de champagne sur le Camp de camping municipal...

L'AREP, dans son assemblée souligne bien le manque de "coopération" avec la nouvelle équipe municipale... et l'incompréhension de décisions absurdes (économiques avant tout !) relative à la sécurité des plages de Penthièvre !

La hiérarchisation des actions est oubliée ici ! au profit d'un image "bling bling", qui détruit le capital de confiance illimité, juste après l'élection !

A Carnac, la danse du ventre du nouveau Maire, au profit des intérêts économiques et immobiliers des habitants de Carnac Plage, détruit complètement l'image du rôle d'arbitre de l'édile communal... fort heureusement le nouveau Préfet tient bon dans cette vaine querelle et présente une image plus agréable que celle du Maire, parisien !

L'application d'un programme (on pense ici à l'exemple présidentiel...) relève souvent d'un engourdissement de la vigilance intellectuelle... La mise en avant d'un Poste "important" dans l'Intercommunalité en devenir fait exploser les standards de la compétence et du bon sens !

La "course" à la représentation communale (souvent éphémère...) fait fondre le temps nécessaire à une réflexion saine et réaliste sur les problèmes locaux...

 Après une première saison d'été, dont les résultats devront être analysés, le Maire

retrouve aujourd'hui "les vrais problèmes"" des habitants de sa commune !


Panneaux, la floraison de l'été

Télégramme du  4 août 2015

 /Gabriel Simon

Les pré-enseignes doivent disparaître des bords des routes, des talus et rues.

 

 Ce sont ces affichages qui signalent des commerces ou services. Dans le pays de Vannes, les communes se préparent à faire appliquer la réglementation, doublement restrictive pour celles qui sont dans le Parc naturel régional. C'est en presqu'île de Rhuys que ces panneaux sont les plus nombreux avec une forte tendance à se multiplier en été.

 Depuis le 13 juillet dernier, les pré-enseignes sont uniquement autorisées pour signaler la vente de produits du terroir, les spectacles culturels et visites de monuments historiques.

Toute signalisation consacrée à des lieux de vente, des hôtels, garages, supermarchés, etc., est interdite, sauf certaines dérogations. Cette nouvelle réglementation est issue du Grenelle de l'environnement. Et si elle est applicable depuis le 13 juillet, il faudra sans doute un peu de temps avant que le texte soit appliqué.

 Les maires des communes concernées, celles de moins de 10.000 habitants, sont dans l'ensemble favorables, même si les situations varient d'un secteur à l'autre.

 L'été propice à l'affichage

« C'était déjà interdit mais non respecté, constate Jo Brohan à Muzillac. C'est une pollution visuelle importante et je ne sais pas ce que ça peut apporter aux professionnels quand il y a 20 panneaux à se suivre ». La commune de Muzillac, précise-t-il, n'est, toutefois, pas trop touchée par ce phénomène de profusion de pré-enseignes. Sur le même sujet, mais dans un registre différent, elle boucle actuellement un dossier de « Villes Étapes » qui lui permettra pour 2016 de bénéficier d'une signalisation sur la voie-express.

 Là où fleurissent surtout les panneaux, ce sont sur les routes touristiques, comme la départementale 780 qui traverse la presqu'île de Rhuys. « Ça pousse plus vite qu'on en enlève », précise David Lappartient, maire de Sarzeau.

 Sa commune a déjà fait des mises en demeure à leurs propriétaires pour les enlever. Quelque 90 panneaux ont été identifiés et géolocalisés. Il faudra s'attendre à une nouvelle piqûre de rappel après l'été. La saison est particulièrement propice en matière d'essaimage de pré-enseignes abusives et de publicités illégales.

 Il n'y a pas que cela : les poteaux, les ronds-points, les accotements, les délaissés de voirie, les bottes de paille s'ornent de toutes sortes de panonceaux, banderoles, totems, pour annoncer des fêtes locales, des vide-greniers, des expositions, le passage de cirques.

Tout cela dans une grande confusion visuelle, peu esthétique.

 Un coup de balai prévisible

 « On ne va pas se présenter aux JO de 2024 avec un affichage partout. C'est une question que nous allons aborder avec nos collègues de l'intercommunalité », dit Roland Tabart, maire d'Arzon et vice-président chargé du tourisme à la communauté de communes du Pays de Rhuys. Il faudra sans doute s'attendre à un coup de balai. Car à la préfecture, la DDTM (direction départementale des territoires et de la mer), qui sera chargée de faire appliquer la réglementation, va relever tous les panneaux en infraction. Cette réglementation concerne les communes de moins de 10.000 habitants à l'exception de celles qui font partie d'une unité urbaine de plus de 100.000 habitants où l'installation de pré-enseignes est libre en agglomération sous certaines conditions liées aux dimensions.

 C'est le cas pour celles de Vannes-Agglo.

Mais le Parc naturel régional du golfe va instaurer un second garde-fou. Toute signalisation sous forme de pré-enseigne sera interdite, conformément à la réglementation des Parcs naturels, à l'intérieur et hors agglomération, hormis pour ce qui ressort du patrimoine local (produits, culture, monuments historiques ouverts au public) et sous respect d'emplacements et de dimensions.

 Pour les enseignes proprement dites, apposées sur le lieu même de l'activité, leur droit, dans leur territoire du Parc, sera conditionné à l'autorisation du maire, si la commune est dotée d'un règlement local de publicité, sinon à celle du préfet.

 « On confond publicité et renseignement »

Parmi les professionnels qui devront enlever leurs panneaux, les hôteliers restaurateurs se trouvent aux premières loges. « On espère que jusqu'à fin septembre on nous laissera tranquille, dit Jean-François Serazin, du syndicat professionnel UMIH (Union des métiers et des industries de l'hôtellerie). Mais il y a un problème : la législation confond publicité et renseignement. Quand les grandes surfaces mettent des pancartes, c'est pour montrer qu'elles existent. Pour nous restaurateurs, c'est une information pour dire où nous sommes ». Des signalisations d'information locale sont destinées à remplacer ces pré-enseignes.

« Seront-elles les mêmes pour Vannes Agglo ou pour le Parc naturel ? », s'interroge Jean-François Sérazin. En complément Parc naturel. Des communes ont anticipé Des communes ont mis de l'ordre dans le domaine de l'affichage publicitaire anticipant la réglementation à venir du Parc naturel régional du golfe qui va interdire aux communes toute publicité sur son territoire à l'exception des communes dotées d'un règlement local de publicité. Ainsi, Séné et Theix ont pris un règlement commun. « Les pré-enseignes ont été démontées », précise Luc Foucault, maire de Séné.

Sur la publicité en général, sur les 17 grands panneaux 4X3 qui existaient route de Nantes, il n'en reste que deux et qui doivent être démontés.

 Dans ces deux communes deux zones ont été définies : une zone restreinte (les bourgs et les villages) où seules les enseignes sont tolérées sur les bâtiments à des dimensions précises et une zone de publicité élargie (Atlantheix, Poulfanc, Geispolsheim) où ne sont autorisés que les panneaux de plus petite dimension 4X2. Une option que les sociétés d'affichage publicitaire n'ont pas souhaité prendre route de Nantes. À Saint-Avé, un règlement de publicité locale a également été mis en place en 2011 « afin d'améliorer la qualité paysagère de la commune », conformément à l'Agenda 21. La pose de panneaux y est donc régulée et la voie du dialogue est choisie en cas d'infraction, précise la Ville, qui a, par ailleurs, mis en place des supports fixes de communication pour permettre aux associations d'annoncer leurs événements. Autre exemple : Baden va lancer une étude globale sur la signalisation à l'intérieur du territoire communal. Quant à Sarzeau, la commune va investir 450.000 € sur cinq ans pour refaire la totalité de sa signalétique

© Le Télégramme - Plus d’information sur http://www.letelegramme.fr/morbihan/vannes/panneaux-la-floraison-de-l-ete-04-08-2015-10728807.php

 

 

Arep, plus de zones de baignade souhaitées

 

Télégramme du  14 août 2015

 

 

 

 

L'assemblée générale de l'Association des résidants de Penthièvre a eu lieu mardi, à la chapelle. L'Arep (Association des résidants de Penthièvre) a tenu son assemblée générale, mardi, à la chapelle du village en présence de nombreux adhérents. Ce rendez-vous a été l'occasion de faire le point sur les aménagements de la plage mais aussi d'évoquer les doléances de l'association. L'assemblée générale proprement dite a été succincte.

 

 Avec 88 adhérents, le bilan est positif et la situation financière saine.

 

 La présidente Marie Gantois a passé rapidement sur les animations : tournoi de tennis et de ping-pong, pique-niques des voisins et nettoyages de plage.

 

 Les discussions ont porté davantage sur le rapport d'orientation avec la réalisation de fiches de travail qui seront consultables sur le blog et qui présentent les suggestions de l'association pour améliorer le cadre de vie : de nouveaux bancs, déplacement des conteneurs à ordures ménagères, marquages au sol, etc.

 

 « Moins impliqués dans les travaux du Plu »

 

 « Comme nous n'avons finalement pas participé financièrement à l'installation du tapis de mise à l'eau, a expliqué la présidente, nous allons proposer de nous associer à hauteur de 4.000 € aux travaux de réfection des cours de tennis ».

 

 L'avancée des travaux du Plu (Plan local d'urbanisme) a été évoquée par le vice-président, Pascal Lecomte : « Ce travail a pris un peu de retard, mais nous regrettons surtout d'être moins associé que précédemment, a-t-il insisté.

 

 La mairie nous a fait part de ses inquiétudes face à un nouveau classement englobant le Penthièvre et souhaité par l'État qui serait extrêmement restrictif ».

 

 Poste de secours

 

 La réunion a ensuite porté sur le nouveau zonage de la plage. « Nous avons rencontré avec d'autres associations, le maire, Laurence Le Duvehat, le 24 juillet dernier, a expliqué la présidente.

 

 Une commission nautique, sous la responsabilité de la préfecture, va être mise en place.

 

 Nous espérons qu'une situation plus fluide et cohérente sortira de ce travail afin que la sérénité revienne ». De nombreuses voix se sont élevées dans l'assistance dénonçant : « La volonté de faire de Penthièvre une zone d'activités pour sports nautiques au mépris des usagers de la plage ». Face à des demandes de recours et d'actions, la présidente a insisté sur sa vigilance et son souhait d'être constructive. Les votes se sont prononcés à l'unanimité pour le retour d'un poste de secours et pour une augmentation de la zone de baignade. La majorité s'est exprimée sur son mécontentement sur la taille du chenal.

© Le Télégramme - Plus d’information sur http://www.letelegramme.fr/morbihan/saint-pierre-quiberon/arep-plus-de-zones-de-baignade-souhaitees-14-08-2015-10739400.php

 

 

PPRLà Carnac, 450 personnes devant le préfet

 

Télégramme du 14 août 2015

 

 

 

 

 Les échanges sont restés très cordiaux, mais les positions de Thomas Degos, préfet, et d'Olivier Lepick, maire, restent inchangées.

 

 Le calendrier d'adoption, contre vents et marées, du PPRL (Plan de prévention des risques littoraux), s'accélère. Plus de 400 personnes assistaient à la deuxième réunion publique, organisée salle du Ménec mercredi soir, à l'initiative du préfet du Morbihan, Thomas Degos, accompagné d'Étienne Blandin, chargé de la présentation technique du risque de submersion marine.

 

 La première réunion publique a eu lieu le 13 juillet (Le Télégramme du 15 juillet). Elle évoquait très clairement le bras de fer engagé entre l'État et la commune pour que le PPRL puisse être approuvé par le préfet, au plus tard début 2016, après analyse par l'État des conclusions de la commission d'enquête. Celle-ci visera à déterminer si le projet de PPRL, porté à connaissance le 5 juillet dernier, a bien pris en compte l'ensemble des observations formulées par la commune et ses administrés.

 

Autant dire que l'étape de l'enquête publique, qui va se dérouler du 17 août à 9 h jusqu'au 18 septembre à 17 h, va être cruciale pour tenter, une dernière fois, de faire bouger les lignes. « Le risque, un excès de précaution de l'État » Le public est ainsi massivement appelé à venir en mairie rencontrer le commissaire enquêteur ou à communiquer par écrit (courrier ou mail) avec la Direction département des territoires et de la mer (DDTM) pour poser toutes les questions, relever toute incohérence (par exemple, concernant le rajout de marges d'incertitude dans le calcul du modèle d'aléas), formuler toute observation afin de tenter d'obtenir de l'État un assouplissement des contraintes résultant des cartes d'aléas et des prescriptions réglementaires correspondant à chacune des zones d'aléas identifiés (bleu, orange, rouge).

 

 « Il est indispensable de réagir pour ne pas être victime d'un excès de précaution des services de l'État, martèle Olivier Lepick, maire.

 

 Je suis prêt à aller contester in fine ce PPRL devant le tribunal administratif, s'il n'était pas modifié sur le fond, au vu des conclusions de l'enquête publique ».

 

 Ceci implique de donner du grain à moudre au commissaire enquêteur en répondant à la dite enquête.

 

Pratique

 

Contact : ddtm-pprlcarnac@morbihan-gouv.fr

 

En complément

 

Quatre associations pétitionnent Les quatre associations membres du Copil (Comité de pilotage du Plan de prévention des risques littoraux) font circuler jusqu'au 4 septembre une pétition afin de soutenir la position du maire Olivier Lepick qui souhaite obtenir un PPRL « au plus près du risque ». Cette pétition intitulée « Halte aux brèches à Carnac ! » vient compléter l'enquête publique. Elle réfute d'emblée les hypothèses théoriques d'ouverture de deux brèches forfaitaires sur la Grande Plage, telles que retenues par le cabinet DHI, mandaté par l'État. Deux études ignorées par l'État

 

 Ces quatre associations (Carnac marnage, Les Amis du littoral carnacois, Les Amis de Carnac et l'Union des commerçants de Carnac) s'appuient sur les deux contre-expertises réalisées par les cabinets Artélia et Arcadis, mandatés par la commune, à ses frais, mais qui n'ont pas fait bouger l'État d'un iota.

 

Leurs études concluaient à la non-pertinence de ces deux brèches. L'État n'a pas jugé utile à ce stade d'incorporer dans la modélisation de l'aléa établi par DHI les données scientifiques fournies par ces deux autres cabinets. Une réunion d'experts a bien eu lieu entre les services de l'État, la Direction générale de la prévention des risques (DGPR) et la Direction département des territoires de la mer (DDTM) - DHI et Artélia, mais ce qui en est ressorti n'a pas été communiqué.

© Le Télégramme - Plus d’information sur http://www.letelegramme.fr/morbihan/carnac/pprl-450-personnes-de

Commentaires

Une petite variante...
Tu l'a s appelée de toutes tes voeux; tu l'as; fais avec (la conclusion reste!)

Écrit par : JPD | 14/08/2015

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