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05/12/2017

La passion pour les dépenses collectives remonte à l'ancien régime !

Le débat n'est pas seulement national ! Il est aussi dans le partage "nouveau" des dépenses communales avec l'intercommunalité !

AQTA, Gemapi, Roland gastine, Annie Audic et Philippe Le Ray.jpg

Avec la compétence GEMAPI, prise en charge par AQTA, il est déjà question du prélèvement d'une taxe nouvelle de 40 euros par habitant...ce qui ne serait pas incongru, puisque notre commune est reconnue comme fortement exposée aux inondations, très mal équipée pour la gestion des eaux pluviales, qui vont directement à la mer.

Aujourd'hui les conséquences financières de la gestion de l'intercommunalité AQTA sur la fiscalité des ménages ne sont ni publiées, ni évaluées globalement. La reprise de compétence, comme le tourisme ou la gestion des zones d'activité, se trouve dans une phase de "démarrage"  avec, bien entendu, des frais supplémentaires et un sureffectif non encore maîtrisé. Le développement de projets collectifs (Gare d'Auray, projet culturel) risque également de peser fortement sur les charges de l'intercommunalité. Au total, la trajectoire financière de l'ensemble Commune+ AQTA semble plutôt "à la hausse".

La création récente d'un comité local "En marche" a pour objectif d'expliquer les réformes en cours au niveau national, mais aussi de faire remonter les informations, les idées et les besoins du niveau local !

Selon la programmation pluriannuelles des finances publiques 2018-2022 les dépenses "seraient ramenées en cinq ans de 54,6% à 50,9% du PIB, ce qui devrait se traduire ici par un "très gros coup de frein" pour le bloc intercommunal. L'effort demandé par le gouvernement aux collectivités locales serait de l'ordre de 1,1 point de PIB...

Voici donc le "paysage financier", qui doit guider nos décisionnaires locaux, notamment dans la préparation du budget 2018.

Dans la perspective des élections municipales de 2020, le projet de fusion entre Saint Pierre et Quiberon est porteur de "productivité". Il permettrait de suspendre tous les projets actuels de construction d'une nouvelle mairie et d'améliorer l'entretien des infrastructures actuelles, ainsi que les services offerts à la population.

En Marche vers la fusion !

 

 


Milieux aquatiques, Aqta étudie son cap

Télégramme du 30 novembre 2017

AQTA, Gemapi, Roland gastine, Annie Audic et Philippe Le Ray.jpg 

Roland Gastine, vice-président d'Aqta en charge de l'eau potable et de l'assainissement collectif, Annie Audic, vice-présidente en charge de des milieux aquatiques et de l'assainissement non collectif, et Philippe Le Ray, président de la communauté de communes.

Relever, à l'échelon d'Aqta, les défis de la gestion des milieux aquatiques et de la prévention des Inondations (Gemapi), mais aussi les financer : vendredi dernier à Erdeven, les élus d'Aqta ont planché avec services et partenaires sur cette nouvelle compétence « Gemapi » qui leur échoit, par la loi ; au 1e r janvier 2018, comme aux autres communautés de communes. Ce nouveau « package » résulte d'un besoin d'efficacité face aux effets des bouleversements climatiques, en replaçant la gestion des masses et cours d'eau au sein des réflexions sur l'aménagement du territoire.

Interrogation sur la taxe

Concrètement, ces nouvelles attributions consisteront à préserver l'état naturel des cours d'eau, prairies humides, etc. par des opérations de « renaturation » ou des ouvrages de continuité écologique. Et face aux inondations, à préserver et réguler les écoulements naturels, à gérer, surveiller, améliorer et réaliser ouvrages et protections.

 

« Sur le volet PI ? prévention des inondations ? l'objectif est de protéger et d'éviter les prises de risques ; il faut qu'en 2024, on soit en règle », cadre le président Philippe Le Ray, en prenant l'exemple de l'isthme de Penthièvre pour lequel Aqta endossera une responsabilité de moyens à cette échéance. Il en sera de même pour le volet Gema et eaux pluviales dès 2020. Le séminaire de vendredi visait à appréhender ces défis dans une optique d'harmonisation des politiques de territoire, car Aqta gère déjà la distribution d'eau potable et l'assainissement. Et sur ce dernier volet, les charges continuent de grimper pour améliorer le réseau et créer des stations supplémentaires : Locoal-Mendon (permis en 2018, mise en service 2019-2020), puis Landévant (desservant aussi Landaul), Plumergat et en parallèle, Crac'h. De plus, des actions sont aussi menées par des syndicats mixtes comme celui de la Ria d'Etel, et son absorption éventuelle par Aqta à l'aune de cette Gemapi n'est pas vue comme prioritaire par Philippe Le Ray. Cette harmonisation et celle des financements et modes tarifaires sera le chantier de 2018, avec la détermination des coûts en fonction du « qui fait quoi » avec les communes, entre autres. Et à la clé, l'instauration ou non de la taxe facultative dédiée plafonnée à 40 € par habitant. Mais Philippe Le Ray s'alarme aussi que le gouvernement vienne puiser dans les fonds de l'Agence de l'eau, gros financeur de projets.  

© Le Télégrammehttp://www.letelegramme.fr/morbihan/auray/milieux-aquatiques-aqta-etudie-son-cap-30-11-2017-11761412.php#hDLSQjo8YXe3j4XD.99

En Marche, un comité local à Saint Pierre Quiberon

Télégramme du 2 décembre 2017

 En Marche avec Catherine Allain, Erick Orgebin et Sonia Artigues.jpg

Erick Orgebin, le coordonnateur de la circonscription, avec Catherine Allain et Sonia Artigues.

Le comité de La République En Marche de Saint-Pierre-Quiberon proposait sa première réunion d'information lundi. L'animatrice avait invité les entrepreneurs locaux pour échanger sur la réforme du code du travail et le dialogue social. Il existe dix comités La République En Marche sur la circonscription dont le coordonnateur est Erick Orgebin. Sur la commune, Sonia Artigues est la responsable. Elle est secondée par Catherine Allain. « Le rôle des comités est d'être au plus près des citoyens non seulement pour expliquer la politique menée, mais aussi pour faire remonter les informations, les idées, les besoins », expliquent les deux femmes. Aucune des deux animatrices du comité local n'exprime d'ambition politique particulière. Elles avancent surtout leurs convictions et leur envie d'agir : « Tout le monde peut venir aux ateliers que les comités organisent sur des thèmes très divers. Pas besoin d'être adhérent. Toutes les bonnes volontés sont les bienvenues ». Après les réunions ou ateliers, les animatrices rendent compte des échanges à leur coordinateur, à leur référent départemental mais aussi aux députés En Marche du département.

 

Contact

https ://en-marche.fr/comites/la-presqu-ile-en-marche

 

© Le Télégrammehttp://www.letelegramme.fr/morbihan/saint-pierre-quiberon/en-marche-un-comite-local-02-12-2017-11764334.php#w6QvboM9kwjMSmIU.99

Le Comité d'action publique 2022 réussira-t-il à sauver l'État français ?

Le Figaro du 4 décembre 2017

Jean-Pierre Robin

 Edouard Philippe.png

CHRONIQUE - Un groupe de 34 experts «indépendants» est chargé d'éclairer le gouvernement pour réussir à rafistoler un modèle socio-économique à bout de souffle.

Les initiés parlent de Cap 22, un clin d'œil à la COP21, la conférence de Paris de 2015 sur le climat qui fut un succès. Il s'agit en réalité du Comité d'action publique 2022, le groupe de 34 experts «indépendants» chargés d'éclairer le gouvernement et son premier ministre, Édouard Philippe, dans «la transformation du service public», à l'horizon 2022. Les sachants remettront leurs travaux en mars prochain.

On songe irrésistiblement au Comité de salut public de 1793, et les membres de Cap 22 - la plupart issus des cabinets ministériels depuis la présidence de François Mitterrand - en sourient eux-mêmes. Cela donne du cœur à l'ouvrage: à un peu plus de deux siècles d'intervalle, n'y a-t-il pas la même urgence à sauver la République?

À écouter le premier ministre louant «la richesse inestimable des services publics» et Gérald Darmanin, le ministre de l'Action et des Comptes publics, qui y voit «le visage de la République partout en France», on comprend assez bien l'état d'esprit. C'est celui du Guépard (le livre et le film) proclamant «pour que tout reste comme avant, il faut que tout change».

Selon la programmation pluriannuelle des finances publiques 2018-2022 présentée au Parlement, les dépenses seraient ramenées en cinq ans de 54,6% à 50,9% du PIB

 

Oui à l'administration numérique, à la modernisation des services publics, à la recherche d'une plus grande efficacité (qui serait contre?), non à de réels changements de périmètre entre les deux sphères, les relations privées d'un côté et les dépenses publiques de l'autre. Les premières sont l'expression des choix individuels qui se rencontrent sur un marché. Les secondes, qui occupent une part supérieure (54,6% du PIB), ne se définissent pas tant par leur objet (dépenses régaliennes de défense, sociales, etc.) que par leur mode de décision: elles émanent d'une assemblée démocratiquement élue qui en choisit l'opportunité et le financement.

En apparence, le scénario proposé par le gouvernement est cohérent si l'on s'en tient aux grandes masses. Selon la programmation pluriannuelle des finances publiques 2018-2022 présentée au Parlement, les dépenses seraient ramenées en cinq ans de 54,6 % à 50,9 % du PIB, soit un recul de 3,7 points. Avec sur la même période une baisse de 1,1 point de PIB des prélèvements obligatoires (impôts et cotisations sociales) et un reflux de 5,4 points du poids de la dette publique, qui reviendrait à 91,4 % du PIB en 2022.

L'assainissement des comptes publics se veut un des axes prioritaires du quinquennat Macron. L'effort est notable sans être héroïque: la France avait fait mieux dans les années 1995-1999 quand il avait fallu passer sous les fourches caudines du traité de Maastricht pour entrer dans l'euro. Et pratiquement à la même époque, le Canada est resté célèbre pour avoir réduit de 9 points de PIB en cinq ans le volume de ses dépenses publiques.

«Ce sont les collectivités qui trinquent le plus»

La démarche est encore plus prudente à l'aune de l'emploi. Alors que bon an mal an entre 120.000 et 140.000 fonctionnaires partent à la retraite, le gouvernement envisage sur l'ensemble du quinquennat de réduire de 120.000 le nombre de postes de fonctionnaires (5,45 millions aujourd'hui selon le ministre de l'Action et des Comptes publics). On est très loin de la règle du «non-remplacement d'un fonctionnaire sur deux partant à la retraite» sous le quinquennat Sarkozy.

Le gouvernement a par ailleurs donné une indication globale des efforts demandés aux trois grandes catégories. L'État central, dont les dépenses totales représentent 21,2 % du PIB, devra consentir une diminution de 2,3 points de PIB ; les collectivités locales qui pèsent 11 % du PIB perdront 1,1 point ; quant au troisième acteur, la Sécurité sociale avec un poids de 24,4 %, il lui est demandé une réduction de 1,5 point.

Tout semble réglé comme du papier à musique, si ce n'est que ces derniers chiffres sont largement trompeurs, comme le souligne Olivier Passet, économiste du cabinet d'études Xerfi. «Si la somme des contributions (4,9 points de PIB) des différents niveaux administratifs paraît supérieure à l'ajustement de l'ensemble des administrations publiques, c'est que certains efforts sont comptabilisés deux fois. La baisse des transferts et dotations de l'administration centrale (l'État) en direction des autres niveaux d'administration restitue en fait un effort reporté sur les autres. Et en définitive ce sont les collectivités qui trinquent le plus.»

La passion française pour les dépenses collectives remonte à l'Ancien Régime

Plus grave que ces ambiguïtés comptables, le gouvernement réduit constamment le débat à sa seule dimension technique. «Du point de vue du contribuable, l'objectif sera de maîtriser les dépenses publiques en optimisant les moyens», a insisté Édouard Philippe en lançant son plan Action publique 2022. Or cette présentation est fallacieuse. Elle laisse accroire que la solution passe par une meilleure efficacité, plus d'efficience, dans la lignée des plans précédents, la LOLF de Jospin-Chirac, la RGPP de Sarkozy et la MAP de Hollande. Éternelle illusion.

Car l'hypertrophie des dépenses publiques en France ne relève pas d'une simple gabegie à laquelle la ramène l'explication vulgaire et populiste, trop souvent mise en avant. Il s'agit avant tout d'un choix politique profond, comme le montre ce simple calcul des économistes de Natixis: «Si la frontière entre dépenses publiques et privées était la même aux États-Unis et en Allemagne qu'en France pour la santé, les retraites et l'éducation, le poids du secteur public serait de 49 % du PIB aux États-Unis et de 47 % en Allemagne, au lieu de 37,5 % et 44,5 % constatés respectivement.»

La passion française pour les dépenses collectives remonte à l'Ancien Régime (il suffit de lire Tocqueville) et elle se vérifie chaque jour. Interrogée sur les mesures Macron en faveur des femmes, Caroline De Haas, figure de proue du féminisme, a eu cette réponse définitive: «Sans hausse de budget, c'est impossible.» On en reste comme deux ronds de flan: l'État dépensier serait donc la panacée à tous les maux de la société!

Commentaires

Pour ce qui est des conséquences financières de la gestion de l’intercommunalité AQTA, il est très intéressant de consulter le site du gouvernement relative au finances locales qui permet de voir les éléments pour une commune donnée et pour la communauté de commune à laquelle elle est raccrochée :
https://www.collectivites-locales.gouv.fr/finances-locales
1) sur la partie droite en bleue « pour aller plus loin » choisir « données financières ». Sur cette page, 2ème paragraphe dans la partie « finances locales », choisir « communes » et ensuite « comptes individuels des communes à partir de 2000 ».
2) aller ensuite sur « communes et groupements », choisir Morbihan. Choisir ensuite une commune de AQTA et vous pourrez ensuite consulter les éléments pour la commune concernée et pour la communauté de communes. Attention vous tombez sur les données consolidées et il faut choisir en dessous du tableau « fiche détaillée » pour avoir de nombreuses précisisions.
Autre lien pour arriver :
https://www.impots.gouv.fr/cll/zf1/communegfp/flux.ex?_flowExecutionKey=e2s5&_eventId=fichedetailleegfp

Il est clair que l’efficacité ne peut être vérifier mais il y a tout de même de quoi s’interroger.
Ainsi concernant les charges de personnels , celle-ci sont en constante augmentation
2014 : 3 634 000 € soit 43€ /habitant
2015 : 4 436 000€ soit 52€ /habitant
2016 : 5 375 000€ soit 62€ / habitant
Ce qui est dommageable c’est que cette augmentation n’est pas compensée par une baisse globale des charges de personnel des communes d’AQTA alors que les mutualisations auraient dû le permettre.
Les charges de personnel des communes sont passées de 37 193 000 € en 2013 à 40 493 000 € en 2015 (je n’ai pas fait le calcul en 2016)
La somme des charges de personnels « Anciennes communautés de communes + communes » représentaient 38 7689 000€ en 2013 et en 2015 « AQTA + communes » représentent 44 929 000€.
S’agissant de l’endettement,pour AQTA, la Capacité d’Autofinancement nette des remboursements d’emprunt (CAF nette des remboursements d'emprunt) diminue régulièrement : elle était de 10 113 000 € (119 € /habitant) en 2014 et elle n’est plus que de 7 899 000 € (91 € / habitant ) en 2016.

On pourrait en dire autant de la ligne "subventions versées qui certes est relativement mineure comparativement au budget ( 27 € par habitant) mais pour beaucoup elle ne diminue pas les subventions versées par les communes ou par le département (là où auparavant il y avait commune/ département/ il y a désormais commune/AQTA/département : et cela sort toujours de la même poche).
Cette détérioration des éléments financiers est probablement due à l’absence d’un projet politique clair pour la communauté de communes et partager par tous et dans l'intérêt de tous.(par exemple oui à un Pôle d'échange multimodal à Auray mais pas ce projet pharaonique qui s'apparente plus à une opération d'urbanisme pour Auray et Brech)
A Paris, pour nos députés et sénateurs c'est la faute de l'Europe. Dans nos communes c'est la faute d'AQTA à la différence que nos élus locaux sont également à la communauté de commune.
Quant aux habitants ils sont au fraises : y a t'il eu des réunions de compte rendu de mandat? Et tient-on compte de leur avis??

Écrit par : observateur | 06/12/2017

Sur un autre sujet brûlant.....
Dernier projet en date pour les pilotins à Quiberon: http://www.barre-lambot.com/actualite/2017/11/quiberon-les-pilotins

Un programme gigantesque et pharaonique.... Des immeubles de cinq étages qui vont défigurer totalement ce quartier. Une grosse verrue dans un quartier résidentiel. Tout cela sous couvert d'un pseudo terrain multisports qui existe déjà.
Ce terrain appartenant à la ville va bien sûr être cédé à un promoteur... Sans que Monsieur le Maire ne se soucie de la défense de ses contribuables confrontés à cet état de fait.

Écrit par : mimi | 09/12/2017

Affolant, un concours a été organisé en catimini. de quel droit?
Où est la transparence promise par cette équipe en 2013-2014?
Quelles étaient les autres participants à ce concours? Où est le résultat du vote sûrement obligatoire avant d'attribuer le marché?

Le 9-11-2017 Barre-Lambot annonce qu'il est le LAUREAT (le vainqueur donc) du concours. Quelle rapidité! Cette date n'est-t-elle pas celle de la dernière réunion du Conseil?
On nous cache tout on ne sait rien.

L'ensemble du Conseil municipal sera responsable dans cette affaire. Attendons le prochain conseil municipal du 21 décembre et la réunion publique du 22 décembre au Palais des Congrès (autre chef d’œuvre en péril).


Quand ce vent de folie s'arrêtera-t-il? Il va être temps que les autorités mettent le nez dans toutes ces affaires pas claires.Que va pouvoir penser le préfet?

Belle manœuvre avant la trêve des confiseurs et la fermeture de la plupart
des magasins en janvier. Mois où la population lutte pour sa survie alimentaire pendant que d'autres partent au soleil.

Écrit par : Anatole F. | 09/12/2017

on s'en fout! nous, on veut passer notre retraite dans le luxe et le calme à Quiberon. nous on paye!
et si pas contents vous n'avez qu'à aller ailleurs.

Écrit par : propietaire de la baie | 09/12/2017

Rappel à l'ordre de nombreux commentateurs, qui injurient au lieu de débattre. Il faut dépasser les clivages politiques, qui sont nombreux à Quiberon comme à Saint Pierre et analyser les projets selon leurs effets économiques et leur contribution à la création d'emploi sur la presqu'ile. Ce qui manque le plus ici, ce sont des emplois "durables", ceux qui ne sont pas liés à la saisonnalité... et qui peuvent attirer des résidents permanents !
Halte donc aux injures personnelles, qui déshonorent leurs auteurs.

Écrit par : jeanbart | 11/12/2017

En effet, le développement de notre ville passe aussi par des créations d'emplois mais pas au détriment de l'harmonie des quartiers. Ce projet va défigurer manifestement l'environnement : Trois blocs de cinq étages en quartier résidentiel alors que l'on prévoit de raser des immeubles trop hauts pour les remplacer par des structures de trois étages maximum..! Démagogie ..? Ou est la cohérence..??? Construire une résidence seniors si besoin... peut-être ... Construire des logements, puisqu'on nous dit que la demande est forte, OK... mais en harmonie environnementale : Hauteur des immeubles, nature des toitures et parement des façades.
Il est temps que les conseillers de l'Opposition se manifestent... sans attendre 2020. N'y a-t-il pas de défenseurs de l'environnement au sein de la municipalité....?

Écrit par : mimi | 11/12/2017

Mimi vous devriez savoir que dans ce type de résidence les conflits entre promoteurs et acquéreurs se retrouvent régulièrement devant les tribunaux souvent à propos des charges
Aux Pilotins, le promoteur et la municipalité,du moins son maire, visent surtout la vente des 25 logements libres pour financer l'ensemble de l'opération.
On se demande qui pourrait acheter les 92 logements de la résidence sénior car:

Le maire, grand gourou du Tourisme à l'AQTA, est incapable d'avancer la moindre solution au désenclavement de la presqu'île et donc de Quiberon qu'il aime tant
Les futurs acquéreurs de ces 92 logements seront-ils mis au courant que le premier centre hospitalier est à 50 km et que pour se rendre à Vannes en été il faut 3 heures minimum?
Faudra-t-il leur dire que pour les petits rhumes d'hiver la confidentialité est absente dans la maison de santé de part sa conception et des matériaux choisis.Un rhume ébruité ça va, une maladie honteuse un peu moins!
Pour attirer le client plutôt que de faire figurer des arbres sur la brochure le promoteur ferait mieux de dessiner un héliport du moins une zone réglementaire de pose d'hélico.Bonjour les nuisances sonores et venteuses pour les riverains installés là depuis très longtemps
Quand on a du fric et que l'on tient tant à la vie on peut se payer un transfert en hélico bien plus loin que Vannes: Nantes ou Rennes par exemple et pourquoi pas l’hôpital américain

Toujours point de vue santé il ne faudrait pas que la municipalité répète l'erreur fatale (2 morts suspectes)d'antennes installées en plein centre ville et qu'elle envisage donc la suppression des nombreuses antennes à proximité. Oui mais alors comment appeler les secours? Où est la fibre? A Plouharnel?

Il faudra aussi dire aux futurs acquéreurs que les siestes crapuleuses seront fort compromises puisqu'il est envisagé une piste de skate-board pour nos chers bambins futurs travailleurs saisonniers ou aides à la personne s'ils ont peur une fois adultes de ne plus voir leur clocher.

Merci Mimi d'avoir réveillé Jo le Tacaud, fin observateur de la vie quiberonnaise d'hier et d'aujourd'hui

http://elections.quiberon.over-blog.com/2017/12/hlr.html

Écrit par : Monaco | 11/12/2017

jo le tacaud alias Luco aurait mieux fait de rester dormir!

Écrit par : Topaz | 11/12/2017

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