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23/10/2012

Que faisons-nous ?

L'immigration de "franciliens" est à saisir pour animer notre commune, qui s'endort !

Plutôt que d'attirer des touristes un mois par an (avec des dépenses improductives à la charge de la commune), pourquoi ne pas privilégier l'installation de "franciliens" à l'année.

Pour ce faire le développement d'une véritable politique commerciale est souhaitable...avec ses conséquences directes sur l'habitat, les commerces locaux, la politique culturelle...

Plus, plus, plus !


Civilisations
L'atout climatique
Herodote.net mai 2012

Les premières civilisations de l'Histoire ont dû leur essor à un climat propice. C’est l’intuition de Vincent Boqueho, validée par les données climatiques et météorologiques.
Il a défini trois facteurs climatiques de nature à déclencher l’étincelle civilisatrice. Une demi-douzaine de territoires rassemblent ces facteurs sur la planète et Vincent Boqueho a pu constater qu’ils coïncident avec les lieux qui ont vu l’humanité entrer dans l’Histoire, il y a environ 5000 ans.
Sa conclusion ne manquera pas de surprendre : les Olmèques (Mexique), Égyptiens, Sumériens, Indiens et autres Chinois doivent à une heureuse conjonction climatique d’avoir inventé avant tous les autres les villes, l’agriculture et l’État.

Plus d’un Francilien sur deux rêve de province
Le Figaro du 11 octobre 2012

Paca, Bretagne et Languedoc-roussillon sont les destinations
privilégiées par les candidats au départ, selon Provemploi.

« Pour rien au monde je ne reviendrai vivre à Paris ! » Voilà un an que Julien, paysagiste de 27 ans, vit à Jard-sur-Mer, ville vendéenne de 2 500 habitants. Originaire de Paris, cet entrepreneur dans l’âme a décidé de monter sa propre entreprise dans cette région où il a l’habitude de passer ses vacances. « Je ne supportais plus le stress, les transports, la vie compliquée de Paris », confie-t-il. Partir. Une tendance en progression, à en croire le sondage de l’institut CSA pour Provemploi, organisateur du salon « Pour vivre et travailler en province », publié jeudi et réalisé auprès de 1 030 Franciliens. « 200 000 personnes quittent l’Ile-deFrance tous les ans depuis cinq ans et, d’après les chiffres de l’Insee, nous allons vers 300 000 personnes dans les dix prochaines années » , soutient Antoine Colson fondateur de Provemploi.


Un cadre de vie plus agréable
En 2012, ils sont plus d’un sur deux à souhaiter prendre leur envol hors de Paris et, parmi eux, 19 % sont certains de partir un jour. « Contrairement à notre étude datant de 2011, qui s’appuyait sur des mobilités effectives, nous nous sommes attachés cette année à photographier les envies de départs » , explique Antoine Colson. Alors, pourquoi ce désir d’ailleurs ? Le cadre de vie plus agréable arrive en tête. Suivent le coût de la vie ainsi que la fatigue liée au stress parisien. Et à quel moment ces Franciliens désabusés par la vie parisienne franchissent-ils le cap ? « Le travail est un facteur décisif dans cette prise de décision, constate Antoine Colson. Hormis pour certaines professions, il est plus facile qu’avant de trouver un emploi en province, ou de faire des allers-retours moins longs. De plus en plus de personnes se mettent aussi au télétravail ou décident carrément de se reconvertir. »

Deux régions sont particulièrement plébiscitées puisque plus fertiles qu’ailleurs pour l’emploi : les Pays de la Loire et la Bretagne. Mais pas seulement. Tout le sud de la France est aussi convoité, la région Paca se plaçant même en haut du podium des souhaits, soif de soleil oblige. « La région Languedoc-Roussillon, pourtant connue pour son taux de chômage important, n’a jamais cessé depuis 2008 d’accueillir des personnes en mal de soleil », poursuit Antoine Colson.

Depuis cinq ans que Provemploi analyse avec minutie les flux humains de la région parisienne vers la province, des évolutions ont été relevées. Au niveau du choix des villes d’abord. Alors qu’il y a encore quelques années les cibles urbaines rimaient avec grandes agglomérations, elles se dirigent plus aujourd’hui vers les petites ou villes moyennes (51 %). Même si, au final, les gens se retrouvent tout de même davantage dans de grandes métropoles, souvent à cause du travail proposé. Autres différences relevées : de jeunes générations qui ne sont plus frileuses à l’idée de ne pas commencer leur carrière en passant par la case Paris et un phénomène migratoire qui traverse désormais toutes les couches sociales.

Commentaires

Serais-tu en train d'inventer la colonisation?

Écrit par : JPD | 23/10/2012

Il y a longtemps que les franciliens ont découvert la presqu'île. St Pierre est l'annexe de Versailles.
Mais si c'est pour avoir des gens qui après avoir gouté à ce qu'est la presqu'île font comme un dingue que je connais et se mettent a réclamer autoroute et centrale nucléaire tout en croyant nous être si supérieurs que nous devons suivre leurs conseils de x!?#&!§ alors non, il vaut mieux rester entre arriérés et sous développés.

Écrit par : johan | 23/10/2012

Ils quittent Paris car ils sont envahis par les cafards, le gauchos, et les bougnoules qui font la loi. En "province", ils peuvent vivre normalement sans etre emmerdés par la racaille mahometane et les rouges....

Écrit par : Kaffir | 24/10/2012

Pas d'intervention du modérateur pour ces propos insultants?

Écrit par : JPD | 24/10/2012

Les commentaires sont fermés.