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09/03/2017

Des noms d'oiseaux pour un cinéma "municipal"...

Pourquoi ne pas "municipaliser" les téléviseurs familiaux ?

Grand site Gâvres Quiberon.jpg

Les dépêches Océanes donnent la parole à la majorité municipale et aux deux oppositions ! et le résultat est "décoiffant"... avec un combat cette fois entre différentes variétés de volatiles (cela change de la rivalité entre Bretons de souche et étrangers...).

Une proposition pour la "fusion des deux communes de la presqu'île", son étude et ses effets pourrait être en effet un vrai sujet...les dérives financières de quelques projets, initiés par la municipalité, ainsi que les risques d'une mutualisation du "tourisme", les achats d'un fond de commerce de tennis (tiens encore une municipalisation !) font "picoter" l'autre opposition !

La majorité tire "à vue", comme dans un western, sur ceux, qui n'apprécient pas le "Paradis", le cinéma "municipal", qui comme en Russie se porte bien (l'amortissement de l'achat du fond de commerce (encore un !), de la climatisation et bientôt des façades n'est pas appliqué...). Dirigé par une "pigiste locale" (attention au cumul), ce "Paradis" présente des résultats qualitatifs hyperboliques, qui laissent de marbre la majorité de la population, qui ne va pas au cinéma !

Au fond le progrès à Quiberon passerait par la "munipalisation" des activités quiberonnaises, comme la douche, le bain de mer, le "wawa commun", le café, le resto, le téléviseur, la voiture "en partage", la boite de sardines et bientôt l'activité religieuse...

A relire avant la prochaine séance !  La "richesse des nations" d'Adam Smith !


Dépêches océanes N°26_février 2017

Ville de Quiberon

AGIR ENSEMBLE POUR QUIBERON

Quiberon Presqu’île? Ne rêvons pas: l’âge d’or durant lequel la section recettes du budget municipal était florissante est terminé. Baisse de la dotation de l’État et diminution des recettes du casino obligeront le conseil municipal à être vigilant sur les dépenses de fonctionnement et à préserver les investissements qui permettront aux Quiberonnais de vivre dans une cité agréable et attractive pour les touristes. Si nous voulons éviter d’alourdir les impôts locaux, la première idée qui vient à l’esprit consiste à imaginer de penser notre avenir en changeant d’échelle. Ne plus réfléchir Quiberon, mais imaginer Presqu’île. Bien sûr cela suppose un accord avec Saint-Pierre… Cette idée est-elle pertinente? Nul n’y a réfléchi sérieusement. Aussi proposons-nous à Bernard Hilliet d’entamer une démarche associant toutes les sensibilités du conseil municipal pour répondre à ces trois questions: - Quels seraient pour Quiberon les avantages et les inconvénients de cette solution? - Quelles opportunités cela nous ouvrirait-il? - De quelles menaces potentielles un tel projet serait-il porteur? Point n’est besoin de l’aide d’un coûteux cabinet de conseil pour répondre à ces questions. Un groupe de travail issu du conseil municipal pouvant se faire assister par certains de nos concitoyens serait suffisant. Le résultat de ce travail serait communiqué à la population selon une forme dont on pourrait convenir. Et après, seulement après, en fonction des résultats de cette consultation, nous pourrions – ou non – engager des discussions avec nos voisins. Et si, pour une fois, nous parions sur l’intelligence collective? Nous profitons de ce début d’année pour souhaiter à tous nos vœux pour 2017.

Jacques Benesse, Jacques Leroy,

BIEN VIVRE À QUIBERON

Derrière les apparences, une autre réalité L’immobilier est le grand projet économique municipal. Le maire modifie le PLU pour surdensifier la rue de Kermorvan en construisant des logements sociaux temporaires pour un prix supérieur au prix du marché. Tant pis pour la qualité de vie. Construire une maison de retraite privée à prix élevé pour des gens venant de l’extérieur en se servant du terrain public des Pilotins, au lieu de l’utiliser pour des familles ou des activités sportives, est un gâchis. Par contre, la loi empêche de créer une place supplémentaire à la maison de retraite existante pour des Quiberonnais! Le partenariat public-privé est un poison lorsqu’il permet à des acteurs privés de profiter des biens publics sans payer le prix véritable, et cela n’est possible qu’avec la volonté ou l’ignorance des élus, est-ce l’intérêt général? Rénover trois terrains de tennis au prix de 240000 € alors que la commune en a déjà onze autres sous-utilisés est-il utile? Et quelques milliers d’euros de plus pour le rond-point du maire. Enfin, Quiberon perd le contrôle de l’office de tourisme transformé en simple bureau d’information. L’assemblée dirigeante des professionnels disparaît. Il n’est pas sérieux d’affirmer que les professionnels d’autres communes seront plus motivés que les acteurs locaux pour attirer des vacanciers à Quiberon. Contraints d’appliquer des lois qui leur déplaisent, les élus locaux sont amenés à vanter la mutualisation pour des économies improbables et non chiffrées; ils vantent la puissance de coopération, or elle existe déjà (campagnes publicitaires, participation à des salons) sans avoir besoin de “machin bureaucratique” coûteux.

Patrick Le Roux, Christine Pouillet, Annick Delaunay, Sylvie Bossard, Jean-Michel Belz

QUIBERON, LE RENOUVEAU

Les oiseaux Quand la Ville a indiqué vouloir acquérir le cinéma à l’été 2015, les oiseaux de mauvais augure, opposition municipale et écrits anonymes sentant le moisi des nids de corbeaux ont sifflé leurs chants lugubres en accusant la mairie de tous les maux: erreur politique, mensonges, budgets truqués, gouffre financier en vue. Ces oiseaux ont la mémoire qui flanche. Ont-ils oublié qu’ils ont fait perdre des millions d’euros aux contribuables en cédant à vil prix à des promoteurs privés des terrains communaux de valeur pour financer les travaux pharaoniques de la place Hoche? Et en contractant un emprunt toxique désastreux (23% de taux d’intérêt actuel). Qu’en est-il du cinéma 18 mois après? 45000 spectateurs, 280000euros de recettes, un résultat en équilibre. Au-delà de ces chiffres solides, Laurence Forin a fait du lieu un phare de la culture où se pressent les Quiberonnais mais aussi les gens de cinéma les plus talentueux. M.Bellucci, S. Brizé, E. Bercot, P. Chesnais, G.Galliene, R. Personnaz, S.Tesson, Y. Calbérac et bien d’autres ont échangé passionnément avec les cinéphiles quiberonnais. 630 scolaires par trimestre sont formés à l’image sous l’égide de Marie-Christine Guérut. Des opéras et ballets sont retransmis en direct des plus grandes salles mondiales. Il faut s’interroger. Qu’est-ce qui obscurcit ainsi le jugement de ces oiseaux de malheur? Mauvaise foi, incompétence, ambitions personnelles, mépris pour leurs concitoyens? Ou grippe aviaire? Sûrement pas l’intérêt collectif. Et les voilà qui s’égosillent maintenant contre les projets de logements aidés! C’est clair. Ce ne sont pas des oiseaux de Paradis. Plutôt des piafs agressifs, façon Hitchcock.

Liste majoritaire

Commentaires

"des résultats qualitatifs hyperboliques"!
Quoi c'est ça? Je connais l'hyperbole en géométrie, en figure de style, mais là.... Tu décodes un peu?

Écrit par : JPD | 10/03/2017

Tout va bien ! quand on ne compte pas...les dépenses pour le cinéma, c'est moins de dépenses pour les bâtiments municipaux... c'est un choix !

Écrit par : jeanbart | 10/03/2017

Oui, JBH, c'est un choix! Que de privilegier les copains et les coquins à l'esprit public!
Ce cinema un contraire à la libre concurrence car il ne peut plus y avoir de concurrence! elle est faussée dès le départ parr un subventionnemet majeur quoi qu'il arrive.... Cette municipalité dans le fond est d'esprit sovietique!... bientot apres un peu de reorganisation on aura l'equivalent du systeme des Komsomols. dans notre cas ce serait plutot le KdF! sous controle de Hilliet!!
Etripage le jour, le cinema le soir!...

Écrit par : lun oiseau anti subventions | 11/03/2017

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