16/06/2014
Quatre ménages sur 10...
La proportion de bacheliers dans la presqu'île est inférieure à celle du Morbihan...
Les préoccupations politiques à Quiberon semblent mesquines au regard de la situation intellectuelle de ses habitants ! Les "alliances" de second tour n'ont pas été favorables au sortant, mais les raisons de son échec ne sont pas seulement électorales...
L'équipe élue à Quiberon, comme celle de Saint Pierre Quiberon sont d'un meilleur niveau !
Aujourd'hui les analyses politiques sont dans une phase nouvelle de recherche à Sciences Po... Google peut aider à comprendre les "graffitis" pendant la campagne...
Aider la presqu'île à progresser, ce devrait être l'objectif des nouvelles mandatures !
Big data et smart data au service des études électorales
Le Figaro du 11 juin 2014
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Josseline Abonneau
REBOND
DANS LE PAYSAGE des sciences politiques hexagonales, la vague soixante-huitarde bourdieusienne avait relégué au second plan l’exercice ingrat et exigeant des études électorales depuis plusieurs décennies. Un paradoxe pour la France d’André Siegfried, fondateur de la sociologie électorale*, où ces études s’affichent comme l’apanage d’une poignée d’éminences académiques chevronnées.
Trois mois après son arrivée à la direction du Cevipof**, « l’institution historique de l’analyse électorale à Sciences Po », Martial Foucault œuvre au retour en force des études électorales principales clés du décryptage de l’opinion. Et préconise l’emploi d’une force de frappe à la hauteur des moyens technologiques du XXIe siècle, sans pour autant délaisser les méthodes traditionnelles.
En somme, pour le vibrionnant patron du Cevipof, l’étude des comportements électoraux et des attitudes politiques devrait aussi s’appuyer sur les possibilités technologiques de collecte et d’exploitation des données de grande dimension (big data) et de contenu intelligent (smart data). « Il faut, dit-il, faire le saut méthodologique en traitant d’immenses bases de données correspondant aux faits réels et non plus seulement se limiter aux échantillons représentatifs qui présentent des limites dans la connaissance des phénomènes politiques. En combinant, par exemple, vote et inégalités économiques territoriales ou vote et politiques de logement ou encore vote et risques environnementaux. »
Pur produit de l’excellence universitaire française mondialisée, Martial Foucault, qui est passé par le prestigieux Institut universitaire européen de Florence puis s’est frotté pendant sept ans aux méthodes anglo-saxonnes de recherches à l’université de Montréal, dit sans ambages : « La science politique française souffre d’une trop faible intégration aux programmes de recherches européens ou internationaux. Il faut inciter les chercheurs à concevoir des objets de recherche qui feront école au-delà des frontières nationales. Exemples : la particularité du système électoral français (scrutin majoritaire à deux tours), le régime semi-présidentiel ou encore la réglementation des dépenses de campagne doivent inspirer les chercheurs étrangers en science politique en posant les jalons d’une science politique française parfaitement insérée dans les réseaux internationaux et dans les grandes enquêtes internationales comparées. » Vaste programme dont les effets seront palpables dans quelques années… Celui-ci ne devrait pas faire ombrage à l’étude de longue haleine du Cevipof sur les causes et les conséquences des crises démocratiques en France et en Europe (crise de confiance mesurée par le baromètre annuel de crédibilité des partis politiques, études des recompositions affectant les clivages politiques).
Bien qu’aux manettes du Cevipof, Martial Foucault n’entend pas délaisser ses propres recherches. Notamment son « sujet favori » sur les inégalités patrimoniales et le vote. Ce programme dans lequel il est engagé aux côtés de chercheurs étrangers se poursuit à l’échelle des continents (Amérique du Nord, Amérique latine, Europe du Nord). Il a démontré que le patrimoine (revenu du capital) est une variable explicative déterminante pour comprendre le vote à gauche ou à droite ; cela « révise l’idée d’un vote de classe fondé jusqu’alors sur le seul revenu du travail », souligne Martial Foucault, attentif à préciser que cette étude a validé les « intuitions scientifiques » de deux piliers du Cevipof, Jacques Capdevielle et Élisabeth Dupoirier.
Google numérise les graffitis du monde entier
Le Monde.fr du 12 juin 2014
Visiter depuis un ordinateur des lieux éphémères consacrés au street art dans le monde entier : tel est l'objectif de "StreetArtProject", créé mardi par l'Institut culturel de Google. Lancée en partenariat avec une trentaine d'institutions issues de quinze pays, la dernière tentative en date de mettre en scène cette forme d'art, qui connaît un immense succès, est une plateforme en ligne qui propose de découvrir gratuitement plus de 5 000 œuvres en haute définition. Le site permet d'accéder aux pièces, soit par pays ou par ville grâce à Google Maps, soit par artiste. Il raconte aussi l'histoire du street art et permet de visiter virtuellement des lieux ou rendez-vous emblématiques du genre, comme l'exposition "The Bestiary" à Londres ou la Tour 13 à Paris. D'autres lieux et expositions sont présentés sous forme de portfolio, comme "Les murs de New York", où est né le graffiti dans les années 1990. Les œuvres sont immortalisées grâce aux équipements de numérisation utilisés par "Street View", qui permet de se promener virtuellement dans les rues du monde. "Le street art est un art éphémère par nature, qui risque à tout moment d'être effacé et perdu à jamais. L'Institut culturel de Google permet aux œuvres de survivre après qu'elles ont disparu des murs et aux amateurs à travers la planète de continuer à les étudier en détail en toute liberté", a expliqué son directeur, Amit Sood. Avec l'association française MoSa (Museum of Street Art), les internautes peuvent découvrir les graffitis aujourd'hui disparus réalisés sur les murs de la mythique discothèque parisienne Les Bains Douches, transformée en éphémère résidence d'artistes, avant l'entrée en action des bulldozers pour une complète réhabilitation en cours en hôtel de luxe. Dans quelque temps, d'autres œuvres invisibles "en vrai" seront répertoriées sur le site de Google.
Elections municipales, recours rejetés pour Quiberon, Houat et Landévant
Télégramme du 15 juin 2014
Pas d'annulation concernant les scrutins de Quiberon, Houat et Landévant..
Suite aux élections municipales de mars dernier, trois communes avaient fait l'objet de recours en justice. Les maires de Quiberon, Houat et Landévant peuvent souffler : le tribunal administratif a rejeté les trois recours en annulation.
À Quiberon, Jean-Michel Belz, maire sortant, avait décidé de déposer un recours pour deux motifs : l'ancien maire estimait que l'alliance au second tour entre Bernard Hilliet et Marc Gontard, qui s'est ensuite retiré, avait faussé la donne. Jean-Michel Belz pointait également un article de presse paru entre le premier et le deuxième tour sur la Belle-Iloise, société dont Bernard Hilliet est toujours administrateur. 44 voix seulement avaient départagé les listes de Jean-Michel Belz et Bernard Hilliet. Le tribunal a rejeté les deux motifs, estimant pour le second que Jean-Michel Belz, s'il estimait avoir été défavorisé, avait tout le temps pour réagir. Bernard Hilliet, le nouveau maire, a réagi à la nouvelle : « Nous avions consulté des juristes et nous étions tranquilles. On a commencé le travail sans prendre en compte cette hypothèque. Désormais, on tourne la page ». Selon nos informations, Jean-Michel Belz a décidé de ne pas faire appel de la décision du tribunal.
Houat et Landévant peuvent aussi tourner la page
À Landévant, un recours d'un habitant landévantais avait également été déposé suite à « une irrégularité remarquée sur la liste "Landévant pour tous" » qui a donné lieu à l'élection du maire sortant Jean-François Le Neillon. Sur le bulletin de vote de la liste n'était pas apposée la mention obligatoire de nationalité anglaise concernant Fay Hurley, en seconde position sur la liste. Là aussi, le tribunal administratif n'a pas jugé que cette irrégularité était en mesure de remettre en cause une élection largement remportée par la liste de Jean-François Le Neillon. « Il n'y avait guère de doute. Nous sommes néanmoins soulagés », a commenté hier Jean-François Le Neillon. Même soulagement - même si le mot semble un peu fort - pour Andrée Vielvoye, élue maire de Houat après les dernières municipales. « Je savais ce qui m'était reproché. Deux recours avaient été déposés par un habitant et son épouse pour des petites irrégularités qui ne pouvaient pas mettre en doute l'élection. C'est en tout cas ce qu'a jugé le tribunal ». Cette fois, la page élections semble enfin tournée dans le pays d'Auray.
14,7 millions de contribuables ont déclaré leurs impôts sur internet
Boursier.com du 13 juin 2014
Olivier Decarre — ©2014, Boursier.com
(Boursier.com) — La campagne de déclaration des revenus en ligne s'est terminée mardi dernier (le 10 juin) et déjà les premiers chiffres font surface. D'après le ministère des Finances, 14,7 millions de foyers ont déclaré leurs revenus en ligne cette année. Bercy parle d'une progression de 10% en un an. Si l'on regarde le nombre de télédéclarations de 2013 (13,5 millions), le chiffre semble toutefois légèrement inférieur à 9%. Sachant que la France compte environ 36,5 millions de foyers fiscaux, on peut également estimer que la déclaration en ligne a concerné quatre ménages sur dix. L'an dernier la proportion était de 37%.
Le tout numérique progresse
Si le camp des télédéclarants grossit à un rythme à peu près stable d'année en année, le "tout numérique" progresse en revanche beaucoup plus vite. L'an passé, on évoquait un chiffre de 2 millions de foyers. Cette année, quatre millions de contribuables ont choisi d'opter pour la déclaration et l'avis d'impôt 100% numérique. Certes, cela ne représente encore que un foyer sur neuf. Mais Bercy estime déjà pouvoir économiser ainsi 400 tonnes de papier sur l'année.
Commentaires
"La proportion de bacheliers dans la presqu'île est inférieure à celle du Morbihan..." traite ek=les de crétins endant que tu y es . Qu'en sais-tu banane ! Quand on sait que beaucoup de Quiberonnais gagnent le smig, parmi leurs enfants tu as des Xiens (si tu ne le sais pas ça veut dire polytechnicien), des centraliens des élèves de normale sup et même des élèves d'HEC , mais eux n'avaient pas des parents friqués comme toi. Alors tu es prié de ne pas les dénigrer.
Et il y a aussi des gens qui n'ont pas leur bac, tu as raison, mais au moins, eux ont l'intelligence du coeur et c'est ce qui te manques le plus ....cependant tu n'as pas l'air d'être une lumière non plus .
On te plains, : pas très intelligent, pas de coeur et ne parlons pas de la santé mentale manifestement déficiente
Écrit par : jeremie | 16/06/2014
L'équipe élue d'un meilleur niveau ? TU as oublié
toutes les fautes de Français sur le blog de
Coeur de Presqu'île ? Ah, Jean-Bart, groupie de BARBIE
tu es ! le resteras-tu ?
Écrit par : Dudule | 17/06/2014
Petite bête... l'essentiel est de gagner !
Écrit par : jeanbart | 17/06/2014
L'essentiel est de gagner!
Et dans la foulée pourquoi pas : "la fin justifie les moyens!"
Écrit par : JPD | 17/06/2014
et qu'as tu gagné, patate ?
tu crois qu'ils t'admirent et t'écoutent, on voit que tu ne les connais pas, ils ne sont pas bêtes et connaissent ton immense "valeur".
Écrit par : jeremie | 20/06/2014
par ailleurs d'où sors tu cette statistique. et comment s'est fait le calcul
comme d'hab, tu inventes ......
Écrit par : jeremie | 20/06/2014
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