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09/03/2015

La Bretagne, aux mains des résidents secondaires...

Les paysans bretons ont vendu leurs terres aux "parisiens", surtout sur la presqu'île et sur les îles ! 

Le Palais à Belle-île.jpg

Un vrai sujet de campagne électorale pour les départementales... Qui vote encore dans les communes, où les résidences secondaires représentent 70% des logements !

Les "locaux", au fond ne sont plus "représentatifs"... ils devraient se recycler en "Région parisienne", où le "breton" n'est pas subventionné par la Région...Ils râlent, ne sont pas aimables, et manquent d'ouverture d'esprit...

La prochaine révolution est évidemment l'inscription de "tous les parisiens" sur les listes électorales de la Commune de Saint Pierre Quiberon !

Une nouvelle équipe pour diriger la commune ?


Belle-Ile, un foncier qui échappe aux insulaires

Télégramme du 7 février 2015

 

Si Belle-Ile n'est pas la seule à subir une crise du logement, l'insularité agit comme un catalyseur. Les îles constituent des territoires convoités et chargés d'imaginaire. Elles attirent les continentaux en quête de dépaysement. Belle-Ile ne fait pas exception. Dans cette carte postale véhiculée par les médias et la politique touristique locale, les touristes et résidents secondaires s'y pressent aux beaux jours. À l'opposé, février offre un autre visage. Comme à Sauzon, dit le plus beau village, aux volets fermés et rues désertes. Belle-Ile bénéficie d'une hausse de population, sauf que les retraités sont désormais plus nombreux que les actifs. Autre constat : le cours du foncier. Illustration dans les vitrines des trois agents immobiliers et des deux notaires insulaires. Alors comment expliquer les tarifs affichés ?

Insulaires : difficile d'accéder à la propriété



Les insulaires ont été les premiers à vendre aux touristes terrains, granges ou maisons à retaper, entraînant, au fil du temps des reventes, une hausse de l'immobilier constatée depuis la fin des années 1990. Conséquence pour les insulaires : des difficultés d'accession à la propriété, doublées d'une inadéquation entre l'offre et la demande du parc locatif. Les annonces immobilières « ne traduisent qu'une intention de vendre », résume un notaire. « Un bien affiché à 400.000 € peut finalement se négocier 20 % moins cher ». « Nous devons naviguer entre le souhait du vendeur et les moyens des acquéreurs potentiels, explique un agent immobilier. Ce qui entraîne un flot de biens à vendre, et le marché stagne ».

De 3.500 à 9.000 € le mètre carré



Le ticket d'entrée d'un bien à Belle-Ile est en baisse. Une maison de quatre pièces avec travaux s'affiche à 280.000 €. Et le prix du mètre carré n'est pas un élément fixe. Entre 3.500 € et 9.000 €, « Tout dépend de la situation du bien. Ceux face à la mer, rares, sont très élevés. Et aussi, des travaux à effectuer qui, ici, sont de 20 à 40 %, voire 50 % de plus que sur le continent ». Autre critère, qui celui-ci reste mystérieux : « Le coup de coeur ! ». Aujourd'hui, le marché se fait avec les non-résidents. Soit près de 75 %. Les insulaires évitent l'agence. Mais on constate que le marché du logement dans les îles échappe de plus en plus aux habitants permanents. Alors quel sera l'avenir ? Un élu palantin a exprimé un avis pessimiste, laissant présager que les îles puissent peu à peu se vider d'insulaires pour des résidents secondaires, devenus les principaux propriétaires, présents quelques semaines par an. Un poids électoral qui pourrait aussi redistribuer les cartes.


En savoir plus sur http://www.letelegramme.fr/morbihan/le-palais/belle-ile-un-foncier-qui-echappe-aux-insulaires-07-02-2015-10519375.php#C5G4IbCSE2ps8rqM.99

 

 

Région Bretagne, 180.500 d'euros de subventions au Pays d'Auray

 

Télégramme du 9 mars 2015

 

 

 

Lors de la commission permanente du 5 mars 2015, le conseil régional de Bretagne a accordé plusieurs subventions au Pays d'Auray, à hauteur de 180.500 €. Ces aides sont attribuées pour assurer le développement du territoire. Parmi les décisions votées, on peut retenir près de 23.600 € pour le lycée de Kerplouz. Le conseil régional accompagne la vie des lycéens en participant à l'amélioration des équipements pédagogiques dans les lycées. Ainsi, le lycée agricole et horticole de Kerplouz bénéficie de plusieurs subventions à hauteur de près de 23.600 €. Cette somme va permettre d'équiper l'établissement, afin d'offrir aux lycéens un environnement de travail de qualité. Une somme de 23.300 € sera également versée pour développer la langue bretonne : fière de sa culture, la Bretagne encourage les initiatives de promotion des langues bretonnes. ?uvrant à cet effet, la SARL Lionnel Buannic Krouin d'Étel va recevoir une aide de 23.300 € pour la production en langue bretonne de la série « Skrivagnerien ». Enfin, la Région soutient les projets de valorisation du patrimoine. Pour ce faire, 30.712 € ont été accordés à la ville d'Auray, afin de restaurer les façades de l'hôtel de ville.

 


En savoir plus sur http://www.letelegramme.fr/morbihan/auray/region-180-500-eur-de-subventions-au-pays-d-auray-09-03-2015-10551288.php#tCXpt7p1fOrwyq8D.99

 

 

 

 

Commentaires

A Quiberon nous avons connu cette manipulation. Il y eut quelques centaines d'électeurs ayant une résidence secondaire à s'inscrire à Quiberon.
C'était en 1989, l'aspirant maire venait de Meaux ou de ces environs. Fort de cet appoint de voix nous nous le coltinâmes pendant 6 ans. Nous en subissons encore les désagréments.
Les élections passées tous ces nouveaux inscrits retournèrent dans leurs circonscriptions respectives. Bizarrement en 1995 on ne revit pas une autre manipulation de ce genre!
En tous les cas, Quiberon et les Quiberonnais n'en sortirent pas gagnant.

Écrit par : Sociologue | 09/03/2015

Manipulation des gangsters de l'UMP.
Hilliet, faisait partie de cette équipe

Écrit par : gégé | 09/03/2015

Les commentaires sont fermés.