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06/02/2015

Une maison en Morbihan, une valeur sûre...

La "pétole économique" n'a pas l'air de toucher l'immobilier, résidence principale ou résidence secondaire !

Portivy en SPQ.jpg

Avec une baisse du prix moyen de 1,7% d'une maison en Morbihan, le marché a l'air de "résister". Il est vrai pourtant, que le marché est surchargé de "maisons à vendre", même et surtout près des côtes...

Le délai moyen de vente s'est allongé, alors que les maisons "à juste prix" disparaissent rapidement du stock !

Si les anticipations négatives devaient se transformer, le marché repartirait certainement "à la hausse" !


 

Immobilier, des prix toujours à la baisse dans le Morbihan

 

Télégramme du  6 février 2015

 

Gabriel Simon

 

 

 

 

Le marché de la résidence secondaire évolue dans le département.

 

 On note, par exemple, que le pays de Gourin attire de plus en plus les acheteurs à la recherche d'un bien à moindre coût. Les notaires du Morbihan ont présenté, hier, le bilan 2014 de l'activité immobilière dans le département. Les prix sont toujours en baisse, malgré un ralentissement de cette tendance et il existe des disparités d'un territoire à l'autre.

 

 Un premier constat : il vaut mieux être actuellement acheteur que vendeur car on assiste, selon les notaires, « à un assainissement du marché », dans un contexte d'offre abondante et de prêts historiquement bas. Et même si, sur l'année 2014, les volumes de transactions ont progressé, les prix ont baissé de 1,7 % pour les maisons et de 2,7 % pour les appartements.

 

Sur un plan plus qualitatif, on constate que le marché de l'immobilier est en train d'évoluer en profondeur. La performance du bien, notamment en ce qui concerne son diagnostic énergétique, commence à l'emporter sur d'autres critères. « On est passé du coup de cœur au cout de revient », souligne Me Chabran, de Vannes.

 

Le secondaire évolue

 

 La résidence secondaire, qui constitue un marché important dans le Morbihan, n'a plus le même attrait. Les biens à 300.000 € ou 500.000 € trouvent plus difficilement preneurs, surtout s'ils présentent des défauts. Les maisons et appartements les plus recherchés se situent entre 200.00 € et 250.000 €. En revanche, les produits d'exception continuent à bien se vendre.

 

 On note une nette disparité de prix sur le littoral.

 

Mais il arrive de plus en plus que ceux qui ont les moyens d'investir fassent le choix de louer et de se déplacer plutôt que d'acheter. Un cas à part sur ce marché de la résidence secondaire : le pays de Gourin, qui attire les acquéreurs à la recherche d'un bien à moindre coût. 6,4 % sont britanniques et 9,1 % franciliens.

 

Une pièce de plus à Lorient qu'à Vannes

 

 Le baromètre immobilier des notaires continue à montrer la disparité nord-sud à l'intérieur du Morbihan. Le prix médian d'une maison est de 100.000 € dans le bassin de Pontivy et de 80.000 € dans le bassin de Gourin, avec une baisse respective de 3,8 % et 5,9 % en 2014. Mais il est de 179.900 € dans le bassin d'Auray, en hausse de 4 %. Dans les secteurs ruraux, les écarts se creusent en fonction de la situation par rapport aux quatre-voies. Dans le bassin de Ploërmel, les prix grimpent de 9 % grâce à un solde migratoire positif. Entre les deux grosses villes, les différences sont également notables. Sur les appartements neufs, à Lorient, on peut avoir pour le même prix une pièce de plus qu'à Vannes. Le prix de vente médian pour un appartement neuf est de 2.800 € le m² (+29 % sur un an) à Lorient et de 3.240 € (+13 %) à Vannes. Pour un appartement ancien, ce prix est de 1.580 m² (-5,2 %) à Lorient et de 2.130 m² (-1,5 %) à Vannes, pour une maison ancienne de 175.000 € (+2,9 %) à Lorient et de 240.000 € (- 4 %) à Vannes. Facile de vendre un bien au juste prix Par ailleurs, on constate qu'à Vannes, les ventes dans le neuf se concentrent dans les quartiers les plus prisés, « ce qui a pour effet de faire grimper les moyennes de prix de 13 % », selon les notaires. Dans l'agglomération lorientaise, les jeunes (- de 30 ans) plébiscitent l'appartement ancien.

 

 Dans le bassin d'Auray, 66 % des acquéreurs de terrains à bâtir ont moins de 40 ans. « Les notaires ne s'attendent pas à un rebond notable des volumes ou des prix dans les mois à venir », souligne leur président pour le Morbihan, Me Charles-Albert Grandjean, tout en précisant « qu'une maison ou un appartement au juste prix peut se revendre facilement ».

© Le Télégramme - Plus d’information sur http://www.letelegramme.fr/bretagne/immobilier-des-prix-toujours-a-la-baisse-06-02-2015-10517470.php

 

 

Marées en 2015, une exceptionnelle cuvée

 

Le Télégramme du 31 janvier 2015

 

On va se régaler en 2015 avec un nombre record de grandes marées et même, le 21 mars, un des cinq plus gros coefficients du siècle.

 

 

 

 

 Zoom sur un phénomène observé de très près par les spécialistes du service hydrographique et océanographique de la marine (Shom) à Brest.

 

De grandes différences à travers le monde

 

Coefficient : pourquoi de 20 à 120 ?

 

Les marées du siècle reviennent tous les 18 ans, au terme d'un cycle astronomique complet. Au bout de ce cycle, les marées d'équinoxe des mois de mars et septembre correspondent à un moment de grande proximité de la terre avec le soleil et la lune, parfaitement alignés (force gravitationnelle maximale). Cette conjonction de facteurs favorise une année à grandes marées avec, en 2015, 40 jours de coefficients supérieurs à 100 et 20 jours au-dessus de 110 (sur un maximum de 120).

 

« Ces marées sont tout à fait exceptionnelles en intensité » rappelle Nicolas Weber, ingénieur au Shom à Brest. « Entre deux marées de 115 et de 119, on peut observer une hauteur d'eau supplémentaire de 35 cm dans le secteur de Brest et de 85 cm dans le secteur de Cancale-Granville qui enregistre le plus grand marnage français (14 m ) ».

 

Ce marnage, c'est-à-dire la différence de hauteur d'eau entre la basse et la pleine mer, est au maximum de 9 m 80 dans la région de Roscoff, de 8 m à Brest et de 7 m 15 autour de Cherbourg. La baie de Fundy, dans l'est du Canada, décroche le record mondial de marnage, avec 16 m d'amplitude, au moment des plus fortes marées de l'année.

 

 Pas de marée du tout

 

 A l'inverse, certains points de la planète sont complètement épargnés par les marées, en raison de leur proximité avec des points dits « amphidromiques », répartis sur l'ensemble de la planète et autour desquels « tournent » les ondes de marée. Les mers fermées, comme la Méditerranée, sont généralement épargnées par les grands effets de marée (quelques centimètres ou dizaines de centimètres de marnage au mieux).

 

 Au Service hydrographique et océanographique de la marine, on continue inlassablement de calculer ces coefficients de marée et d'adapter les hauteurs d'eau en fonction des ports et des positions géographiques. « Les évolutions du trait de côte ainsi que l'élévation régulière du niveau de la mer (30 cm de plus à Brest depuis le niveau de 1700) ont une incidence sur les horaires de marée, les hauteurs d'eau et l'actualisation du zéro des cartes (la hauteur d'eau aux plus basses marées de 119).

 

 46 marégraphes français

 

46 marégraphes, répartis le long des côtes de métropole et d'outremer, permettent de réactualiser les hauteurs d'eau. Une partie d'entre eux est d'ailleurs installée en Méditerranée, pas tant pour mesurer les effets limités de la marée mais pour compléter le réseau d'alerte tsunami partagé entre les différents pays exposés. Ces marégraphes qui transmettent des informations en continu permettent ainsi de réactualiser si besoin le zéro des cartes.

 

 Surcôtes et décôtes de marée

 

 À noter que les conditions météo peuvent influer sur les hauteurs d'eau, par le biais des différences de pression. Un champ de basses pressions peut occasionner une surcôte de marée (une élévation du niveau de la mer), par l'action de la pression atmosphérique, de l'effet du vent et des vagues. Une dépression à 980 htp peut entraîner à Brest une augmentation du niveau de la mer de 35 cm et plus en fonction du vent et des vagues. Associée à un coefficient de 105 de marée, on se souvient comment la tempête Xynthia avait lourdement frappé la Vendée.

 

 À l'inverse, un temps anticyclonique (hautes pressions) avec un grand beau temps abaisse théoriquement le niveau moyen de la mer en augmentant encore son retrait, à basse mer. Des conditions idéales pour les pêcheurs à pied.

 

 On croise les doigts pour le 21 mars et déjà le 20 février avec un très beau coefficient de 118. Et en plus en fin de semaine pour ces deux plus belles marées de l'année !


© Le Télégramme - Plus d’information sur http://www.letelegramme.fr/bretagne/marees-une-exceptionnelle-cuvee-2015-01-02-2015-10511767.php

 

 

 

 

 

 

Commentaires

Dans la presse locale nous avons appris que le président du conseil général du Morbihan et accessoirement président de la "Cie des ports" avait mandaté une étude sur l'impact des ports sur l'immobilier. Il pense nous rapporter des clients Allemands, Belges, Hollandais mais ne parle pas de Français. Les Français seraient-ils sur la paille? la faute à qui?

Bizarrement en 1965 la SATMOR avait demandé à la SCET une même étude.

Etude qui du côté de la presqu'île de Rhuys entraîna la ruine de petits propriétaires terriens qui furent expropriés à 50 centimes de francs du m2. A Quiberon nous avions déjà commencé à donner!

Derrière cette opération il y avait 2 anciens ministres et le sénateur-maire de Quiberon.
Quelques années plus tard l'affaire Arranda éclata et on connait la suite!

1965-2015 -50 ans- le temps d'une concession d'un port de plaisance pensé et payé en grande partie par une population flouée et pas défendue et même abusée par certains de ses maires.

En 1969, la mariée était magnifique.
A partir de cette date ils en ont fait une "gagneuse" et aujourd'hui nous avons sous les yeux une vieille pute de 150.000 m3. Masse volumique de la vase=2,3, calculez son poids!!
Vieille pute jamais entretenue et maintenant incapable d'accueillir ses clients aux grands tirants d'eau.

Merci JBH pour l'article sur les marées exceptionnelles de 2015, les lecteurs pourront constater de visu que le petit film qui suit et datant de 2010 n'était pas un montage

https://www.youtube.com/watch?v=6u2WazmedPU

A la basse mer du 21 mars, soit la veille du premier tour des élections départementales, les électeurs s'ils le veulent pourront constater les dégâts

Écrit par : JCLG | 08/02/2015

Merci de parler de la presqu'ile de Rhuys. Mes parents furent spoliés et foutus dehors. Par contre de grands propriétaires fonciers du coin ne furent pas touchés. Ils étaient dans le réseau de 2 ministres.
Heureusement pour le pays, l'affaire Haranda arrêta tout.
Voici un document de 1976 avec le chateau de Suscinio qui a fait et fait couler beaucoup d'encre

piderhuys.free.fr/p4.htm

Écrit par : Auguste | 10/02/2015

Voilà qui va hérisser cet empaffé de Hérissé.
Quel gros con

Écrit par : Tanguy | 08/02/2015

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