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25/01/2013

Loi littoral, chemin côtier et propriétés privées...

Les élus de Saint Pierre Quiberon font la "sourde oreille" !

Etonnant ce Conseil Municipal de Saint Pierre du 24 janvier 2013, où l'on a longuement débattu encore une fois sur les critères d'attribution de la prime annuelle des 40 employés municipaux... alors que les deux sujets d'importance, une esquisse des prévisions budgétaires 2013 et la décision d'avaliser sans discussion l'entrée de SPQ dans la future grande Communauté à 24 (le nombre de communes change chaque semaine !) ont été imposés "au pas de charge" par Madame G, impériale...

La course aux postes dans les groupes de travail de la future Comcom est lancée, sans même indiquer que la loi électorale en préparation sur le scrutin municipal de 2014 permettra d'élire directement les élus à l'EPCI !
Les "paysans" de Saint Pierre ne lisent évidemment pas beaucoup !

Le "chemin côtier", qui agite aujourd'hui toutes les communes du Morbihan, est un sujet brûlant, qui est moins facile à traiter ici que les indices de progression de la fonction publique, gourmandise appréciée par Madame G !

A Plouharnel l'affaire du "chantier ostréicole", en ruine et abandonné, devient un sujet contentieux. A Landivisiau, le Ministre prend un "arrêté" d'autorisation d'une Centrale à gaz à proximité d'une église "classée" ! Près de Surzur on étudie "la servitude de passage du chemin côtier" pour rejoindre la Vilaine et le GR 34 !

Ici, les "nantis" occupent illégalement les rivages de Beg Rohu à l'Isthme de Penthièvre... A l'heure du bilan de 12 années de mandature on constate que cette question du "sentier côtier" n'a pas agité les neurones de nos élus, qui préfèrent courir les "cocktails" et la reconnaissance à l'extérieur de la Commune !

Madame G, invitée à l'ENVSN lors du prochain passage du Ministre des Sports, aura à cœur sans aucun doute de parler du "contournement de Beg Rohu"...

5 minutes en tête à tête ! C'est peu après 12 années d'inaction ! Sic transit gloria mundi !


Tribunal, un atelier ostréicole changé en maison à Plouharnel
Télégramme du 25 janvier 2013

Un quadragénaire avait cru faire la bonne affaire en rachetant un atelier ostréicole avec les 2.000m² allant avec, à Plouharnel, en bordure du Pô. «On comprend bien qu'il s'accroche à cet investissement de 115.000 € avec vue imprenable sur la mer», constate le procureur de Lorient. Mais la «bonne affaire» a surtout été source de gros ennuis pour l'heureux propriétaire qui se retrouvait, hier, devant le tribunal de Lorient pour avoir transformé les lieux en un coquet intérieur. «Aujourd'hui, le jardin est en friche et s'il y a une clôture autour de la maison, ce n'est pas pour la cacher mais pour empêcher aux gens de rentrer sur la propriété», explique le prévenu.

Pour en faire un hangar à bateaux...
Au départ, cet homme avait réalisé cette acquisition pour en faire un hangar à bateaux. Les travaux effectués, qui ont carrément changé la destination des lieux, montrent qu'il n'en a rien été. En effet, sur le diaporama présenté devant le tribunal, on y voit clairement cuisine, salle de bain, chambres, bureau, escalier... Bref, rien à voir avec l'affectation initiale du bâtiment dans lequel le prévenu réside, depuis Pâques dernier. Car étant situé dans un secteur où seules sont autorisées les constructions à usage aquacole, aucun de ces travaux ne pouvait être réalisé. D'où le sens de l'arrêté pris par la municipalité de Plouharnel, visant à les interrompre. Un arrêté, au demeurant, attaqué par le propriétaire des lieux devant le tribunal administratif.

Remise en état des lieux demandée
Le procureur, trouvant le prévenu de «parfaite mauvaise foi», a réclamé 15.000 € d'amende et une remise en état des lieux sous peine d'une astreinte de 200 € par jour de retard. Une condamnation qui n'avait pas lieu d'être aux yeux de l'avocat du quadragénaire, qui a demandé sa relaxe en s'appuyant, entre autres, sur le fait que cela faisait près de 30 ans que ce bâtiment n'était plus utilisé comme atelier ostréicole. En raison des enjeux, le tribunal a préféré différer sa décision au 14 février prochain.

Landivisiau, l'arrêté d'exploitation de la centrale au gaz sera modifié
Télégramme du 25 janvier 2013

Dans notre édition de mardi nous signalions que l'arrêté d'autorisation d'exploitation de la centrale à gaz de production d'électricité de Landivisiau comportait une erreur de localisation. Ce futur outil énergétique étant localisé au 13, avenue Coatmeur, à proximité de l'église classée de Saint-Thuriau, en plein centre-ville. Alors qu'elle devrait être érigée zone du Vern en bordure de la voie express. Contacté hier matin, le ministère a admis qu'il y avait effectivement une erreur de localisation et que, de ce fait, l'arrêté pris le 10janvier dernier par DelphineBatho et paru vendredi dernier dans le Journal officiel, devait être modifié par un autre arrêté rectificatif qui sera pris avant la fin du mois. Une bourde qui ne devrait pas ralentir le projet de Direct Énergie qui espère déposer sa demande de permis de construire à la préfecture au mois de février.

Servitude littorale, 30km à pied dans les marais
Télégramme du 24 janvier 2013

C'est un chantier complexe et diversement apprécié qui est lancé au Tour-du-Parc et à Surzur, deux communes du Morbihan, pour établir la servitude de passage sur le littoral.

Sera-t-il possible de rejoindre par un sentier piétonnier traversant les communes du Tour-du-Parc et de Surzur l'extrême sud du Morbihan ? C'est l'un des gros enjeux de l'achèvement du GR 34, cet itinéraire de randonnée qui fait le tour de la Bretagne par le littoral et s'arrête actuellement au Tour-du-Parc. Le souhait est de le prolonger au-delà de la Vilaine. Mais il faudrait créer une servitude de passage dans des étendues de marais. Et ce n'est pas une mince affaire. Hier, toutes les parties prenantes du dossier, conseil général, préfecture, cabinet Althis, chargé de l'étude, et propriétaires se sont enfoncés dans ces zones humides désertiques et labourées par les sangliers pour vérifier, sur place, les scénarios des tracés envisagés. Les Amis des Chemins de Ronde, sourcilleux sur la continuité piétonnière le long du littoral, s'étaient invités.

Digues, lagunes, taillis...
Un arrêté a été pris en 2005 par le préfet pour établir cette SPPL (Servitude de passage des piétons sur le littoral) au Tour-du-Parc et à Surzur. Cette réglementation oblige les propriétaires à laisser sur leur terrain une bande de trois mètres de largeur. Dans ces zones de marais, où l'on discerne par endroits d'anciennes salines, les choses se compliquent du fait des digues, des lagunes, des ruisseaux, des champs et taillis qui constituent un véritable écheveau et que submergent les grandes marées. Ces milieux sont, de surcroît, des repaires pour les oiseaux migrateurs, les batraciens, des insectes dont il faut éviter le dérangement par une modification de la servitude. Un inventaire écologique devra donc être réalisé afin de recenser toutes les espèces présentes, celles qui pourront s'accommoder de visiteurs et celles qu'il faudra éviter de faire fuir ou d'abîmer.

Retombées attendues
Le projet ne soulève pas l'euphorie chez les propriétaires. «C'est une dépense inconsidérée d'argent public», souligne Mélanie Troublé, résumant ainsi un avis général. Le sentier s'étirera en effet sur plus de 30 km nécessitant des aménagements sur ce qui ressemble actuellement à un parcours du combattant. Mais des retombées économiques sont attendues. «La randonnée amène des gens qui peuvent consommer localement», indique Romain Criou, du cabinet Althis. Ce projet de GR34 entre Arzon et la Vilaine pourra engendrer la création de gîtes d'étapes et un tourisme hors saison, pense Jean-Yves Marcelli, maire adjoint au Tour-du-Parc. Prochain grand rendez-vous: fin juin pour la présentation publique du tracé.
• Gabriel Simon

Commentaires

On t'a expliqué cent fois les tenants et aboutissants du problème du sentier littoral!
Tu ne comprends rien ou tu le fais exprès?
Ou en termes plus bruts, t'es bête ou méchant? (ou non exclusif des logiciens)

Écrit par : JPD | 25/01/2013

Merci de nous traiter de paysans,pauvre marchant de cornichons,"JHB "'n'à jamais rien compris au sentier du littoral,et c'est pas demain que sont cerveau va s'améliorer avec tous les neurones qu'il perd les jours .Kénavo

Écrit par : jeanzyscan | 25/01/2013

@jpd : je pencherais sur b;..ET m.. Et il a besoin de cracher son venin alors il espère que les lecteurs du blog ont oublié les arguments développés ailleurs. Je regrete moi aussi qu'on ne puisse passer partout. Mais il faut se faire une raison, j'ai lu les explications et il semblerait que ce soit légal.

Mais le texte du p'tit bonhomme est encore une accumulation surréaliste accompagnée d'articles qu'il semble ne pas avoir lu à fond car dans le 2ème on dit bien qu'il y a eu une erreur de localisation due sans doute à une coquille d'un bureaucrate car il est évident que la centrale au gaz n'était pas prévue en centre ville, le fait qu'il y ait une église classée est mineur, l'important est la densité de population.

Écrit par : johan | 25/01/2013

A lire les commentaires, il semblerait que messieurs JPD,jeanjyscan,johan seraient contre le rétablissement du chemin des douaniers sur le littoral !!!!
Curieux, pour des donneurs de leçons !

Écrit par : henri | 26/01/2013

Vivraient-ils en bord de falaise ? les "nantis"...

Écrit par : jeanbart | 26/01/2013

@ janbart Vous êtes vraiment aussi crétin et borné que ça ou vous faites semblant.
des parisiens qui vous ont bien connu dans le temps me l'avaient dit mais je ne voulait pas les croire.

@jeanbart et Henri
primo je n'habite pas au bord de l'eau
secondo j'ai toujours râlé contre les diverses municipalités que ne faisaient pas respecter le chemin du littoral jusqu'à ce que quelqu'un SUR VOTRE SITE petit bonhomme, nous explique clairement POURQUOI l'état de fait était légal.

Alors vous qui vous plaignez toujours des dépenses faites par l'équipe Marchand, que diriez vous s'ils dépensaient les sous de la commune dans un procès qu'ils seraient surs de perdre? Ne croyez vous pas qu'actuellement, ils ont plus à en faire que de faire plaisir à quelques randonneurs

Tertio je me suis renseigné, la servitude de passage n'existe pas dans le cas d'un terrain appartenant à l'était....donc, n'importe comment, le pointe du Rohu ne serait pas accessible...

Écrit par : johan | 26/01/2013

Jean-Berty, tu sais très bien où j'habite et que ce n'est pas au bord de la falaise!
Alors, pourquoi es-tu malhonnête dans tes allusions?
Nanti? Parle pour toi; je suis prêt à comparer. Chiche?

Écrit par : JPD | 27/01/2013

Et ben oui "Henry",ma proriétée donne sur la mer,je peut pécher de ma terrasse en prenant l'apéro, j'ai accès directement à la plage,mais devant chez moi il y à un petit mur d'un métre de hauteur ou les gens peuvent passer à marée haute sans problème,inconvénient les propriétées voisines achetées par des touristes n'ont aucun passages,donc les gens sont obliger de faire demi-tour et ça je n'y peut rien.Kénavo

Écrit par : jeanzyscan | 27/01/2013

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