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21/11/2012

La "bouffe"...

Les choix communaux ne sont pas les même...L'intellect ne se fabrique pas tout seul !

Est-ce le rôle "premier" d'une commune de subventionner la cantine scolaire ? Selon les propos de Nadine F le budget, consacré "à la bouffe" représente la moitié du budget, consacré aux routes..., ce qui en dit long sur les services offerts à la population de la Commune de Saint Pierre Quiberon !

Pareil en matière de service de nettoyage municipal ! Les employés passent plus de temps sur les camps de camping municipaux que dans les artères de la Commune. A part le camion de nettoyage loué une fois par an, il n'y a pas un employé municipal dans les rues du Rohu (200 maisons quand même !).

A Quiberon on propose aux enfants de suivre le "Vendée Globe Challenge" avec le soutien de spécialistes de l'ASNQ... pour stimuler l'esprit de compétition...Régis Santaniello propose des cours de piano et de formation musicale...

Pendant ce temps Nadine F arpente les pistes cyclables de la Commune en tenue "bleu et jaune". Ca va le faire...


A la cantine de Saint Pierre Quiberon, les enfants mangent comme à la maison
Ouest France du 21 novembre 2012

Entretien
Nadine Ferrero,
en charge des affaires sociales.

Le restaurant scolaire est sous votre responsabilité, pourquoi avoir fait le choix d'une cantine traditionnelle avec une cantinière ?
C'est un choix de la municipalité que de conserver une cantinière et de continuer à préparer les repas sur place. Notre restaurant scolaire est encore à taille humaine même s'il accueille entre 70 et 80 enfants par jour. Ce choix nous satisfait et nous permet de mettre en place des projets éducatifs avec la diététicienne, Isabelle Le Flao-Raibaut, les directrices d'établissements et les parents d'élèves, autour de la nutrition des enfants. Cela est possible car nous y associons la cantinière. La démarche est complète et les enfants qui découvrent en classes des produits frais et des légumes, les retrouvent dans leurs assiettes lorsqu'ils arrivent au restaurant scolaire. Chantale Le Bot, la cantinière, et ses collègues travaillent au restaurant scolaire depuis de nombreuses années et elles ont toute ma confiance. Elles bénéficient d'une certaine autonomie quant à l'achat, au plan local, de produits biologiques et à l'établissement des repas en fonction des saisons. Bien sûr toujours sous le contrôle de la diététicienne.

Pourquoi ne pas être passé comme bien des communes à une forme de restauration délocalisée ?
Simplement parce que cette approche humaine de ce moment de détente que doit être le repas, est une de nos préoccupations. Ensuite parce qu'une cantinière c'est la garantie d'un service à la carte. Un service de proximité en quelque sorte, elle connaît les enfants et adapte le service en fonction. Ils sont comme à la maison.

Y a-t-il des inconvénients à ce choix ?
Le coût de ce choix est réel. Le prix du repas reste accessible pour tous à 2,80 € mais cela sous-entend une forte participation de la municipalité : 72 192 € en 2011 et 55 700 € pour l'instant en 2012. Toutefois il n'est pas rare de voir bon nombre de communes revenir vers ce système.

Sainte-Anne - Saint-Clément, le Vendée Globe suivi de près
Télégramme du 13 novembre 2012

C'est une initiative originale que l'école Sainte-Anne - Saint-Clément a mis en oeuvre à l'occasion de la course à la voile en solitaire, le Vendée Globe. 70élèves de CE2, CM1 et CM2 ont été motivés par Catherine Lidec, Auréliane Rabin et Caroline Evenas, leurs professeurs, pour suivre la course. «Par groupe de trois, les élèves ont choisi de suivre un skipper, expliquent-elles. Ils suivent l'évolution au jour le jour de la course. Cela a un côté pédagogique puisque cela allie navigation, géographie et mathématiques».

Un point tous les quinze jours
Pour les guider, l'association sportive et nautique de Quiberon (ASNQ) a mis à leur disposition Thomas Espa et Antoine LeBaillon, deux moniteurs de voile. «Nous leur donnons quelques explications techniques: ce qu'est la latitude, la longitude, le GPS qui permet de faire un point sur le classement de chaque navigateur, comment lire la carte avec les positions des coureurs...», détaillent ces derniers. Très motivés, les élèves attendent avec impatience le prochain point dans quinze jours. Et espèrent que le skipper choisi par chaque groupe se retrouve en tête du classement.

Musique, un grand pianiste pour Bretagne Diapason
Télégramme du 14 novembre 2012

C'est une véritable pointure musicale qui vient de se réinstaller dans sa région d'origine. En juillet dernier, le Brestois Régis Santaniello s'est installé dans le Morbihan après un parcours déjà riche, placé sous le signe du piano. 1980. À 7 ans, Régis Santaniello découvre le piano. Ce sera le début d'une belle carrière. Les années passent, il intègre la fac de musicologie à Rennes 2, réussit sa licence, et obtient la même année un 1erprix de formation musicale au CNR de Rennes. En 2000, un diplôme d'État obtenu au Centre d'Études Musicales de Toulouse lui permet d'enseigner aux conservatoires des 7e, 8e et 15e arrondissements de Paris.

Bercé par «La Mer»
Parallèlement, il suit des cours d'orchestration et d'écriture au Conservatoire national de région de Saint-Maur avec Olivier Kaspar et Elisabeth Ballon. «C'est en écoutant pour la première fois "La Mer" de Claude Debussy que je me suis pris de passion pour l'écriture orchestrale, explique-t-il. Comment cela était-il possible de composer une musique aussi géniale? C'est bien plus tard que je me suis inscrit dans des cours d'orchestration afin de le découvrir et d'essayer à mon tour d'écrire des musiques pour orchestre». Pari réussi puisqu'il obtiendra un 1erprix d'orchestration en 2004. L'année suivante, il suit sa compagne mutée à la Réunion, mais cela ne l'empêche pas de continuer à composer.

Le virage des pigeons
En 2007, il écrit la musique du court-métrage «Même les pigeons vont aux paradis» de Samuel Tourneux, un projet qu'il mène avec Philippe Barbey-Lallia, le chef d'orchestre de l'Orchestre cinématographique de Paris. La musique est d'abord composée au piano, puis réécrite pour l'orchestre. Ce court-métrage sera nominé aux Oscars en 2008 dans la catégorie du meilleur film d'animation. «La magie de la musique de film, c'est d'apporter un certain pouvoir aux images, de donner un caractère supplémentaire à l'histoire et aux dialogues, raconte-t-il. Ma fierté, c'est d'avoir la possibilité d'enregistrer une musique avec un orchestre. Quand les musiciens arrivent, ils découvrent la partition et au bout d'une heure il faut commencer l'enregistrement. Durant les premières minutes, la tension est palpable car on se demande si cela va marcher. Et puis, soudain, la musique commence à prendre vie. Un vrai moment de bonheur». Une fois revenu dans le Morbihan l'été dernier, Régis Santaniello a été rapidement contacté par l'association Bretagne diapason à Quiberon, qui cherchait un professeur de piano et formation musicale.

Aujourd'hui, il donnera son premier cours de piano dans les locaux de la rue Jules-Ferry.

Pratique Renseignements: tel.06.38.96.19.51 et 02.97.29.34.54.

Commentaires

"L'intellect ne se fabrique pas tout seul !" pour une fois vous avez raison , et vous en êtes le vivant exemple petit nennel.
"Est-ce le rôle "premier" d'une commune de subventionner la cantine scolaire ? Et oui et c'est justement un service offert à la VRAIE population de la CommQUI Y TRAVAILLENT et non les joyeux retraités duchentils privilégiés que vous et moi somme.
Ne vous méprenez pas, je ne me compare surtout pas à vous, la ressemblance s'arrête là. MOI je respecte les bretons qui ont accueillis mes parents, autochtones de ce pays que j'ai quitté pendant ma vie active et auprès desquels je veux finir ma vie en essayant d'empêcher les tordus de votre genre de trop l'abimer.

Écrit par : johan | 21/11/2012

Les commentaires sont fermés.