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25/04/2011

Médiathèque ? Le fin annoncée...

Les conséquences de la "numérisation" des contenus : les "métiers" changent !
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Madame G en retard "d'une guerre" ? Comme dans la gestion de la Mairie, où "Stéphanie" a poussé vers l'informatisation des processus, la "culture" chère aux gens de gauche, évolue. Et dans l'investissement, il ne faut pas se tromper d'époque ! et investir à contre-cycle...

Pourquoi embaucher une bibliothécaire aujourd'hui, alors qu'il est indispensable de former les futurs lecteurs à l'informatique, au choix des meilleures liseuses et tablettes ! Même contresens avec l'Office du Tourisme... un site Internet destiné aux pygmés des grandes villes, car réalisé "à bas coût" par de mauvais spécialistes des techniques actuelles...

L'informatique est aujourd'hui abordable et même nécessaire ! Mais il faut embaucher ou faire travailler des gens compétents ! Il n'est jamais trop tard !


Amazon et son Kindle s’invitent dans les bibliothèques américaines
01net du 21 avril 2011
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La librairie en ligne américaine vient d’annoncer que les possesseurs d'un Kindle, sa liseuse, pourraient bientôt emprunter des livres électroniques auprès de quelque 11 000 bibliothèques des Etats-Unis. Le service ne sera ouvert que plus tard dans l’année, et de nombreux détails techniques demeurent inconnus, mais l’ensemble des appareils compatibles avec le Kindle est concerné, qu’il s’agisse de la liseuse électronique à proprement parler ou de l’application du même nom, disponible sur la plupart des plates-formes mobiles ainsi que sur PC et sur Mac.
Amazon annonce par ailleurs avoir mis à jour sa technologie Whispersync – qui permet de synchroniser ses contenus entre la liseuse et différentes applications Kindle – pour permettre à ses clients d’annoter le livre qu’ils empruntent. Ces notes ne seront évidemment pas accessibles à la personne qui lira le même livre par la suite, mais leur auteur pourra les retrouver s'il emprunte de nouveau l'ouvrage ou s'il l’achète sur Amazon.

210 000 nouveaux livres numériques pour la BnF
Pierrick Aubert
ZDNet France du 20 avril 2011

La BnF vient de signer un contrat avec Jouve, une entreprise spécialisée dans la dématérialisation. Le portail web de bibliothèque nationale devrait ainsi compter près d’1,7 million de titres en 2014.
Gallica continue de numériser à tour de bras. Le portail web de la Bibliothèque Nationale de France (BnF) vient d'annoncer qu'au cours des trois prochaines années 210 000 nouveaux ouvrages viendraient enrichir son catalogue en ligne.
Google avait un temps été pressenti pour faire ce travail, mais face à la polémique, la BnF a temporisé et a finalement passé un contrat avec l'entreprise Jouve, qui propose des solutions de dématérialisation. En partenariat avec Safig, Diadéis et BancTec, Jouve s'engage à numériser 70 000 livres par an.
« Format HD »

Du côté de Google Livres, un accord avait été passé avec Hachette pour l'ajout de 50 000 titres supplémentaires. Face au géant américain et ses 15 millions de titres digitalisés, Gallica s'accroche et compte bien ne pas se laisser faire.
Art, droit, histoire, littérature, politique, sciences... tout sera balayé. La BnF passerait ainsi de 1,4 à 1,7 million de livres numériques entre aujourd'hui et 2014. En 2007, 36,6 millions de pages avait pu être numérisées.

Le contrat passé avec Jouve précise que la dématérialisation des livres sera effectuée en 400 points par pouce, c'est-à-dire avec une reconnaissance des caractères garantie à 98,5% pour les documents parus entre 1750 et aujourd'hui.
La BnF mise ici sur la qualité et annonce qu'au moins 10% des nouveaux ouvrages numérisés seront au format ePub, afin d'optimiser la lecture sur les livres électroniques.

Sur un marché du livre numérique en pleine croissance, notamment grâce aux smartphones et tablettes, Gallica ne baisse pas les bras et élargi progressivement son fonds documentaire. Les prochaines oeuvres numérisées seront progressivement disponibles sur le web dans des librairies en ligne.

Commentaires

Abordable l'informatique, alors qu'il y a des couples, travaillant tous les deux, qui arrivent péniblement à payer leur loyer.
Dans quel monde vis-tu, JB?

Écrit par : JPD | 25/04/2011

On ne peux pas dire de moi que je nsuis contre l'informatique mais je pense que le livre papier a encore de beaux jours ..... sur la presqu'île et ailleurs, surtout en été car je ne conseille à personne d'emmener sa "liseuse" à la plage. (sable, reflets)
Le numérique est génial pour avoir les classiques sous la main et pour les romans de gare qu'on jetterait de toute façon.
en revanche, pour les yeux fragiles l'écran fatigue énormément et si on grossit les lettres, pour les gens qui lisent très vite comme moi, ça devient épouvantable on ne peux pas appréhender plusieurs lignes à la fois car les lignes sont tronquées.
de plus j'ai essayé de bouquiner numérique au lit, c'est pas top. Un livre de poche souple entre les doigts c'est quand même plus confortable

Il y a des livres qu'on veut garder dans sa bibliothèque. Un numérique ne peut être feuilleté rapidement pour retrouver une page particulière, il n'a pas d'odeur. UN livre est un vieil ami.
J'avais une bibliothèque de 6000 livres, j'en ai donné 2000 dont j'aurais bien gardé quelques centaines sous forme de numérique. Sur les 4000 qui me restent je pourrais en conserver la moitié en numérique mais l'autre moitié ne pourrait absolument pas être numérisé.

Alors les bibliothèques vont peut-être se numériser mais elles devront garder un fond papier

Écrit par : fran | 25/04/2011

"J B",l'informatique coute trés cher,et n'est pas a porter de tous,loin de la ,abonnement,portable,réparation,ça a un coup que les gens gagnant le smic ne peuvent se permettre,alos vive les livres que l'ont peut garder,échanger.
Kenavo

Écrit par : jeanzyscan | 26/04/2011

Les commentaires sont fermés.