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13/03/2015

Services publics et nouvelle structure administrative...

La "recentralisation" administrative implique une forte réorganisation des services publics !

Mission locale du Pays d'Auray, site.jpg

La création d'AQTA, les transferts de compétences prévus entre Départements et Région Bretagne doivent "à terme" impliquer les services publics "de proximité".

La répartition des rôles entre Police et Gendarmerie ne touche que les grandes villes du Morbihan : Vannes, Lorient, Auray et Pontivy. En campagne, la presqu'île de Quiberon dépend de l'antenne de gendarmerie de Carnac...

Les "sapeurs pompiers", gérés par des syndicats mixtes différents, sont encore localisés à Quiberon. Ils sont en retard d'une révolution par rapport à la Gendarmerie !

L'emploi, variable politique stratégique, est morcelé entre Pôle emploi (structure nationale), mission locale du Pays d'Auray avec ses antennes dans les Mairies de la presqu'île...ce qui nuit à l'efficacité globale (face à Internet) et contribue à en augmenter le coût ! La gestion "régionale" future devrait conduire à une "recentralisation" et à une disparition de ce morcellement stupide...

Le tourisme, qui remonte "normalement" à la Région, est encore écartelé entre communes", rétives à lâcher leur OT, Intercommunalité AQTA, qui n'a pas encore de religion, Département, qui garde une compétence et Région Bretagne ! Un beau gâchis en perspective !

L'administration fiscale, déjà repliée à Carnac en ce qui concerne la presqu'île et les communes, n'a pas totalement mué, alors que l'informatisation importante, l'usage de l'Internet pour le contact et les déclarations permettent une "relocalisation", soit départementale, soit régionale.

L'Education nationale reste divisée en 3 tranches avec un rectorat régional ! Les écoles aux communes, les collèges au Département du Morbihan et les lycées à la Région. Ce qui explique la "révolution" ratée du "Numérique" dans cette galaxie !

Les nouvelles technologies donnent fort heureusement un "nouveau visage" aux services publics de demain !


Police-gendarmerie, redéploiements en vue en Bretagne

Télégramme du  12 mars 2015

Hervé Chambonnière

 

Plusieurs sources le confirment, le transfert de Morlaix en zone gendarmerie est "en gestation" et ne semble "pas poser de difficultés". La Cour des comptes déplore les rivalités qui existent entre services d'enquête - qui affichent, par ailleurs, des taux d'élucidation très contrastés - et critique "une répartition des effectifs déséquilibrée".

 En Bretagne, comme ailleurs, des redéploiements sont attendus, comme nous l'évoquions déjà hier.

Dans un sévère référé de la Cour des comptes rendu public mercredi, police et gendarmerie en prennent pour leur grade. La police tout d'abord : services d'enquête de la sécurité publique et de la police judiciaire "fonctionnent de façon cloisonnée" et partagent encore trop peu le renseignement criminel. La Cour recommande de leur donner un commandement commun (comme à Paris).

Les magistrats critiquent ensuite la "concurrence" entre police et gendarmerie, qui "se disputent l'attribution des affaires complexes" et coopèrent peu. Et de pointer la répartition déséquilibrée des effectifs d'enquête, qui ne repose que trop peu sur l'activité judiciaire et la délinquance (davantage liée au nombre d'habitants) : cas d'unités de gendarmerie où les faits de délinquance par gendarme peuvent varier de 1 à 14, et d'antennes de police judiciaire où la charge de travail varie du simple au triple... Trois enquêteurs à Quimper La conséquence ? Une efficacité qui est, elle aussi, très contrastée, allant parfois du simple au triple, en zone police comme en zone gendarmerie. La Cour cite, notamment, l'exemple du taux d'élucidation des atteintes aux biens de la sûreté départementale (police) du Finistère (6,4 %), deux fois moins important que celui affiché dans le Maine-et-Loire et la Meurthe-et-Moselle (14 %).

 La Cour s'interroge aussi sur la pertinence du maintien des unités les plus petites et/ou les moins actives et/ou situées sur les zones à faible délinquance.

 Le cas de l'antenne de police judiciaire de Quimper (trois enquêteurs, la plus petite relevée dans le rapport) est cité dans un paragraphe consacré aux unités dont les effectifs sont "mal calibrés en fonction de l'activité judiciaire". Pour la police judiciaire, justement, la Cour évoque des "possibilités de restructuration", notamment pour "les antennes implantées dans des villes dotées d'une sûreté urbaine ou dans des départements où une large part de la délinquance est enregistrée en zone de gendarmerie". Le ministre de l'Intérieur a, d'ailleurs, déjà répondu en estimant "possible" la fermeture d'antennes. Transferts : Morlaix et une autre ville bretonne Pour la gendarmerie, la Cour fait le même constat. Tout en relevant que 102 brigades territoriales de proximité, 40 brigades territoriales autonomes (BTA), 26 brigades de recherche ont fermé en quatre ans (2009-2012), les magistrats recommandent d'"amplifier le mouvement de rationalisation de l'implantation des brigades territoriales et des brigades de recherche dont l'activité est la plus faible". Selon nos informations, plusieurs réaménagements pourraient intervenir en Bretagne, "avec davantage de regroupements et d'éventuelles fermetures de petites brigades".

 En marge du rapport de la Cour des comptes, plusieurs sources nous ont confirmé que le transfert de Morlaix en zone gendarmerie était "en gestation" et ne semblait "pas poser de difficultés". Un autre transfert police-gendarmerie, "beaucoup moins abouti", serait à l'étude pour une autre ville de taille comparable, dans un autre département breton. En revanche, le basculement de Guipavas et du Relecq-Kerhuon (Finistère) en zone police n'est "pas à l'ordre du jour" et n'aurait même "jamais été évoqué".

© Le Télégramme - Plus d’information sur http://www.letelegramme.fr/finistere/morlaix/police-gendarmerie-redeploiements-en-vue-en-bretagne-12-03-2015-10555641.php

 

 

 

Mission locale d'Auray, un nouveau site Internet

 

Télégramme du 13 mars 2015

 

 

 

 

Le site Internet de la Mission locale vient de bénéficier d'un rafraîchissement. Si vous désirez connaître un peu mieux les programmes et le but de la mission locale, un clic et vous y serez. Le site vous tient informé de l'actualité de la Mission locale. Ce sont trois étudiants de l'IUT de Vannes qui ont procédé à la modernisation. Sur notre photo Lorène Rouinvy, Cécile Journeaux au premier plan, avec Laure Le Paih, conseillère en insertion à la Mission locale, et Olivier Cojan, président.

 


En savoir plus sur http://www.letelegramme.fr/morbihan/auray/mission-locale-un-nouveau-site-internet-13-03-2015-10556503.php#zguf4GpoYDBJl2MH.99

 

 

 

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