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24/02/2018

Mots creux et idées courtes ! AQTA copie l'échelon national ! à nos frais !

Les plans "climat" se déclinent maintenant à l'échelon intercommunautaire...

AQTA, chauffage au bois.jpg

Le langage "pseudo-scientifique" se parle désormais sur les rives de la Baie de Quiberon avec ses mots forts : limitation de l'échauffement mondial, émission de gaz à effet de serre, pollution atmosphérique.

Après un développement démographique programmé par le Maire de Saint Pierre Quiberon, un accroissement des capacités d'hébergement, une action forte sur les eaux usées, les déchets, une circulation riche en micro-particules, nos dirigeants constatent qu'il est difficile de faire croitre tourisme et élevage d'huitres dans la même eau !

La mise en concurrence quotidienne des énergies fossiles (fuel et gaz), des énergies électriques venues d'ailleurs (et mal régulées par les compteurs Linky), des futures énergies renouvelables (solaire et éolien) conduit à percer des tranchées (surtout malheureusement pour le gaz !), sans aucune évaluation de leur apport en gaz carbonique et particules fines ! Le sommet de la bêtise humaine est atteint dans le chauffage au bois, qui pollue fortement les voisins (Le Gumenen et son école maternelle !) et dont le seul bilan (apparemment peu positif en matière de prix de revient) est un moindre déficit de la balance commerciale...les discours officiels pourtant répètent sans aucune réflexion la "valorisation" de nos forêts et l'emploi forestier. Tout en cachant les effets des terpènes et de la pyrolyse sur la santé humaine... 

La course, à peine lancée, vers le bio-gaz, miracle agricole, n'est fondée sur aucune réussite de masse et ceci malgré de nombreux déboires financiers essuyés par de nombreux paysans bretons.

Malgré les discours "d'en haut", l'énergie nucléaire reste aujourd'hui en France la source la moins polluante en gaz carbonique, la plus souple dans l'adaptation de l'offre à la demande. Elle demeure ainsi le centre de gravité du système énergétique français dans la tourmente construite de la "transition énergétique" !

En AQTA "l'optimisation" sur un seul critère (la pollution en tout genre) se heurte aux effets de dimension, puisqu'il s'agit d'une communauté qui "importe" ses énergies, hérite de gros défauts historiques (Incinération à Plouharnel, circulation automobile générale, lutte commerciale entre EDF, ENGIE et groupes pétroliers). Des actions de fond, comme l'amélioration générale du réseau électrique, de l'installation d'un réseau "fibre" sur tout le territoire, requièrent un financement "lourd" et prioritaire !

Pour le reste les actions lancées (en dehors du logement) ressemblent à du "babillage" coûteux et peu scientifique !

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18/02/2018

Insécurité à Saint Pierre Quiberon ?

La situation, après les "casses" du Centre-ville, n'est pas meilleure dans les villages 

Saint Pierre Quiberon, cambriolages.jpg

Climat inquiétant, notamment, dans les maisons isolées au Sud de la commune. Le déroulement est toujours le même, avec apparemment une surveillance attentive des activités des propriétaires, habitant.

Cambriolage rapide à la recherche d'argent liquide et de bijoux.

La faible densité d'habitants pendant la période hivernale ne permet pas une surveillance par les voisins !

Un système d'alarme (avec centralisation des évènements) est recommandable !

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16/02/2018

AQTA, le contribuable serait sollicité en 2018 !

Les projets "faramineux" de l'Intercommunalité se heurtent au mur du financement...

Aqta, Philippe le Ray propose une hausse des impôts communautaires.jpg

Au Conseil municipal de Quiberon du 15 février 2018, Philippe Le Ray était absent lors du débat "presque philosophique" sur les bienfaits de la "mutualisation", résumés dans un rapport de dizaines de pages. Comment faire mieux à plusieurs sans augmenter les charges... mettre en commun certains matériels, certaines compétences, certains conseils.

Selon les explications données par plusieurs conseillers et le Directeur général des Services, la mutualisation "envisagée" serait plutôt de "petite envergure" : beaucoup de réunions transversales, certainement pas de mobilisation de personnels itinérants.

L'exemple donné des médiathèques est éclairant : profiter du fond commun, certes, mais comment transférer les documents entre médiathèques sans obérer les coûts.

Le véritable obstacle à la parfaite mutualisation est donc la distance entre communes d'AQTA, ainsi que la gestion actuelle classique du personnel communal. Tout échange intercommunal se traduirait par des écritures comptables de grande complexité et par la perte du lien hiérarchique habituel !

Aujourd'hui, il est donc fortement improbable, comme d'ailleurs dans les autres intercommunalités, que la mutualisation tant vantée par AQTA permette de véritables économies de productivité, qu'elle soit donc source de réduction de dépenses communales ou intercommunales...

Le Maire de Quiberon a donc été fort habile en ne révélant pas au Conseil le tumultueux débat de la veille des conseillers communautaires sur la hausse, voulue, des impôts communautaires sur l'exercice 2018...hausse considérée comme probable pour financer en partie la multitude de projets, lancés par AQTA depuis 4 ans ainsi que l'accroissement des effectifs communautaires.

L'heure des choix au sein d'AQTA a donc sonné, avec une large opposition des Maires "importants" à la dérive financière, qui s'annonce. Peut-on "tout faire" aujourd'hui, de la pépinière de Plouharnel à la gare de Brech, sans passer par le trébuchet de la rentabilité ?

Et peut-on faire confiance aux responsables de l'Intercommunalité, à la pertinence des choix exercés depuis la création par AQTA, à la cohorte des Vice-Présidents spécialisés dans la course "au charbon" ?

La "rigueur" financière n'est-elle réservée qu'aux gestionnaires municipaux ?

 

 

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