24/08/2014
Ces petits coeurs dégoulinants...
Panneaux indicateurs à Saint Pierre Quiberon : à revoir de toute urgence !
Quiberon, notre voisine, a su renouveler entièrement ses panneaux sur toute la commune, avec une qualité qui n'a rien à voir avec ceux de Saint Pierre. Le travail a été fort bien préparé et la pose rapide... En plus un balisage du "tour cycliste", avec un raté, l'absence de numéro d'ordre, comme sur une piste de ski !
A Saint Pierre, les panneaux sont de tous âges (y compris l'époque Michelin), et souvent mal adaptés ou non mis à jour ! On se contente de démonter 5 ans après la fermeture la réglette correspondante... ainsi au Petit Rohu on a gardé longtemps la direction du local UCPA, qui avait fondu les plombs depuis de nombreuses années...
Se sont ajoutés les "totems" de Madame G en Centre-ville pour indiquer la proximité du rivage...et les commerces !
Avec l'apparition des "tournicotons du Père François", le balisage n'a pas été mis à jour, soit au moins en quatre endroits différents sur la commune... les panneaux de limitation de vitesse ne sont pas tous "impairs" et ont disparu avant les "tournicotons"...
Ne parlons pas des pistes cyclables, où les "indiens de la Ville" risquent de contracter une forte migraine... un comble, dans une commune, où l'on préconise à l'Office l'utilisation du vélo !
"Bateau Ivre", " la Passerelle", le "bout du monde", les habitants du cru s'y rendent "sans panneau" !
Portivy, des panneaux plein de romantisme
Télégramme du 20 août 2014
« Un peu de douceur dans ce monde de brutes », c'est sûrement ce qu'a voulu dire cette graine d'artiste passée par Port-Blanc. Ou bien, il a souhaité partager avec tous ses préférences en matière de restaurants. Le mystère n'est toujours pas résolu... Quoi qu'il en soit, ces petits cœurs dégoulinants mettent un peu de romantisme dans l'air.
Commentaires
ainsi au Petit Rohu on a gardé longtemps la direction du local UCPA, qui avait fondu les plombs depuis de nombreuses années...
j'ai recherché la signification de l'expression "fondu les plombs"
Cela vient du vocabulaire ferroviaire cher à zenzyscan ;
Les corps de chauffe de type "mikado" sont parcourus par un réseau de tubes dans lesquels circulent les gaz chauds issus du foyer. L'eau contenue dans le corps de chaudière se vaporise et va par expansion actionner les pistons, reliés aux embiellages.
Une température excessive du foyer, un niveau d'eau insuffisant, une fuite et c'était l'explosion de vapeur.
Pour palier ce danger, les corps de chaudière furent ouverts à leur base de "lumières" operculées par des bouchons de plomb.
Portées à 327°C, ces "sécurités" fondaient et l'eau résiduelle venait noyer le feu.
On avait "fondu le plomb."
Peux tu nous expliquer en quoi l'ucpa avait fondu les plombds. Et surtout ne les pète pas
Écrit par : jeremie | 24/08/2014
Bravo "Jéremie",vous feriez un bon cheminot!
Écrit par : jeanzyscan | 25/08/2014
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