07/03/2014
ENVSN, obligée de titulariser ses CDD, souvent très anciens !
Isabelle Eynaudi, beaucoup de bruit pour rien...
La nouvelle Directrice de l'ENVSN, après un feu d'artifice qui tourne mal à Beg Rohu, près d'une cuve de propane, n'a rien fait pour sécuriser les lieux, ni pour se mettre en règle avec la loi "littoral" (logements en bordure de mer, extension du self service de restauration à 10 mètres de la plage). Le chemin "côtier" est toujours en attente, au grand dam des associations de marcheurs !
Aujourd'hui, obligée par la Loi Sauvadet de titulariser des employés présents depuis de nombreuses années à l'ENV, la Directrice alourdit ainsi les charges de personnel de l'école, qui selon l'article ci-dessous sont déjà de
5 millions 700.000 euros par an ! Bravo l'artiste, qui est sous la surveillance de la Cour des Comptes depuis 2008 !
A l'heure de la rigueur budgétaire, la gestionnaire doit serrer les freins ! Ses premières tentatives ont déchaîné des mouvements de personnel dans l'établissement...
Les "activités extérieures" ne pourront jamais financer le poids de ses fonctionnaires ! La seule solution est de renvoyer "les détachés" dans leur ministère d'origine !
Bon vent, Madame la Directrice !
École de voile, huit nouveaux titulaires
Télégramme du 7 mars 2014
De gauche à droite : les nouveaux titulaires, autour de la directrice de l'école, Isabelle Eynaudi (troisième à droite), Gwen Le Fur, Adeline Kersamo, Stéphanie Vincentelli, Yann Paradis, Catherine Belz, Erwan Leroy et Florence Pelletier. Était absent : Bernard Le Leuch.
L'École nationale de voile et des sports nautiques (ENVSN) compte huit nouveaux titulaires. Tous ont bénéficié du dispositif « loi Sauvadet ». Mardi, au sein de l'établissement, une réception était organisée au cours de laquelle ils ont été félicités. L'ENVSN avait particulièrement bien préparé ses personnels pour passer ce concours, d'après les propos de ceux qui avait choisi de bénéficier du dispositif. L'école a d'ailleurs été citée en exemple parmi les établissements du ministère pour la qualité de l'accompagnement personnel mis en oeuvre.
« Cette titularisation est une reconnaissance »
« L'ENVSN avait mis les moyens, explique Stéphanie Vincentelli, passée titulaire grâce à la réussite de son concours. Un intervenant extérieur est venu nous faire cette formation. Il fallait préparer un dossier présentant notre parcours, nos compétences, nos motivations. Si ce dossier était retenu, nous étions admissibles pour passer l'oral à Paris. Cette titularisation est une reconnaissance, c'est aussi une belle évolution. Certains d'entre nous sont sous contrat depuis 20 ans ! ». Au sein de l'établissement, ils étaient treize candidats de statuts différents à avoir souhaité profiter de ce dispositif. Huit ont donc brillamment réussi leur concours : quatre adjoints administratifs, une cadre administrative et trois adjoints techniques. Mardi, la directrice, Isabelle Eynaudi, leur a remis une lettre de félicitations et, dans son discours, a rappelé les droits mais aussi les devoirs liés à leur nouveau statut de fonctionnaire.
INTERVIEW DE LA DIRECTRICE DE L’ÉCOLE NATIONALE DE VOILE ET DES SPORTS NAUTIQUES
Isabelle Eynaudi : «Il faut que l'Ecole soit plus dynamique !
Isabelle Eynaudi est la première femme directrice d’un centre national de sport dépendant directement du Ministère des Sports et de la Jeunesse. L’École Nationale de Voile et des Sports Nautiques (ENVSN), installée au Beg Rohu, sur la presqu’île de Quiberon, depuis 1965, a été l’un des premiers centres créés par Maurice Herzog sous la tutelle du général de Gaulle. Il est désormais l’un des trois derniers pôles sportifs français avec l’Institut National du Sport de l’Expertise et de la Performance (INSEP) de Paris et l’École Nationale des Sports de Montagne (ENSM) de Chamonix. Quelles missions pour cette «école» atypique ?
Isabelle Eynaudi a pris ses fonctions de directrice de l’École Nationale de Voile et des Sports Nautiques le 1er juillet 2013.
Photo @ ENVSN-Philippe Juhel
voilesetvoiliers.com : Isabelle Eynaudi, vous avez intégré l’ENV en juillet dernier… Isabelle Eynaudi : Le 1er juillet, oui. En étant la première femme à ce poste, en remplacement de mon prédécesseur parti à la retraite. J’étais auparavant adjointe à un poste similaire, mais pour l’École Nationale des Sports de Montagne à Chamonix, étant à l’origine une skieuse…
v&v.com : Vous êtes là pour une mission de refondation ? I.E. : L’ENVSN a plutôt besoin d’être modernisée, de se restructurer, de s’ouvrir un peu plus au monde extérieur – il faut reconstruire un modèle économique et social.
v&v.com : Quelle a été son histoire, en bref ? I.E. : Cet établissement a été créé en 1965 sous la forme d’un centre de voile qui dépendait de la Direction Départementale de Vannes ; il est devenu École Nationale de Voile en 1970, sous le ministère de Maurice Herzog qui voulait développer le sport en France en formant les cadres des pratiquants. C’était une dynamique gaullienne qui se nourrissait des mythes de l’époque, dont Éric Tabarly était l’un des emblèmes.
v&v.com : Mais depuis près d’un demi siècle, l’approche du sport a changé… I.E. : Beaucoup de choses ont changé, oui ! Les cadres de la voile ne sont plus tous formés ici au Beg Rohu – la démocratisation de la voile est largement enclenchée ! Il faut donc imaginer de nouvelles formations pour de nouvelles approches, de nouvelles expertises en participant au plus haut niveau tout en sachant que les établissements ministériels ne sont plus les seuls acteurs. Il y a aussi un travail important avec les différentes fédérations : à l’origine, il n’y avait ici que la voile (donc la FFV), mais ce n’est plus le cas aujourd’hui avec la planche à voile, le kite, le surf, le kayak de mer, le char à voile, la randonnée maritime… C’est pourquoi, depuis 2007, la dénomination est : École Nationale de Voile et des Sports Nautiques (ENVSN).
v&v.com : L’ENVSN forme donc des cadres, des moniteurs, des entraîneurs… I.E. : Pour le surf, par exemple, nous formons les moniteurs, mais nous sommes aussi présents avec les entraîneurs sur les événements internationaux et cette fédération connaît un très gros essor avec le paddle. Il faut accompagner ce développement.
L’engouement pour le paddle a incité l’ENVNS et les Affaires Maritimes à proposer un nouveau guide maritime pour initier cette population sportive pas toujours au fait des spécificités de la mer.
Photo @ ENVSN-Philippe Juhel
v&v.com : Tous les sports ont une Ecole nationale comme le Beg Rohu ? I.E. : Il y avait cinq écoles nationales en France, et il n’y en a plus que trois. Outre l'ENVSN, il y a l’INSEP (Institut National des Sports, de l’Expertise et de la Performance), à Paris, où s’entraînent tous les champions des sports «terrestres», de l’athlétisme à la natation, aux sports collectifs, et l’École Nationale des Sports de Montagne à Chamonix.
v&v.com : De qui dépend le centre du Beg Rohu ? I.E. : Il dépend directement du ministère des Sports, ce qui en fait un centre spécifique. Mais il y a d’autres fédérations qui se sont dotées de leur propre centre national par exemple le rugby avec Marcoussis, le football avec Clairefontaine… Mais ce sont elles qui gèrent leur établissement alors que l’INSEP, l’ENSM et l’ENVSN sont directement sous la tutelle de l’État : tous les cadres sont des fonctionnaires et les subventions viennent de l’État, même si nous travaillons très étroitement avec les fédérations. Nous leur apportons notre soutien, c’est notre fonction première !
v&v.com : L’État ne pourrait plus créer de tels centres sportifs aujourd'hui ? I.E. : Nous ne sommes plus dans les années 70 ! Il est difficilement imaginable de créer de nouvelles écoles, mais de là à les supprimer… L’INSEP crée les champions de demain pour tous les sports olympiques, l’ENSM concentre toute la formation pour le ski et la montagne avec une économie qui regroupe plusieurs dizaines de milliers d’emplois, l’ENVSN du Beg Rohu est parfaitement située géographiquement mais doit aussi retrouver un nouveau modèle économique et social. Parce que la formation des cadres se fait aussi ailleurs qu’à Quiberon, parce que les entraînements doivent aussi se dérouler sur d’autres plans d’eau. Cela dit, l’expertise est une spécificité de l’école puisqu’il y a ici 27 professeurs de très haut niveau, deux ingénieurs spécialisés dans la numérisation des profils de voile et des appendices, des pédagogues, des chercheurs…
v&v.com : L’ENV est avant tout un centre de formation ? I.E. : Nous proposons trois niveaux de formation, le Brevet professionnel, le diplôme d’État et le diplôme d’État Supérieur qui amène au poste d’entraîneur national ou de gestionnaire de structure nautique, que nous sommes les seuls habilités à délivrer.
Les premiers rendez-vous de la nouvelle équipe de France de Nacra 17 ont eu lieu au Beg Rohu sous la houlette de Franck Citeau, le nouvel entraîneur fédéral.
Photo @ ENVSN-Philippe Juhel
v&v.com : Quelles sont les autres missions de l’école ? I.E. : Hors de cette mission de formation des cadres, il y a l’entraînement de haut niveau en collaboration avec les fédérations, la recherche et l’expertise. Si on prend le haut niveau, il y a toujours une convention sur ces trois domaines, formation-entraînement-recherche. Nous pouvons ainsi accueillir des sportifs avec leurs propres coaches (comme ces jours-ci avec les 470 masculin et féminin), avec la collaboration de nos cadres( comme notre ingénieur profils avec ce groupe). Mais nous pouvons aussi déléguer un de nos cadres afin de coacher une équipe nationale à l’étranger pour les grands évènements. L’ENVSN est donc autant un centre d’accueil des sportifs de haut niveau et de détection des jeunes talents qu’un creuset de spécialistes délégués pour des rendez-vous majeurs.
v&v.com : Et côté recherche et expertise ? I.E. : Cela concerne autant l’expertise juridique que sociologique, pédagogique, technique… Nous allons à ce propos nous recentrer sur des objectifs précis avec 30 publications ciblées cette année. Nous allons aussi multiplier nos partenariats avec les universités pour la formation : nous proposons ainsi un premier diplôme avec l’Université de Bretagne Ouest à Brest sur la gestion de la performance. Nous collaborons désormais avec sept fédérations nautiques et nous allons développer le partenariat économique privé afin de vendre notre image, notre expertise, notre notoriété à des entreprises, d’abord avec de la dotation gratuite comme nous avons pu le faire par exemple avec Helly Hansen, Würth, Zeppelin, ICOM… avec qui nous organisons des séminaires, des échanges techniques pour développer de nouveaux produits.
v&v.com : Mais ce sont avant tout des échanges pratiques, pas des subventions financières… I.E. : Cela contribue à réduire les coûts, car l’objectif affiché par l’État est de réduire les budgets publics – il faut donc trouver des sources financières privées, de nouveaux partenaires ! Il faut augmenter nos sources propres parce que la masse salariale est intégrée au budget de l’établissement à raison de 5,7 millions annuels. On sait que l’État va diminuer ses subventions… Il faut donc que l’école montre qu’elle est de plus en plus autonome en gardant ses missions de Service public pour lesquelles elle a des subventions. Jusqu’en 2010, l’ENVSN était à 100 % financée par l’État et, en 2014, nous sommes déjà à seulement 80 %...
La randonnée marine se développe énormément à l’image de nombre de disciplines sportives qui se sont structurées ces dernières années.
Photo @ ENVSN-Philippe Juhel
v&v.com : L’État ne peut tout de même pas se désengager totalement ! I.E. : Non, mais il nous faut diversifier nos activités. Par exemple, nous allons créer un Observatoire de l’accidentologie en liaison avec les Affaires Maritimes pour archiver les données sur les évènements de mer, afin de pouvoir améliorer la sécurité. Nous allons élaborer aussi un guide du paddle parce qu’il y a un gros essor sans connaissance particulière de la mer. Mais l’État ne va pas se désengager sur la protection de l’usager, sur la formation des cadres de haut niveau, sur le soutien aux fédérations sportives… Aujourd’hui, il y a 70 personnes qui travaillent à l’ENVSN : je ne peux pas affirmer qu’il y en aura autant dans quelques années. Si nous arrivons à accroître de 20 % nos activités cette saison, ce sera déjà un grand pas !
v&v.com : Accroître vos activités pour augmenter vos recettes extérieures… I.E. : Oui. Il faut notamment que l’école soit plus dynamique, en particulier en période estivale. Nous recevons quelques compétitions : il faut passer de six à dix par an ! Cette saison, nous allons ainsi accueillir l'Euro Soling, le Championnat de France Minime, le Championnat de France voile collective, le Championnat de France de Finn, l’Open de France, la Coupe d’Europe de surf… L’ENVSN n’a pas volonté à être organisateur, mais apporte son soutien technique, logistique et humain à des clubs ou à des fédérations pour de grands événements.
v&v.com : Il y a aussi d’autres activités au sein de l’ENV, avec les Pen Duick notamment… I.E. : L’école est propriétaire de Pen Duick II et gère Pen Duick V, qui appartient au Musée de la Marine. Il y a une activité de stages embarqués à bord de ces deux unités mythiques que nous devons dynamiser. La Journée du Patrimoine a aussi été relancée avec une exposition en 2013 sur l’architecte Guillou, qui a travaillé sur Carnac et qui a conçu l’école du Beg Rohu – et j’aimerais accueillir une dizaine des peintres de la Marine en septembre prochain pour exposer leurs œuvres réalisées dans les environs. Afin de lier le sport et l’art ! Afin d'ouvrir encore plus l’école au public. Une association des amis de l’ENVSN est d’ailleurs en train de se créer, afin d’offrir un appui pour la mise en place d’évènements au Beg Rohu. Je voudrais aussi créer un amphithéâtre qui servirait aussi aux communes de la presqu’île de Quiberon afin d’accueillir des colloques et des séminaires.
Sous le grand hangar de école se côtoient Lontze, Pen Duick II, paddles, aile rigide de Classe C, Sonar, 470…
Photo @ Dominic Bourgeois
v&v.com : 2014 est aussi l’occasion de fêter la victoire d’Éric Tabarly lors de l’OSTAR 1964 ! I.E. : Le 26 juin, les cinq Pen Duick arriveront à Port Haliguen puis seront accueillis à l’ENVSN le soir. Le 27 juin, les partenaires de l’école seront présents pendant que les bateaux navigueront en baie de Quiberon et ils rejoindront La Trinité le lendemain en collaboration avec l’Association Éric Tabarly.
v&v.com : C’est la première fois que l’ENV a une femme comme directrice ! I.E. : L’école a besoin d’un nouvel élan, d’une nouvelle ouverture… Besoin de créer de nouveaux produits, de trouver plus de partenaires. Peut-être une femme peut-elle contribuer à cette dynamique ? C’est ainsi que j’aimerais proposer de nouveaux modules météo, de cuisine en mer, d’avitaillement, de réparation composite : organiser des stages pour tester et concevoir des produits que d’autres organismes pourraient reprendre ensuite parce que les plaisanciers en ont exprimé le besoin.
Sophie de Turckheim connaît bien le Beg Rohu pour y avoir multiplié les stages en vue des Jeux Olympiques : elle replonge en Nacra 17 avec Franck Cammas et s’est occupée de la jauge des voiles sur le plancher de l’ENV.
Photo @ ENVSN-Philippe Juhel
v&v.com : Quel a été votre parcours personnel ? I.E. : Après des études de professeur d’éducation physique et Sciences Po, j’ai une formation d’Inspecteur Jeunesse et Sports. Je dépends donc directement du Ministère. Mais j’ai pu faire un break de cinq ans pour naviguer sur l’un de mes trois bateaux successifs. C’est mon neuvième poste ici, au Beg Rohu – en général, un fonctionnaire comme moi reste entre quatre et sept ans au même poste. J’ai actuellement un contrat de trois ans renouvelable une fois…
v&v.com : Parmi vos objectifs, y a-t-il l’accueil des sportifs étrangers ? Cette activité avait disparue depuis quatre ans…
.E. : Oui, c'est en cours. Certes les Jeux de Londres 2012 ont contribué à «fermer les écoutilles» pour ne pas fournir à nos futurs concurrents des clés – le plan d’eau de la baie de Quiberon et celui de Portland sont très semblables. Mais, désormais l’ENVSN va accueillir d’autres équipes de voile internationale… Nous avons déjà organisé des échanges avec des étudiants polonais et avec des sportifs du Maghreb.
Les grands rendez-vous vont se multiplier au Beg Rohu ces prochaines saisons afin de dynamiser l’école en diversifiant ses activités.
Photo @ ENVSN-Philippe Juhel
v&v.com : L’ENV accueillait aussi des plaisanciers auparavant… I.E. : Nous allons remettre en route ces formations école de voile – il y a 90 bateaux au Beg Rohu ! Du catamaran d’initiation au Laser, du First 7.5 au M34, des Pen Duick II et V au Nacra 17… Nous allons aussi proposer des stages estivaux de formation à l’examen de moniteur BP qui est aussi ouvert au privé, en voile, en kite, en surf…
v&v.com : L’ENV était un centre de recherche très dynamique dans les années 1990-2000… Qu’en est-il aujourd’hui ? I.E. : Nous relançons un programme de recherche sur la micro-météo avec Claire de Nomazy, en collaboration avec Météo France. Nous allons remettre en marche les capteurs météo de l’école ainsi que les bouées en mer pour offrir des informations en temps réel avec webcam. Pour produire de la recherche sur les micro-phénomènes. Et relancer aussi notre atelier composite…
v&v.com : Nous sommes à deux ans des JO de Rio. Cela crée-t-il une nouvelle dynamique ? I.E. : L’équipe de France Handivoile, qui vient de remporter l’épreuve à Miami fin janvier, s’entraîne régulièrement au Beg Rohu. Les coureurs des différentes séries font souvent des stages ici aussi, comme les 470 à la mi-février, comme les Nacra 17 à l’automne dernier.
v&v.com : Il y a aussi des passerelles entre les diplômes sportifs et maritimes… I.E. : Il y avait auparavant les formations pour être Capitaine 200, patron d’un voilier au charter ou en convoyage, organisées par les Affaires Maritimes, et les diplômes de moniteur de voile que l’ENVSN délivraient. Il y a désormais des passerelles entre ces deux cursus : en collaboration avec le Lycée maritime d’Étel, il y a des facilités pour obtenir cette double qualification.
v&v.com : Le Beg Rohu dispose d’un lieu géographique stratégique avec le CROSS et le Lycée maritime d’Étel, les clubs de la baie de Quiberon, le spot de Penthièvre pour le surf et le char à voile – un bel atout… I.E. : Le cadre est merveilleux, oui, mais l’école reste assez loin d’un aéroport… Lorient et Port-La Forêt se sont spécialisés sur la course au large, le Beg Rohu est plus orienté sur la voile légère et les autres sports nautiques, et tend à s’ouvrir vers d’autres disciplines. En tout cas, il est en effet aisé ici de mettre en œuvre des évènements ou d’accueillir des colloques. De rencontrer les différents intervenants du milieu maritime. Mais il y a du pain sur la planche !
Commentaires
tu rabaches et comme tu rabaches souvent on peut dire que tu radotes.
Écrit par : JAMIE | 07/03/2014
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