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30/01/2014

Les confidences de Madame G...

Le changement, c'est maintenant !

Drôle de confession, au moment de partir ! Le bonheur, par la construction du village lacustre de Kerbourgnec, par exemple, par l'Intercommunalité, aujourd'hui adulée, hier repoussée, par le travail "en équipe", soudée et solidaire, qui n'arrive pas à présenter une liste avec les anciens adjoints...

36.000 Maires en France peuvent étaler ainsi leur état d'âme au moment de leur départ pour une autre vie... ce qui reste ce sont les réalisations, les transformations positives et la préparation "à l'avenir" de leur Commune !

A Saint Pierre Quiberon, la langue de bois a recouvert toutes les questions d'avenir : la coopération avec Quiberon et Plouharnel, la sortie de la monoculture du tourisme du 14 juillet au 15 août, la réduction de la construction des "résidences secondaires", la circulation rapide vers Auray (avec la fin du tire-bouchon et de la voie ferrée), l'entretien des rivages, la création d'un véritable sentier côtier du Rohu à Penthièvre, une politique culturelle ambitieuse...

Au fond comme à Sarzeau, un bateau est fait "pour naviguer" !


Geneviève Marchand, un maire doit savoir relativiser
Ouest france du 30 janvier 2014


Entretien
Geneviève Marchand,
maire.

En mars prochain, vous quitterez la mairie. Quels conseils pouvez-vous donner à votre successeur ?
Je ne peux pas donner de conseils, chaque personne assume sa responsabilité en fonction de sa personnalité. Il faut savoir être dévoué à la cause publique, donner de son temps et de sa personne. Pour que ça marche, il faut une bonne équipe, et que chacun prenne sa part de responsabilité, ce n'est pas un conseil, c'est un constat. Je n'aurai pas pu vivre bien ces deux mandats sans une équipe soudée et solidaire.
Quelles sont les difficultés que l'on peut rencontrer dans la fonction de maire ?
Quand on est élu, on éprouve d'abord de la joie. Et, très vite, on prend conscience de la responsabilité qui nous incombe, même si on s'y était préparé. Être un bon maire, c'est occuper sa fonction quasi, à plein-temps.
En 2001, j'occupais un poste à temps partiel à l'École nationale de voile. En 2002, j'exerçais mon emploi à mi-temps.
Il y a des situations difficiles, comme celles d'avoir à annoncer des drames, parce que ce sont les prérogatives de la fonction. C'est toujours éprouvant de s'immiscer dans la vie intime de nos concitoyens pour leur annoncer une mauvaise nouvelle. C'est la part difficile de cette fonction.
Pour le reste rien n'est compliqué, c'est du cas par cas. L'exercice se fait par une bonne étude des dossiers, administratifs pour la plupart. Il faut aussi savoir relativiser et trouver des solutions au jour le jour. J'ai eu, pour cela, des collaborateurs avertis, un personnel d'encadrement compétent et une équipe d'élus responsable et opérationnelle.

Quels sont les faits qui ont marqué vos deux mandats ?

Tout ! Ce qui est satisfaisant, c'est quand on porte un projet et qu'il arrive à son terme. Avoir permis les logements locatifs et en accession à la propriété pour que les Saintpierrois puissent rester dans la presqu'île, par exemple. Depuis 2001, nous travaillons en vue de la grande intercommunalité, c'est une expérience enrichissante, en tant que maire d'une commune dite isolée, d'intégrer en 2014, l'Aqta (Auray Quiberon terre atlantique), c'est un rôle important, même si les élus de proximité ont toujours leur rôle à jouer.

Quelles sont vos aspirations ?

Quand on sollicite les électeurs, on se consacre à la vie de la commune, en sacrifiant sa vie privée. J'aspire à une répartition plus égale de ma vie, engagée, familiale et privée, forte de cette expérience.

Un bateau en rénovation, est-ce une habitation ?
Télégramme du 30 janvier 2014

Au Logeo, un habitant de Sarzeau vit dans une barge qu'il retape. Pas sur l'eau, mais sur un terrain qui lui appartient. Illégal pour le parquet et la mairie qui demandent de concert son évacuation.

Ce terrain est en bordure du golfe, dans une zone protégée. Les photos versées au dossier par la police municipale ont été prises depuis le sentier côtier. La barge incriminée est conséquente : 10 mètres de long pour quatre de large à sa base. « Je ne suis pas sûr qu'elle pourrait être transportée par la route », prévient son propriétaire, un homme de 61 ans. Elle n'est pas la seule à être installée sur la parcelle. Deux autres bateaux à l'abandon s'y trouvent. « J'avais entrepris de les rénover sur le domaine public maritime. Mais l'un après l'autre, ils ont fait l'objet de dégradations. J'ai porté plainte auprès de la gendarmerie, en pure perte », explique le prévenu pour justifier l'installation de la barge sur un terrain qui appartient à son frère. Le bateau s'y trouve depuis 2011 au moins. Mais pour la commune, le problème est qu'il sert de lieu d'habitation. Son propriétaire l'a mis hors d'eau en aménageant un toit en tôles et y a disposé deux fenêtres. « Nous demandons que le bateau, si c'est vraiment un bateau, soit retiré dans les plus brefs délais », a rappelé la juriste qui représentait hier matin la mairie de Sarzeau au tribunal correctionnel. « Pour le mettre où ? À la casse ? »

« Pas un bateau, mais une véritable construction »
Le représentant du parquet interpelle le Sarzeautin : « Est-ce qu'un chantier naval n'est pas la destination naturelle d'un bateau en construction ou en rénovation ? » Puis dit sa conviction : « Ce dossier est beaucoup plus simple qu'il n'y paraît. Il suffit de regarder les photos. On ne se trouve pas face à un bateau posé sur un terrain, mais à une véritable construction dotée d'une toiture ». Il requiert 1.500 € d'amende et la mise en conformité des lieux sous astreinte de 50 € par jour de retard. Pour la défense, il y a deux poids deux mesures. « Est-ce qu'un bateau à sec doit forcément se trouver sur un chantier ? Je passe tous les jours devant un bateau, entreposé dans un jardin, boulevard des Iles, sans que cela semble poser de problème. On ne se trouve pas face à une construction. Une construction à vocation à demeurer sur place. Un bateau à vocation à naviguer ». Et c'est bien ce que compte faire, un jour, le prévenu qui dit vouloir s'éloigner de son « entourage ». Le jugement a été mis en délibéré au 11 février.

Commentaires

dis donc bonhomme tu peux nous expliquer le rapport entre ta prose et le premier article (là ya rapport) et le second article qui, primo n'a rien à voir avec StPierre ni même la presqu'île, et secondo n'a rien a voir avec Madame Marchand.
Et dis donc, d'après ce qu'on m'a dit tu ne savais déjà pas trouver le point G mais après les prochaines élections tu ne pourras même plus compenser en tapant sur celle que t'appelles madame G

Écrit par : mari de la crevette | 30/01/2014

Décidément tu es complètement out ! je te conseille de te faire aider pour déchiffrer ma prose !

Écrit par : jeanbart | 30/01/2014

j'ai fait lire ta prose a des gens plus éduqué"s que moi ....et que toi (c'est pas dur) et ils sont d'accord avec moi, le deuxième article cité est là comme un cheveu sur la soupe !!!! tu croyais faire de l'humour, mais là, tu t'es gouré bonhomme

Écrit par : mari de la crevette | 30/01/2014

@ mari de la crevette
Ne confondez-vous pas "éduqués" et "instruits"?

Écrit par : JPD | 30/01/2014

Monsieur JPD vous avez raison, je suis assez instruit (bac scientifique+5 quand même) mais pas littéraire et le bonhomme fait ressortir chez moi une tendance à la grossiereté dont ma maman dirait qu'elle ne fait pas honneur à son éducation. Mais j'ai fait lirer ce sujet par des amis dont un journaliste et ils se sont marrés.

Écrit par : mari de la crevette | 31/01/2014

Bac + 5 ? Les scientifiques en général n'ont pas une bonne orthographe... quant aux neurones...

Écrit par : jeanbart | 31/01/2014

Que sait-thu de l'ortograf des çianthyfiqes? T'en fraiquante? Sy oui, il douavent bien se maré en t'aiquouten!

Écrit par : JPD | 31/01/2014

ben oui je fait plein de fautes de frappes et je m'en fout...un peu, j'étais bon en orthographe mais là comme je regarde mes doigts et pas l'écran, c'est dur mais l'important c'est la matière grise et surtout la logique, chose qui te manque . Car si ce que tu as à me reprocher c'est la forme c'est que t'es nul a chier pour répondre au fond de mes interventions. Je me suis rendu compte que soit tu cherches la petite bête sur la synthaxe et l'orthographe, soit tu injuries (surtout les femmes)c'est vraiment que t'as rien à réondre, pauvre tache. Essaie plutôt d'argumenter. Mais ça, tu ne sais pas faire, tu assène TA vérité.
Pour les autres, veuillez excuser mon langage mais je me mets au niveau du petit mec.

Écrit par : mari de la crevette | 31/01/2014

Tu nous fait tordre de rire ! Propose quelque chose, des idées...

Écrit par : jeanbart | 31/01/2014

actuellement il y a une vraie crise et quelque soit les gens au pouvoir, elle suivra son cours et il faut essayer de sauver les meubles et il n'y a pas grand chose à faire. Malheureusement quelques mesures comme la préférence territoriale, un vrai controle des salaires des travailleurs étrangers travaillant sur notre territoire se heurteront aaux lois européenne car nous avons été idiots d'y intégrer les pays de l'est qui maintenant controlent l'europe.
Mais attention ce n'est pas une raison pour voter front national, ça serait pire
En tout cas tu râles contre le nombre d'employés municipaux, et bien au moins eux, ils dépensent leurs salaires ici et donc l'argent de la municipalité, donc de nos impots reste ici. Ce qu'il faut c'est diminuer le nombres d'élus dans les différentes chambres. et plafonner le total des indemnités diverses.
Et que sais tu de moi, je fais des propositions à Quiberon, et elles sont moins farfelues que les tiennes pour St Pierre.

Écrit par : mari de la crevette | 31/01/2014

La véritable crise ici, c'est l'encouragement des feignasses... Il faut promouvoir le travail, seulement le travail !

Écrit par : jeanbart | 31/01/2014

Les commentaires sont fermés.