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24/04/2015

Déchetterie de Quiberon, une erreur d'implantation ?

Le nouveau Maire de Quiberon esquive les vraies questions !

dechetterie de Quiberon.jpg

Lors de la réunion du village de Kernavest, l'implantation de la déchetterie à proximité des habitations est condamnée... la vidéo-surveillance n'est pas la bonne réponse !

Sur la presqu'île, l'implantation de cette installation en bout de presqu'île est une hérésie géographique... La logique voudrait que la déchetterie soit implantée à Saint Pierre Quiberon, et non à Quiberon, de manière à réduire les distances parcourues par les habitants et par les camions de Veolia...

Le vrai casse-tête est qu'à Saint Pierre Quiberon les zones disponibles ne sont pas bien reliées à la départementale.

C'est toujours l'étranglement de Kerhostin qui pose problème ! Pourquoi ne pas réétudier à nouveau l'axe routier d'entrée sur la presqu'île ? et ne pas enfin réaliser l'axe direct par le chemin du Pouladen !


 

Village de Kernavest, réunion publique

 

Télégramme du 24 avril 2015

 

 

 

 

 

 

Une petite trentaine de personnes se sont réunies autour du maire et de ses adjoints, mercredi soir, à Kernavest. Après Kermorvan et avant le bord de mer, de la place Hoche à Saint-Clément, c'était au tour du village de Kernavest d'accueillir, mercredi soir, le maire et ses adjoints pour une réunion publique. Peu d'habitants du quartier avaient fait le déplacement, à peine une trentaine. Au coeur des discussions, les nuisances sonores engendrées par le stand de tir voisin, tous les week-ends et parfois même en semaine avec une convention non respectée. Le maire, Bernard Hilliet, a expliqué qu'il était en contact avec les responsables et que des travaux d'isolation étaient en cours pour atténuer les bruits à défaut de les supprimer. Il n'est pas question d'ailleurs pour la mairie de condamner cette activité. Les riverains ont alors demandé à ce que les tirs soient suspendus le dimanche après-midi pour respecter le repos dominical.

 

La déchèterie en question

 



La déchèterie toute proche a également été évoquée. Pourquoi ne pas la déplacer loin des habitations ? Roland Le Guennec, premier adjoint, a expliqué qu'Aqta (Auray Quiberon Terre Atlantique), qui en est responsable, travaillait sur un vaste projet de réhabilitation du site et qu'en attendant, un système de vidéo-surveillance allait y être installé pour éviter les visites indésirables. Il a été demandé et obtenu que le Quib'Bus passe désormais par le village. Enfin, il a été évoqué des problèmes d'inondation en hiver (deux avaloirs vont être installés) et de mauvaises odeurs (Aqta va être contactée, ainsi que la Saur).

 


En savoir plus sur http://www.letelegramme.fr/morbihan/quiberon/quartiers-reunion-publique-a-kernavest-24-04-2015-10606321.php#VpcLvrOl2Ori063Q.99

 

 

Gestion des déchets, une politique inefficace selon l’UFC Que Choisir

 

Les Echos du 23 avril 2015

 

Myriam Chauvot

 

 

 

 

La France ne recycle encore que 23 % de ses déchets. - SIPA

 

La France a une politique de recyclage des déchets dont le coût augmente bien plus vite que les résultats. Et les objectifs 2016 ne seront pas atteints, signale l’association de consommateurs.

 

Pour sa dernière enquête, l’UFC Que Choisir a mis le nez dans nos poubelles et ça ne sent pas la rose. La facture payée par les ménages pour gérer les déchets a augmenté de 1,2 milliard d’euros soit +24% entre 2008 et 2012 (via le prix de vente des produits et la taxe d’enlèvement des ordures ménagères) pour atteindre 6,5 milliards d’euros, sans que le recyclage se soit significativement amélioré.

 

« La France ne recycle encore que 23 % de ses déchets contre 60% qui partent en incinération ou en décharge, souligne l’UFC Que Choisir dans une présentation de son étude. Dans ces conditions, on ne voit pas comment atteindre l’objectif de 50% de recyclage fixé par l’Europe pour 2020 ». Pour mémoire, par nature de déchets, la France recycle 67% des emballages ménagers et va devoir atteindre 75% en 2016 (et de 50 % à 80% pour les déchets électriques et électroniques).

 

Conflit d’intérêt

 

A qui la faute ? Tout d’abord, l’organisation générale du secteur. Il ne manque pas de moyens financiers, puisque les « pollueurs », c’est-à-dire les industriels et distributeurs mettant les produits sur le marché, paient des éco-contributions (répercutées dans le prix de vente des produits) selon le principe du « pollueur-payeur » adopté en 1992. Mais ces pollueurs délèguent leur obligation de gestion des déchets à des éco-organismes, qui perçoivent les éco-contributions. Ils en sont à la fois les actionnaires et les financeurs. Il y a donc conflit d’intérêt au niveau des éco-organismes, qui n’ont pas intérêt à diminuer leur volume d’activité en faisant de la prévention pour diminuer le volume de déchets à traiter, juge l’UFC Que Choisir.

 

L’Etat, qui a fixé le fonctionnement du système, est aussi en cause. Le contrôle des éco-organismes est inefficace, car il est partagé entre cinq organismes publics, dont les rôles respectifs ne sont pas clairs, tandis que les amendes sont ridicules : seulement 30.000 euros en cas de non atteinte de l’objectif de taux de recyclage fixé par leur cahier des charges, par exemple... Les pollueurs ne sont par ailleurs pas assez contrôlés non plus : « De 5% à 10% des tonnages mis sur le marché ne font l’objet d’aucune éco-contribution », estime l’association, pour qui il faut un organe de contrôle et de régulation unique des éco-organismes.

 

Recycler la politique des déchets

 

Par ailleurs, force est de constater que l’Etat n’a rien fait pour minimiser le volume de déchets générés, avant même de parler de leur recyclage. « Seulement 1 euro par an et par habitant est consacré à la prévention », note l’UFC Que Choisir. Il n’a pas non plus encouragé à développer les matières recyclables et à pénaliser celles qui ne le sont pas. Plutôt qu’un logo clair et unique apposé sur tous les produits pour indiquer aux consommateurs si l’emballage est recyclable ou pas, une myriade de logos coexistent actuellement, au sens parfois obscur.

 

Résultat : le sondage de l’UFC Que Choisir en atteste, les consommateurs ne s’y retrouvent pas : 59 % des sondés pensent par exemple que le logo rond vert contenant une flèche circulaire (référence à l’économie circulaire) appelé le « point vert » signifie que l’emballage est recyclable. Faux. Il signifie seulement que ce produit a fait l’objet du paiement d’une éco-contribution à un éco-organisme... Quant aux « bennes jaunes » à déchets recyclables, 30% ne sont pas jaunes. Tout aussi grave, les logos ne sont pas apposés sur 100% des emballages ou des produits. Selon l’enquête menée dans 64 départements, « seulement 6% des 80 produits analysés par l’association indiquent la part recyclable de l’emballage, s’indigne t-elle. Ce qui n’aide pas le consommateur à faire un choix raisonné au moment de l’achat ». Bref, la conclusion est claire : il est urgent de recycler la politique de prévention des déchets.

 

 

 

E-déchets, la Bretagne bonne élève en matière de recyclage

 

Télégramme du  23 avril 2015

 

A.M.

 

 

 

 

Photo François Destoc/ Le Télégramme

 

 L'année 2014 a été riche en matière de déchets électriques, 52 millions d'appareils ont été collectés, en France, afin d'être recyclés.

 

 La moyenne française fixée à 7,4 kg d'appareils électriques par habitant est largement dépassée en Bretagne, avec 9,2 kg de déchets électriques par habitant pour 2014.

 

 Les Bretons, bons recycleurs en 2014

 

Selon le dernier bilan publié par Eco-systèmes, l'année 2014 a été riche en matériel électrique usagé. En France, 52 millions d'appareils électriques ont été collectés dans le but d'être recyclés. Tandis que la moyenne nationale est fixée à 7,4 kg par an et par habitant, la Bretagne dépasse largement cette barre avec 9,2 kg par an et par habitant. Les performances de collecte des Bretons ont bondi de 7% par rapport à 2013, ce qui représente 30.236 tonnes d'appareils électriques et électroniques.

 

 Du frigo, à la machine à laver en passant par les téléphones portables ou les perceuses, en Bretagne, les habitants ont le réflexe d'aller jeter ces appareils dans les bornes de collecte prévues à cet effet.

 

Une seconde vie

 

 La reprise par les magasins, le don à Emmaüs, les déchèteries sont des solutions offertes aux Français pour ne pas déposer leurs matériels sur les trottoirs. Grâce aux 398 points de collecte disposés sur la Bretagne dans les magasins partenaires comme les grandes surfaces ou les vendeurs de matériels électriques. Ces appareils s'offrent une seconde vie par le biais de deux centres de traitement. Les appareils jetés sont en suite démantelés pour en récupérer la ferraille, les métaux non ferreux, le plastique, le verre ...

 

Pour dépoussiérer l'image du recyclage, "Collecter, c'est branché" est proposée le 30 mai aux Rennais, cette collecte de proximité a pour but de sensibiliser les habitants au recyclage des équipements électriques.

 

 41,8 millions de tonnes en 2014 Selon un rapport publié par l'Université des Nations-Unies, le poids des déchets électriques et électroniques a atteint 41,8 millions de tonnes en 2014.

 

 Ce chiffre est historique selon les experts, c'est la première fois qu'autant de déchets électriques ont été produits. Deux millions de déchets supplémentaires par rapport à 2013 ont été comptabilisés. Selon les auteurs de l'étude, le constat et les prévisions pour l'avenir sont tout aussi effrayants, en 2018, le seuil de 50 millions de tonnes devrait être franchi.

 

 L'explication de cette explosion de déchets réside en partie dans la durée des vies du matériel vendu, les appareils ont une longévité plus courte et les innovations ne cessent d'apparaître sur le marché, ce qui pousse les consommateurs a très vite remplacé leurs appareils.

 



© Le Télégramme - Plus d’information sur http://www.letelegramme.fr/bretagne/e-dechets-la-bretagne-bonne-eleve-en-matiere-de-recyclage-23-04-2015-10605392.php

 

 

 

 

 

 

 

 

Commentaires

Je ne vois pas bien en quoi la traversée de Kerhostin est plus un problème si la déchetterie est sur le territoire de Saint-Pierre que si elle reste où elle est.Peux-tu m'éclairer?
A moins que ce ne soit une nième occasion de nous parler de ta chère 4 voies...

Écrit par : JPD | 24/04/2015

j'ai peut être une solution aussi intelligente que les idées de JBH . Le rohu ne fait il pas parti de St Pierre ? pourquoi pas installer la déchetterie a la place du camping ? Pourquoi tu tousse JBH..?
Plus de tentes mais des sacs plastiques ça changerait un peut...et peut être que la deux fois deux voies pourrait passer dans ton jardin ..Du concret svp

Écrit par : papy | 24/04/2015

avec une centrale nucleaire aussi pour rechauffer l'eau!

Écrit par : von teufel | 24/04/2015

Ah "Le Manio" savez-vous au moins qu'auparavent c'était une carrière d'où furent extraits les blocs de granit qui servirent à construire PH. L'exploitant était monsieur Kernin dit "Boum-Boum". Il était le père de Maurice - colonel à la retraite- intarissable sur les histoires Quiberonnaises tant terrestres que maritimes.Maurice n'était-il pas embarqué en été sur des sardiniers pour payer ses études?


Les frais d'extraction et de transport étaient donc réduits au minimum pour le bien des impôts de la population Quiberonnaise qui ne l'oublions payait les travaux et les matériaux!

Dommage qu'à l'époque les caméras vidéo n'existaient pas. Nous aurions eu des preuves. Heureusement que la transmission orale n'est pas encore interdite et que certains acteurs et témoins sont encore bien vivants.
Tant qu'ils existera des Quiberonnais de naissance ou des Quiberonnais de coeur ils seront toujours emm.....
Nous sommes aussi têtus que le granite du Manio ou celui des menhirs est dur. C'est pas peu dire. Nous ne demanderons qu'en même pas à un "fils de"
de venir classer nos blocs de granite, ses émoluments sont trop élevés.

Écrit par : JCLG | 26/04/2015

le "fils de " c'est fil de pute, ou alors un parrain napolitain installé à Vannes? Celui qui serre les main de telle manière que l'on a l'impression d'avoir serré une queue de congre?

Écrit par : Tosseg | 27/04/2015

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