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27/01/2014

Le "niveau" culturel de Saint Pierre Quiberon

A l'heure des bilans, le goût et l'appétence culturelle de nos élus au niveau "zéro" !

Comme chez la plupart des gens de Gauche (notamment chez les communistes), la "bibliothèque un peu ringarde" et la poésie sont les mamelles de la culture d'une mairie socialiste...

Arnaud Montebourg.jpg

Saint Pierre Quiberon n'a pas échappé à ce triste sort, en ne partageant pas avec Quiberon les ressources communes.

L'urbanisme "sans idée" et sans gloire triomphe ici sous la houlette d'un "cheminot", qui adore l'esthétisme des gares et des rails de chemin de fer. Les "extensions" sans âme, les hangars à voiture, les "Chalandonettes" fleurissent dans les villages et près de la Départementale... Le "summum" de l'horreur est concrétisé dans la salle de gymnastique "dans les poireaux", proche du domicile de Madame G. Le PLU, totalement abandonné aujourd'hui, est la concrétisation d'une "sinistrose locale" et de l'absence de "vue d'avenir", comme le dirait le Père François...

La culture "populaire" est réduite à Saint Pierre aux fêtes de village, avec chorale de "faux marins" en marinière ministérielle et troupes exotiques, si possible de gauche... seule exception : le concert de chant et d'Orgue du mois d'août !

Notre historien local, ancien de Loisirs et Culture avant le "maraboutage" par Madame G et ses amies, est totalement ignoré par la responsable culturelle de l'équipe municipale. Un ancien Officier de l'armée, c'est dangereux !

Au point de se réfugier à Quiberon et à Vannes, où les "incultes" sont probablement moins nombreux...

Comment intéresser les adeptes du "Loto local" à une histoire passionnante locale ?


Presqu'île de Quiberon, Dominique Hillion tire sur le fil de l'histoire
Télégramme du 24 janvier 2014

L'histoire maritime de la presqu'île de Quiberon est passée au crible depuis presque quinze ans, par un de ses habitants, du port d'Orange, à Saint-Cado, de la famille Toullec, aux bateaux ayant relâché dans la baie. Rencontre avec Dominique Hillion, historien local.

D'où vient votre intérêt à décrypter l'histoire maritime de la presqu'île de Quiberon ?
Je suis retraité de l'armée de terre depuis 2000. J'ai découvert dans des cartons, toute la correspondance de la grand-mère de ma femme. Des cartes postales qu'elle envoyait à son mari, marin dans la Royale. Beaucoup de cartes postales avec des bateaux au mouillage à Port-Haliguen et des photos de marins à terre. Cela a éveillé ma curiosité. C'est comme cela que j'ai commencé à m'intéresser à l'histoire maritime de la presqu'île. J'ai environ 20.000 documents numérisés dans mon ordinateur. J'ai déjà organisé plusieurs expositions.

Qu'a-t-elle de particulier cette histoire maritime ?
Elle est très riche. J'ai cherché des illustrations de tous les bateaux venus en baie de Quiberon. J'ai écumé les sites internet, les trocs et puces, les bouquinistes. J'ai aussi trouvé des choses chez les habitants de la commune. Ainsi, un jour, un monsieur m'a demandé de venir chez lui, en m'expliquant qu'il avait plein de vieux papiers. J'ai trouvé des documents qui dataient de Louis XIII. Notamment ce qu'on appelle des connaissements. Quand un bateau quittait le port, il acquittait des taxes. Dans ce cas-là, ce monsieur avait des papiers qui attestaient que les bateaux partaient de Quiberon avec des sardines pressées, les livraient à Bordeaux et revenaient avec du vin.

Une fois collectés, que faites-vous des documents ?
Je vais chez les gens, je photographie leurs documents. Je les rentre dans mon ordinateur, et je les exploite, en les replaçant dans leur contexte historique. Ensuite je retourne chez les gens pour leur donner les résultats de mes recherches. Je veux intéresser les gens à leur patrimoine. Et on apprend beaucoup des petits actes de la vie quotidienne. Quand ont fait des recherches historiques, on tire sur un bout et plein de choses arrivent. Par exemple, j'exploite des documents qui datent de 1658. Les Quiberonnais cherchaient des ports d'échouages pour pouvoir commercer. Ils envoyaient du blé ou des sardines pressées, et ramenaient du vin. Ce sont des Quiberonnais qui ont acheté des terrains à Saint-Cado. C'était un petit port d'échouage, comme l'était celui d'Orange à Saint-Pierre.

Ces familles ont donc investi ailleurs que dans la presqu'île ?
Certaines familles ont ainsi acheté des terrains tout au long du littoral, jusqu'à Erdeven. Actuellement je travaille sur une grande famille de Quiberon. Le nom a disparu de la presqu'île car il n'y a eu que des femmes. Je viens de terminer un inventaire d'une dame Le Toullec. Il date de 1788. Il fait 122 pages. Elle avait une grande maison à Auray, rue de Belgique, un ensemble de bâtis à Saint-Cado, une grande maison à Keraude sur Saint-Pierre, des presses à sardines sur le port d'Orange. Ces inventaires permettent de savoir comment vivaient les gens. J'en ai fait un autre sur la femme d'un marin mort en mer. Elle n'avait que les « hardes » qu'elle portait, a-t-elle déclaré au sénéchal. L'inventaire faisait une page.

Quelle découverte sur l'histoire de la presqu'île quiberonnaise vous a-t-elle surpris ?

Je n'en suis pas encore certain, mais je pense que le port d'Orange, tient son nom de Jean IV, prince d'Orange, au XVe siècle. Il y a plein d'indices qui prouvent qu'il aurait fait une action militaire en 1487, à cet endroit. Notamment des traces d'ancres anciennes, en bois recouvert de métal, retrouvées suite à un naufrage. J'ai commencé à faire des recherches. Je suis en relation, avec un descendant de ce prince, qui est vigneron en Bourgogne. Je lui ferai parvenir le fruit de mes recherches. J'aime les partager.

Commentaires

C est HONTEUX vos propos......sur les gens de GAUCHE et mon ami le .......la prochaine fois que je vous voie.........je vous le dirais en face ........je ne vous salut pas

Écrit par : dimitri56170 | 27/01/2014

Dimitri n'avez vous pas encore compris que ce type est un cas pathologique dont personne ne veux. Alors comme un gosse déçu et en colère du fait de son impuissance (dans le sens manque de pouvoir, attention !), il trépigne, éructe, donne des coups de pieds virtuels. Etre injurié par lui est un grand compliment.
S'il bave sur les gens c'est parce qu'ils n'ont pas voulu de lui, c'est tout.
Plaignez le , il en a bien besoin le pÔvre.
Le comble c'est qu'alors que je vote depuis toujours au centre droit, il me rend la gauche sympathique.

Écrit par : MARI DE CONNIE | 27/01/2014

t'inquite pas "Dimitri",ce mec n'aime pas les cheminots et moi en particulier,pourtant tu me connais,je suis un mec bien,il faudrais lui mettre un bon coup sur sa caboche avec une traverse pour lui remettre les idées en place!Kenavo

Écrit par : tchicos | 27/01/2014

La culture, c'est comme la confiture. moins on en a, plus on l'étale. (F.Sagan)

Écrit par : Michel Côme | 27/01/2014

Bonjour,
je ne voulais plus rien écrire sur votre blog monsieur Hennel mais il y a des chose que l'on ne peut passer, surtout que vous m'avez nommée, vous trompant d'interlocuteur alors que mon chéri avait écrit quelquechose que vous n'aimiez pas. Votre rapidité à attaquer hargneusement dès que vous croyez vous adresser à une femme dénote d'ailleurs un problème de ce côté là. C'est ce qu'on m'avait dit et je commence à le croire.

Pour en revenir à la culture sur Saint Pierre et même sur la presqu'île, l'association loisirs et culture est comme une auberge espagnole, on y trouve ce qu'on y amène. Pour une bourgade de 2500 habitants elle offre beaucoup d'activités qui plaisnet aux adhérents. Avez vous jamais présenté une activité culturelle ? Et si personne ne vous a suivi, est-ce l'activéité qui n'a pas plu ou votre personnalité contestable ....et contestée (on pourrait diviser ce dernier mot en deux mots que je vous laisse deviner tout seul).
Rien ne vous plait sur notre presqu'île. Nous, nous l'aimons comme elle est avec ses défauts à corriger en douceur et ses grandes qualités.
Alors qu'attendez vous pour aller porter votre
grand génie ailleurs où il saura être apprécié.
Je ne viendrai plus écrire sur votre torchon votre bêtise s'y accumule encore plus que votre semblant de culture, car là vous en avez en réserve.

Écrit par : Connie la crevette | 28/01/2014

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