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16/04/2014

Les décisions d'entreprises ne passent pas par la Mairie, ni la Préfecture !

Les communes se doivent d'attirer "les entreprises" ! à l'échelle "mondiale" les managers choisissent !

Johanna-Rolland, maire de Nantes.jpg

L'ouverture des entreprises sur le monde bouleverse le "sacro saint équilibre" entre entreprise locale et développement local... et depuis la création du marché unique en Europe, les vieilles habitudes de complicité entre Maires et Chefs d'entreprise sont dépassées !

Aujourd'hui, le Monde politique découvre les vertus des "facteurs d'environnement", qui décident les entreprises à s'installer sur un territoire : simplicité des démarches administratives, qualités du Droit du travail local, intelligence du pouvoir syndical, infrastructures générales et particulières (Très haut débit), main d'œuvre efficace et fidèle...

Le dogmatisme socialiste bétonne depuis l'ère Mitterrand la sphère économique, qui travaille encore ! Cette dernière a tellement rétréci, que les équilibres nationaux ne sont plus assurés, que la sphère publique n'est plus financée...

Un peu d'air ferait du bien ! pour les "vrais" entrepreneurs !


Fermeture de l'usine Seita, la maire de Nantes dénonce une logique financière
Télégramme du 15 avril 2014

Johanna Rolland
C’est son premier grand dossier social en tant que maire de Nantes. Johanna Rolland réagit à la décision de fermeture de l’usine de fabrication de cigarettes Seita de Carquefou, qui emploie 327 personnes.
Son actionnaire, le groupe britannique Imperial Tobacco, a, en effet, décidé d’une nouvelle restructuration, après le plan social de 2008-2009 qui avait conduit à la suppression de 1.060 emplois en France.

Le préfet saisi
"Cette usine dont l’activité est essentiellement tournée vers l’export est tout à fait rentable. Le groupe Imperial Tobacco a, par ailleurs, dégagé un bénéfice net d’un milliard d’euros en 2013, en hausse de 38%", fait valoir Johanna Rolland. L’élue socialiste estime que la décision de fermer le site est "dénuée de tout fondement économique" et ne répond qu’à "une logique purement financière".

Venant d’envoyer un courrier au ministre de l’Economie Arnaud Montebourg, la nouvelle maire de Nantes annonce également que le préfet sera saisi afin de réunir en urgence une table-ronde et ce afin de chercher des solutions de sauvegarde de l’entreprise et de ses emplois.

Le groupe Imperial Tobacco argue pour sa part de la diminution de ses marges et de la consommation de tabac, notamment en France.

Immobilier à Vannes, corrige ses excès

Télégrramme du 1er février 2014
Véronique Le Bagousse

Actuellement, ce sont les acheteurs qui mènent la danse. (Photo d'archives Le Télégramme).
Les derniers chiffres de l'immobilier viennent de tomber pour le Morbihan. Tendances de l'année 2013... Une poursuite de l'érosion et un rapprochement entre les deux villes phares que sont Lorient et Vannes avec un tassement pour la préfecture.
Depuis la crise de 2008, l'immobilier est à la peine et si régulièrement les notaires annoncent un frémissement, le frémissement en question reste pour le moins timide et fragile. Jusqu'à maintenant Vannes était un peu épargnée et certains quartiers ne connaissaient pas de baisse. Selon Me Chabran, notaire à Vannes : « Pour la première fois cette année, certains secteurs porteurs commencent eux aussi à voir leur prix au m² baisser ». A contrario, d'autres plus en retrait précédemment voient leur prix flamber.

Prix globalement en baisse
Globalement, le marché du neuf reste atone : pas de volume et des prix stables sur Vannes comme sur son agglomération, où les prix atteignent respectivement 2.814 €/m² (-0.3 %) et 2.619 €/m² (-0,5 %). Côté optimiste dans le quartier Clinique-Route d'Auray, le prix médian s'envole à 4.107 €/m². En revanche, pour les appartements anciens, si « le centre-ville reste le quartier le plus prisé avec un m² à 2.211 € toujours en légère hausse (+0,3 %), les autres quartiers, eux, voient leur prix se dégrader comme l'ouest de Vannes où on est à - 4 % et l'est à -5,2 %. » Le m² s'échelonne en 2013 de 1.597 €/m² à Nord-Menimur à 2.180 €/m²dans le quartier Gare-Hôpital ? route de Nantes. Plus largement sur l'agglomération, les volumes de transactions sont faibles, les prix baissent globalement de 6,9 % mettant le m² à 2.070 €. Un tassement significatif pour l'année.

Prix des maisons en baisse
Côté maisons anciennes, à Vannes, la correction de prix est, elle, sévère avec -7,4 % soit 250.000 €. Même le centre-ville n'échappe pas à ce repli et le prix médian passe sous la barre symbolique des 300.000 € avec une baisse notoire de -7,9 % pour un prix moyen de 290.000 €. Sur l'agglomération, en revanche, les prix sont quasiment stables à -1,3 % pour un prix moyen de 185.000 €, même si de nombreuses communes ont enregistré des baisses significatives comme Saint-Avé (-13,2 % soit 219.500 €), Elven (-19,5 % soit 147.000 €), Meucon (-10,8 % soit 160.500 €). Pour les terrains, les prix restent stables avec un très léger repli de -0,7 % soit un prix moyen 56.000 € s'échelonnant de 46.550 € à Sulniac à 84.500 € à Saint-Avé. Toutefois, un phénomène vient tempérer cette tendance : la superficie moyenne des terrains est plutôt à la baisse avec une moyenne de 550 m² pour l'agglomération vannetaise.

Quel horizon 2014 ?
Malgré la baisse, à Vannes, les prix restent élevés, les primo-accédants peinent à y investir et choisissent plutôt la couronne. Pour autant les notaires restent optimistes. Après un premier semestre plutôt en berne, le second s'est avéré plus encourageant. Mais peut-on encore y croire pour 2014 ? Là où hier, il y avait des règles, des mois plus difficiles que d'autres mais avec une loi du marché assez rectiligne, là où il existait une véritable logique de transaction, la crise a semé le désordre. Et ce qui valait hier, semble aujourd'hui ne plus pouvoir se calquer sur le marché actuel. En clair, les débuts d'année laborieux ou les mois fastes du printemps, ne représentent plus une règle absolue. Les mois s'enchaînent avec leurs lots d'incertitude et une fiscalité toujours hésitante. Et c'est bien là que le bât blesse. La confiance peine à revenir et sans elle, la reprise ne peut s'inscrire sur la durée. Reste qu'aujourd'hui plusieurs indicateurs sont au vert : des taux d'intérêt toujours bas, pas de hausse de droits d'enregistrement dans le Morbihan, un département attractif, une offre importante et des prix en baisse. Aujourd'hui, ce sont les acheteurs qui mènent la danse. Lire également page 10

Bretagne à 5 départements, la droite locale pose ses conditions
Télégramme du 15 avril 2014

L'hypothèse d'une Bretagne à cinq départements, incluant la Loire-Atlantique, posée par le projet de réforme territoriale annoncé par le Premier ministre Manuel Valls est plutôt bien accueillie par les élus de l'opposition au Conseil régional. Bernadette Malgorn, présidente du groupe Droite et Centre de Bretagne, rappelle ce mardi dans un communiqué que son groupe "a toujours voté les nombreux voeux allant dans ce sens".

Pas sans TGV
Mais l'élue, aujourd'hui chef de l'opposition municipale brestoise, pose des conditions. "La réunification impose le désenclavement de la pointe bretonne cela implique la mise de Brest et Quimper à trois heures de Paris et l'achèvement de la mise à deux fois deux voies de la RN 164, explique-t-elle. Sans la réalisation des ces infrastructures, fondement du consensus breton, toute extension de la Bretagne au sud ou à l'est siolera davantage la pointe bretonne ce que nous ne pouvons pas accepter".

Commentaires

Voici une belle porte ouverte enfoncée !
Il est vrai que vous n'avez plus votre vieille amie Madame G. pour nourrir vos réflexions absconses.
Un peu de patience. Votre copine "Lolo" ne va pas tarder à vous donner des occasions de reprendre votre production de fiel.

Écrit par : Yaka Fokon | 16/04/2014

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