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13/03/2015

Les "véritables" questions économiques échappent aux politiques !

Autoroutes, Internet de demain, liaisons innovantes avec Belle-île, gestion informatique des comptabilités sont les vraies préoccupations des français !

Pharmacies et logiciel comptable.jpg

La remise en cause stupide de la structure juridique de la "concession" est une faute politique grave, à partir d'un rapport erroné de la Cour des Comptes... Statut, qui fit le bonheur des juristes du 19ème siècle, aujourd'hui oublié... L'issue de l'affaire est d'autant plus dôle, que l'Etat doit consolider cet état de fait en accordant de "nouvelles concessions" pour l'extension du programme autoroutier, ainsi que la coïncidence avec les bouchons autoroutiers lors des vacances de neige !

SFR, Bouygues et maintenant Free utilisent gratuitement la technologie de Google pour piloter leur box internet ! La "téléphonie mobile" a déniaisé l'utilisateur français, qui utilise avec appétence Androïd et le Play Store de Google... Le WiFi "direct" permet de faire la même chose avec un mobile et une télévision "chromecastée"... La technique française, ringarde, est mise au placard. Il ne reste aux opérateurs, que les lignes (pour combien de temps ?) et la facturation...

Belle-île devient en Mai 2015 le lieu de tous les possibles, avec une fibre "surmultipliée" ! Une vraie concurrence pour la presqu'île de Quiberon, qui reste engluée dans une technologie vieillie...

La comptabilité est devenue "informatisée" depuis 20 ans. Les tentations de fraude sont plus anciennes encore...Attention aux coups de bâton, dans une profession, qui gagne encore bien sa vie !

Les "mutations économiques" roulent décidément plus vite que la lumière...


Vers une sortie de crise entre l'Etat et les autoroutiers ?

Le Monde.fr du 11 mars 2015

 Un groupe de travail a rendu mardi ses conclusions concernant les consessions autoroutières au premier ministre, Manuel Valls, et une sortie de la crise entre l'Etat et les autoroutiers semble enfin se dessiner. Le groupe de travail dit souhaiter notamment une contribution supplémentaire des sociétés concessionnaires au financement des infrastructures. Un consensus s'est également dégagé sur trois points : d'abord, "une modulation des tarifs de péages, en particulier pour les véhicules sobres et peu polluants" ; ensuite, l'examen et le suivi du plan de relance au Parlement ; et enfin "la mise en œuvre par l'Autorité de régulation des activités ferroviaires et routières (Arafer) d'un audit systématique et d'un suivi annuel des taux de rentabilité interne (TRI) de chaque concession". En revanche, le groupe a jugé "particulièrement aventureux" de se lancer dans un processus de résiliation des concessions autoroutières, qui rendrait nul et non avenu le plan de relance de 3,2 milliards d'euros dans la balance, selon un communiqué de ses membres socialistes.

 Négocié de longue date et validé par Bruxelles, le plan de relance autoroutier prévoit en échange une prolongation des concessions, qui expirent en l'état dans une quinzaine d'années

 

 

Autoroutes, vers un compromis avec les concessions autoroutières

 

Le HuffPost avec AFP du 10 mars 2015

 

 

AUTOROUTES - Finalement, c'est le compromis qui a été préféré à la dénonciation des contrats de concession. Le groupe de travail sur les autoroutes a rendu sa copie ce mardi 10 mars et se prononce en effet pour un dégel des tarifs des péages, mais souhaite cependant que la reprise des augmentations s'accompagne d'une modulation liée à des critères écologiques, selon un document interne obtenu par l'AFP.

 

Installé par Manuel Valls, le groupe de travail sur l'avenir des concessions autoroutières est composé de parlementaires et de représentants de l'administration devant formuler une série de propositions qui servira de base pour les mesures à venir.

 

"Le gouvernement va prendre le temps de regarder toutes les pistes qui seront proposées afin de finaliser, en toute transparence avec ledit groupe, la négociation avec les sociétés concessionnaires d'autoroutes", a assuré lundi 9 mars Emmanuel Macron dans un entretien accordé à l'AFP.

 

"Un effort significatif"

 

Ces discussions portent sur le montant de la hausse des péages et le déblocage d'un plan de relance prévoyant 3,2 milliards d'euros de travaux sur l'ensemble du réseau autoroutier, compensé par un allongement de la durée des concessions. "Le groupe de travail s'est montré favorable à un lancement rapide du plan de relance. Le groupe de travail attend cependant des concessionnaires un effort significatif pour réduire le plus possible l'allongement envisagé des concessions", selon le document.

 

De même source, le groupe de travail souhaite qu'une "contribution significative soit d'ores et déjà apportée, d'une manière ou d’une autre, au financement des infrastructures, en complément des montants actuels", notamment de la redevance domaniale. Le texte évoque aussi la possibilité d'une "formule, inspirée des contrats de concession les plus récents, en faveur d'un partage des fruits de la concession, notamment sous forme de raccourcissement de la durée de la concession ou de baisse des tarifs".

 

Une "parodie de consultation"

 

Le gouvernement et les SCA entretiennent des relations tendues depuis septembre, quand un rapport de l'Autorité de la concurrence a pointé leur "rentabilité exceptionnelle" de l'ordre de 20% ou plus par an, sur fond de hausse des péages supérieure à l'inflation depuis leur privatisation il y a près de 10 ans.

 

Mais les concessionnaires d'autoroutes contestent ce calcul, jugeant que leur rentabilité doit se calculer sur l'ensemble de la durée des concessions, soit une trentaine d'années, et est cohérente avec la moyenne du secteur des travaux publics.

 

Dénonçant un "abus de pouvoir", les sociétés ont attaqué devant le Conseil d'État le gel par le gouvernement de l'augmentation de 0,57% des péages prévue au 1er février. Lundi 9 mars, le président PS de la commission du Développement durable de l'Assemblée nationale, Jean-Paul Chanteguet, partisan d'une résiliation des contrats, a pour sa part claqué la porte du groupe de travail en disant refuser de cautionner une "parodie de consultation". Ce dernier déplorait le fait que les conclusions privilégiées par le gouvernement écartaient l'éventualité d'une résiliation des contrats d'autoroutes.

 

 

 

 

Les opérateurs télécoms donnent les clefs à Google

 

Les Echos du 10 mars 2015

 

Fabienne Schmitt

 

 

 

 

Free emboîte le pas de SFR et de Bouygues Telecom.

 

Faut-il accueillir Google dans sa box ? Les opérateurs ont fini par s’y résoudre. SFR a été le premier à embarquer Android, le système d’exploitation mobile de Google, dans une de ses offres - avant son rachat par Numericable qui préfère mettre en avant la box TV fibre. Bouygues a suivi avec sa box Miami, plus complète, disponible depuis fin janvier pour les clients de l’opérateur. Free leur emboîte donc le pas , alors même que Maxime Lombardini, son directeur général, jurait ses grands dieux, en octobre, qu’on ne l’y prendrait pas. « Jusque-là les opérateurs contrôlaient leurs box [...]. Demain, quand on aura un parc Android sur la France entière, ce sera Google qui depuis Mountain View pourra décider de la VOD qui sera distribuée », s’insurgeait-il. Hier, le dirigeant se défendait d’avoir été aussi catégorique. « Nous sommes des gens pragmatiques. Avec Google, on estime avoir obtenu des conditions satisfaisantes pour travailler ensemble. Mais on le fait à notre manière ».

 

« Faire entrer Google dans la maison »

 

Il n’est pourtant pas anodin de « faire entrer Google dans la maison » comme l'a si bien dit Xavier Niel ce matin. En réalité, les box évoluent de moins en moins en système fermé totalement managé par les opérateurs. Que Xavier Niel, le visionnaire des télécoms, décide d’ouvrir sa box à un autre, lui qui se distingue en matière d’innovations, lance un signal très fort sur le marché. « La question, c’est : est-ce que tu ouvres ta box, ou est-ce qu’elle est contournée par différentes clefs Internet comme Roku ou Chromecast ? », résume un bon connaisseur de ces questions.

 

Aujourd’hui, Orange reste le seul à ne pas avoir cédé aux sirènes d’Android en France. « Il ne faut pas compter sur nous pour faire la même chose, plaide-t-on chez l’opérateur. Nous avons fait le choix de l’investissement maison. Tous les grands acteurs mondiaux travaillent sur des interfaces multi-écrans. On a les ressources humaines pour le faire ».

 

Orange n’a pas vraiment intérêt à ouvrir sa plate-forme. « L’enjeu, c’est de générer des revenus additionnels à partir des services de la box. Cela nécessite de maîtriser l’expérience client de bout en bout », explique Sylvain Chevallier, chez Bearing Point. Une chose est sûre : Android, qui équipe plus de 80 % des smartphones vendus dans le monde, accroît chaque jour un peu plus sa domination sur le marché.

 


En savoir plus sur http://www.lesechos.fr/tech-medias/hightech/0204215826613-les-operateurs-telecoms-donnent-les-clefs-a-google-1100711.php?JZuZpjbwHAHySCPt.99#xtor=EPR-12-%5Btech_medias%5D-20150311-%5BProv_%5D-1104545%402

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le câble du XXIe siècle à Belle-Ile

 

Télégramme du 12 mars 2015

Commentaires

J'aurais tendance à croire que la préoccupation majeure de la majorité des Français est: comment vais-je finir ce mois-ci? Et les prochains?
Et qu'ils sont bien loin de tes problèmes de nanti!

Écrit par : JPD | 13/03/2015

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