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15/03/2015

Les "anciens" et les "modernes"...

Les "départementales 2015" constituent un test politique majeur !

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Malgré leur caractère de dernière chance pour les "Départements", elles constituent un baromètre politique, qui sonnera ainsi la fin d'une politique de Gauche Ecolo !

De nombreuses réformes, en cours de vote, non abouties, risquent de rejoindre les profonds tiroirs de la République : la "transition énergétique", à l'heure historique de la baisse du prix du pétrole et de la faillite d'Areva, la politique" d'étatisation de la Santé", qui pense que le "tiers payant" va régler la question des futures vocations médicales, la réforme territoriale, qui ne sait pas trancher les "combines" du mille-feuille actuel, la simplification administrative, dépassée par les hordes de pseudo-fonctionnaires, recrutés par les emplois-jeunes, la gestion économe d'un Etat "boursouflé" par des réformes incessantes, la libéralisation de l'économie empêtrée dans les Entreprises publiques déficitaires, une Banque Publique d'investissement, qui risque de se retrouver à sec dans 2 ans, la création d'un branche "seniors" dans l'Assurance maladie, qui peine à trouver des places en Maisons de retraite...

Ajoutez les questions locales, que sont "la continuité territoriale", les "réseaux de communication" asthmatiques, le "chômage" local en raison de la saisonnalité touristique, la gestion d'AQTA, qui représente aujourd'hui une agrégation de syndicats mixtes existants et un "melting pot" politique...

L'avenir est dans les mains des jeunes, ayant des convictions de Droite !


 

François Goulard, rester dans le jeu

 

Télégramme du 13 mars 2015

 

Bertrand Le Bagousse

 

 

 

 

Le scrutin des 22 et 29 mars constitue un enjeu majeur pour François Goulard qui, après ses défaites aux dernières sénatoriales et législatives, n'a plus que la scène départementale pour s'exprimer.

 

François Goulard fait campagne dans le canton de Vannes 1.

 

Pour lui, l'enjeu est double : gagner son siège, le seul qui lui reste, pour rester dans le jeu politique et garder le Morbihan à la droite et au centre. Pour la troisième fois, François Goulard redescend dans l'arène des élections cantonales, appelées aujourd'hui départementales. La première fois, c'était en 1998 : un mandat interrompu en 2001 pour ne pas tomber sous le coup du cumul (maire et député). La deuxième, en 2011 : celle qui l'a porté à la présidence du conseil général.

 

 2015 sera donc sa troisième campagne...

 

Pour garder l'héritage transmis par Raymond Marcellin qui l'a lancé en politique en 1997, il doit d'abord gagner son siège : celui de Vannes 1, anciennement Vannes centre. Un canton moins favorable Simple formalité ? Pas si sûr car des bureaux du quartier de Kercado, pas vraiment pro-Goulard, ont été rajoutés à Vannes 1. « Ce canton a été redécoupé et il nous est moins favorable que l'ancien, dit-il, mais tous les commentateurs nous annoncent des élections plus faciles qu'en 2011. On aborde ces élections sereinement car on a un bilan favorable avec un département classé le mieux géré de France et dans un contexte national qui n'est pas favorable à la gauche ».

 

François Goulard, en chef de la majorité départementale, a bien préparé son plan de bataille.

 

 L'union de la droite et du centre a été bétonnée presque partout sur le département. Même David Lappartient, le maire de Sarzeau, avec qui ça a chauffé, est rentré dans le rang : « On a de très bons candidats qui représentent bien leur canton, ce qui n'était pas simple avec le nouveau découpage qui n'a pas été fait pour nous favoriser et qui rebat complètement les cartes ». Un redécoupage qui pourrait même induire de l'abstention affirme le candidat qui entend la grogne des électeurs dans certains cantons.

 

 Duels avec le FN : « Nous les gagnerons »

 

 La menace du Front national ? Même pas peur ! « Le mode de scrutin fait que la percée du FN est moins menaçante pour les départementales que pour les autres élections. Le FN est redoutable dans les élections à la proportionnelle. Certes, il y aura des duels avec le FN et nous les gagnerons », assure le candidat sur Vannes 1 et à sa succession à la présidence.

 

 Une présidence, ou plutôt un mode de gouvernance, souvent critiquée par l'opposition.

 

« Opacité ! Quelle opacité », s'étonne François Goulard qui rappelle qu'il y a là pour ses opposants une part de tactique. « À chaque fois, l'opposition est représentée dans toutes les commissions. Mais par tempérament, j'aime que les choses soient claires. On est dans une période où les responsables politiques doivent écouter mais aussi décider ». C'est dit !

 

 Un lien avec le Morbihan Quand François Goulard regarde dans le rétroviseur de ces quatre dernières années, il voit un lien qui s'est tissé avec le département. Au fil des déplacements, il dit avoir découvert la vie départementale et ses problèmes : « Un vrai lien avec la collectivité que la fonction instaure : on se sent défenseur des intérêts des Morbihannais ».

 

 Il met en exergue les bonnes relations avec les conseillers généraux, un groupe « sympathique », et le peu de divergences entre eux. Pour le mandat à venir, il souhaite jouer encore plus collectif en associant les élus à toutes les décisions. Si les électeurs de Vannes 1 lui renouvellent leur confiance... Les mails de Nicolas Sarkozy Le scrutin des 22 et 29 mars constitue un enjeu majeur pour François Goulard qui, après ses défaites aux dernières sénatoriales et législatives, n'a plus que la scène départementale pour s'exprimer. Mais, comme on dit, on ne meurt jamais en politique...

 

L'ancien maire de Vannes reste un animal politique et garde le contact avec Paris. Du moins avec Nicolas Sarkozy qu'il a vu en décembre dernier. « C'est un président de l'UMP très actif. Je reçois au moins un mail par jour »...

© Le Télégramme - Plus d’information sur http://www.letelegramme.fr/morbihan/francois-goulard-rester-dans-le-jeu-13-03-2015-10555738.php

 

 

Divers gauche aux Départementales, de nouvelles politiques

 

Télégramme du 14 mars 2015

 

 

 

 

Simone Ansquer et Tibault Grollemund tenteront de faire passer le canton à gauche. (photo d'archives)
Le binôme divers gauche, Simone Ansquer et Tibault Grollemund, veut faire basculer le canton de Quiberon. Leurs idées sur les compétences du département.

Quelles sont, selon vous, les compétences que doit absolument conserver le département ? Pour quelles raisons ?
L'échelle départementale associe parfaitement cohérence territoriale et proximité locale, c'est pourquoi le département va conserver, notamment les compétences sociales : petite enfance, handicap, personnes âgées... Le département ne doit exclure personne et être présent auprès des plus fragiles. Et parce que les Morbihannais sont concernés dans leur quotidien par les choix du département, nous nous devons d'impulser de nouvelles politiques en matière de santé, d'économie, de voirie, de gestion des collèges, d'accès à la culture...

Sur ces compétences bien précises, quels sont les actions et les dossiers que vous souhaiteriez porter en priorité ?
Concernant les personnes âgées, il est grand temps de se donner les moyens avec un schéma global, en confortant le maintien à domicile et en développant l'accueil en maison de retraite. La jeunesse à toute sa place sur le canton, il faut pour cela emploi et logement. Sur le transport maritime, il sera impératif d'accompagner son probable transfert à la région. Nous serons des élus de terrain et prendrons à bras-le-corps les nouveaux dossiers porteurs pour notre canton.

Les incertitudes qui pèsent sur les transferts de compétences faussent-elles cette campagne en embrouillant l'esprit d'électeurs ?
Les incertitudes viennent d'être levées par un vote adopté en première lecture par l'Assemblée nationale. En clarifiant notre organisation territoriale, les citoyens pourront mieux identifier le rôle du département. Cette réforme va alléger le mille-feuille administratif et notamment les « doublons » de compétences entre la région, le département, les intercommunalités et les communes. Chaque euro dépensé doit l'être efficacement et pour rendre un meilleur service public, c'est ce qu'attendent les électeurs.
En savoir plus sur http://www.letelegramme.fr/morbihan/quiberon/divers-gauche-de-nouvelles-politiques-14-03-2015-10557904.php#43Yl6y0bs1ldu4eP.99

 

 

 

 

 

 

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