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29/12/2016

Au secours, Mamawatta...

L'opportunisme en politique masque l'échec de la coopération intercommunale !

Bernard Hilliet et le logement.jpg

L'immobilier, malgré le PLH, qui ne guide plus les décisions, est le symbole de la "puissance" du pouvoir solitaire... A Quiberon, qui a vécu sa révolution "au Sud" avec le précédent Maire, le quartier Nord (Gare plus église) se meurt de la déconfiture d'une gare en grande perdition.

La coupure de la voie ferrée est "mortifère" dans la géographie décomposée de cette partie du Bourg...et une bonne "négociation" avec la Région, administrateur du réseau "Tirebouchon", serait une bien meilleure nouvelle, que ce jeu de "petit promoteur", qui crée du logement social dans une station balnéaire... comment faire venir des "milliardaires" à la Thalasso, quand on construit un deux pièces-cuisine pour smicards ?

Le "grand mamamouchi du Tourisme Intercommunal" a perdu sa boussole dans le Rond-Point de la gendarmerie...

Consultons "Mamawatta" chez Gégé ! Bonne année 2017, Bernard !


Une réflexion globale pour le logement à l’étude à Quiberon

Ouest France du 29 décembre 2016

La Ville multiplie les projets de construction. L’objectif est avant tout d’attirer les jeunes ménages. Le maire entend aussi répondre à la carence de logement pour les séniors.

 Bernard Hilliet et le logement.jpg

Entretien

Bernard Hilliet,

maire de Quiberon.

En quoi consiste l’opération multisites concernant le logement ?

La population des jeunes a quitté la ville. La fermeture des classes en est un indicateur. Il faut que ce mouvement cesse, et même qu’on inverse la tendance. On entend parfois demander pourquoi créer du logement alors qu’il n’y a pas d’emploi. Pourtant, Quiberon est le deuxième bassin d’emploi du pays d’Auray. Chaque jour, environ 1 000 actifs en rentrent et en sortent. Il faut prendre à bras-le-corps ce problème de logements et ce, sur plusieurs sites.

Quels sont les projets ?

Dans un délai très court, d’ici à deux ans, on pourra offrir douze logements aidés avenue du Général-deGaulle, et trente, rue de Kermorvan, où le permis de construire est en cours d’instruction. Trois autres projets seront ensuite réalisés sur des terrains communaux. Vingt logements sur 2 000 m² au rond-point de la gendarmerie, trentecinq sur 5 400 m² au Zal, et neuf sur 2 500 m² au Manémeur, où la vente doit être signée dans une dizaine de jours. Par ailleurs, nous sommes en négociation pour 6 000 m² d’autres terrains au Manémeur.

De quels types seront ces logements ?

On souhaite rentrer dans une logique mixant les primo-accessions, le locatif aidé et les parcelles vendues en lot libre, afin de récupérer en partie la mise. Dans le cas de la primo-accession, l’objectif est de proposer des prix attractifs afin d’attirer de jeunes ménages. Des critères et des clauses seront mis en place afin d’éviter la revente avec plus-value. Nous réfléchissons d’une façon globale à l’échelle de la commune, sachant que le Briellec 3, projet depuis longtemps dans les tuyaux, est lancé, mais nécessitera cinq à dix ans.

Pourquoi ce projet de résidence senior ?

Une résidence de quatre-vingtquinze logements est en effet prévue aux Pilotins. Si le logement pour les jeunes ménages est une priorité, on sait aussi que la liste d’attente est longue pour la maison de retraite et le foyer-logement, et que leur agrandissement est refusé par l’agence régionale de la santé (ARS). Ce projet privé est une réponse à la carence de logements pour cette population. Il créera de plus des emplois, et la vente du terrain à un bon prix nous permettra de financer les autres opérations.

Pourquoi trente logements rue de Kermorvan et pas ailleurs ?

Le terrain n’appartient pas à la Ville et le projet est mené par trois partenaires, dont le bailleur social Bretagne Sud Habitat. On peut le refuser s’il ne s’intègre pas dans le quartier. Or, il est en accord avec le Pla, local d’urbanisme (Plu), conçu par nos prédécesseurs. Pour lui faire opposition, il faut que le maire le justifie avec des éléments très précis. Trente et un logements sociaux vont être construits. Même si au bout de quinze ans, ils sont revendus, on aura quand même gagné quinze ans, et BSH s’engage à reloger les locataires.

N’est-ce pas trop pour ce quartier ?

La commune dispose actuellement de logements sociaux à hauteur de 13,5 %, sachant que le Schéma de cohérence territoriale (Scot) et le Plu demanderont à terme 20 %. On n’est donc pas trop mal situés. Mais ces trente logements supplémentaires, c’est du bonus pour la Ville. Par ailleurs, la loi Alur oblige à rentrer dans le principe de densification pour éviter que les villes continuent à s’étendre et grignoter le territoire. L’intérêt est qu’elle réduit le coût des voiries et des réseaux. Pour la résidence senior, on vendrait 5 500 m² sur les 8 400 m² de terrain afin de ne pas trop densifier. On en profitera pour réhabiliter la zone dans le cadre de la coulée verte à destination des circulations douces du centre à Port Haliguen.

 

 

L’Ecloserie, incubateur d’entreprises d’Auray Quiberon Terre Atlantique, ouvre ses portes aux porteurs de projets innovants

AQTA, le 26 décembre 2016

Ce vendredi 16 décembre, l’écloserie d’Auray Quiberon Terre Atlantique organisait une journée Portes Ouvertes. L’occasion pour les partenaires économiques et les porteurs de projets innovants de découvrir cette nouvelle solution d'hébergement souple située dans le centre de Plouharnel, à proximité de tous les services, à 10 minutes d'Auray et à 200 mètres de la mer. Connecté au Très Haut Débit, ce lieu de travail partagé avec espace de convivialité proposera un accompagnement sur-mesure et des temps de formation adaptés.

Prêt à accueillir jusqu’à 16 porteurs de projets innovants

La Communauté de Communes vient de finaliser la requalification des bâtiments situés au 31 boulevard de l'Océan à Plouharnel. Travaux d’aménagement intérieur, mise en accessibilité, valorisation des espaces verts, raccordement au Très Haut Débit... Le bâtiment a été entièrement rénové pour un investissement de 250 000 euros ht dont 137 500 € pris en charge par la Région, 50 000 € par les fonds européens LEADER et 30 250 € par l’État. Aussi, cet équipement « sur-mesure » d’accueil, d’accompagnement et d’animation peut d’ores et déjà héberger, pour une durée maximum de 2 ans, jusqu’à 16 porteurs de projets. Les loyers mensuels sont compris entre 160 et 230 € ht, charges comprises, selon la superficie du bureau (chaque bureau peut-être partagé par deux porteurs de projets).

Ces portes ouvertes sont l’occasion d’informer des possibilités d'accueil et d'accompagnement pour structurer et développer l’activité de porteurs de projets et créateurs de start-up : conseil à la création, aide à la levée de fonds, mise en réseau des expériences et des expertises, formations, ateliers et conférences…

Un accompagnement sur-mesure assuré par les acteurs économiques et institutionnels

Afin qu’elles structurent leur modèle économique, ces très jeunes entreprises innovantes bénéficieront d’un accompagnement individuel assuré par VIPE (conseils à l’innovation, mises en relation avec un réseau d’experts publics, laboratoires universitaires, pôles de compétitivité… et privés dans le domaine juridique, marketing, stratégie web…) ainsi que 7 formations collectives annuelles, des conférences et ateliers. Cette animation est prise en charge par Auray Quiberon Terre Atlantique qui bénéficie notamment de 12 000 euros de fonds européens LEADER pour la première année de fonctionnement.

Afin d’optimiser cette mise en réseau avec des personnalités du monde économique, de faciliter leurs levées de fonds et l’accès aux financements, ces très jeunes entreprises bénéficieront d’un accompagnement individuel et collectif assuré par 6 parrains : Damien de Kerhor, Délégué régional chez ORANGE, Lisa McGarry, Dirigeante de l’entreprise MOBEEFOX, Olivier Desaize, Responsable du Secteur Entreprises du CREDIT AGRICOLE DU MORBIHAN, Yannick Bian, Dirigeant de l’entreprise KENKIZ MARINE, Hervé Cuvellier, Président de VIPE et Yves Lapierre, ancien Directeur Général de l’INPI.

Témoignages de porteurs de projets

Depuis l’appel à candidature lancé le 10 octobre dernier, plus de vingt contacts ont été pris par des porteurs de projets innovants. Parmi eux, Brigitte Quéric Danjou, la créatrice du projet « Happy Retail », et Jonathan Deborde, co-fondateurs de la plateforme de crowdfounding « Mamawatta »

Brigitte Quéric Danjou, créatrice d’Happy Retail

« Happy Retail est un concept Start up innovant, apporteuse de solutions Adhoc et uniques, de conseils destinés aux artisans créateurs, métiers de bouche, commerçants possédant un concept marchand, dirigeants de PME et de TPE qui souhaitent répondre aux nouvelles attentes de leur clientèle, face à la digitalisation et ainsi développer leur visibilité et attractivité client. Notre accompagnement porte avant tout sur l’histoire que raconte la marque et sur "Sa Différence". Nous conseillons sur les aspects liés à la gestion et la valorisation du lieu, l’implantation, la stratégie commerciale, le parcours et la relation client. Happy Retail propose aussi son expertise en Ressources Humaines, recrutement, formation, training vente, coaching management pour le dirigeant. Elle vise à valoriser la "Marque Employeur" car nous avons que des collaborateurs heureux augmentent leur performance et rendent les clients 100 % satisfaits ! L’écloserie est pour moi un moyen de travailler avec d’autres créateurs d’entreprises, de collaborer et de partager mes idées, mes interrogations, d’être accompagnée et soutenue dans mes démarches, dans un lieu agréable. Je suis extrêmement motivée et je compte bien profiter de ce lieu ressource pour développer mon activité et apporter une valeur ajoutée économique et vertueuse aux commerces de proximité du territoire Morbihannais. J’aimerais créer une équipe partenaire avec une étalagiste, visuelle merchandising, un webmaster et designer, un concepteur menuisier agencement, un contrôleur de gestion et, à plus long terme, ouvrir une école de formation vente dans le secteur… ».

Jonathan Deborde, co-fondateur de Mamawatta

« Mamawatta est une plateforme gratuite sur laquelle n’importe qui peut lancer un projet en vue de lever des fonds. Le seul critère est que le projet doit être en relation avec la mer, l’environnement ou les activités nautiques : événements, expositions, infrastructures, expéditions, développements de matériel, études… Les possibilités sont infinies. Cette plateforme se distingue des autres par son sens aigu de l’éthique environnementale. Le but est bien de permettre aux amoureux de la mer et de l’environnement de ne plus être de simples consommateurs ou spectateurs des écosystèmes, mais de devenir acteurs de leur préservation par leur mécénat, et d’aider à la diffusion des résultats scientifiques, des actions écologiques et des développements technologiques issus des projets financés avec le grand public pour une meilleure sensibilisation et gestion durable des écosystèmes. Nous attendons de l’écloserie un cadre de travail professionnel, car jusqu’à présent, nous travaillions à notre domicile, ainsi que de moyens matériels (imprimante, haut débit, ligne téléphonique, salle de réunion…). Nous voulons également capitaliser sur le travail en réseau avec les partenaires économiques associés et les autres entreprises présentes à l’écloserie, selon leur activité. »

 

 

 

Commentaires

Hilliet croit qu'il va conserver des jeunes à Quiberon en leur fournissant des logements gratuits pour petits smigards ou au RSA! Or tous les jeunes n'ont pas vocation à servir de larbins dans les commerces, le restos ou les hotels! Il y en a d'autres qui font des etudes ou ont fait des etudes et qui ont un fort pouvoir d'achat (car c'est ce seul critere qui est pris en compte par les marchands de soupe! pas le merite ni le haut niveau!) et qui aspirent à trouver autre chose que du beton ou de la merde hillietienne quand ils reviennent chez eux au pays...

L'enlaidissement du pays est contradictoire avec le tourisme de qualité. Les touristes à fort pouvoir d'achat s'en vont ailleurs car en plus de la laideur progressive de Quiberon, ils ne veulent pas etre arnaqués par les commercants ou d'avoir la vie pourrie par des dispositions ineptes de la part de ces equipes qui se succèdent!

Écrit par : JLR | 29/12/2016

Les études (supérieures) sont un symbole de réussite et souvent la réussite a pour corollaire un salaire élevé (le mérite). Le seul problème ici demeure que depuis Bobet et la Thalasso il ne s'est rien passé. La presqu'ïle coule doucement mais surement.
Par la géographie tout d'abord qui enclave Q et SPQ
Par l'absence d'infrastructures (routes, internet, ...)
Par la courte vue des élus ne l'oublions jamais.
Par le manque d'ambition de beaucoup de "natifs" qui ont cru leur avenir assuré à jamais par la rente touristique et ont délivré massivement des prestations artisanales, commerciales minables à prix d'escrocs. Ah les duchentils sur lesquels on crache mais qu'on essaie de rouler au coin du bois !!!

Le vin est tiré.........

Écrit par : RLJ | 29/12/2016

Ah les duchentils qui "eux" arrivent à quiberon et qui peuvent "eux!" se payer Quiberon et y trouver des larbins pour leur cirer les pompesou vider leurs pots de chambre!

Pourquoi? parce que "eux!" ils ont le pouvoir , surtout le pouvoir d'achat qui va avec car ils ont bénéficié des meilleures écoles,des universités , des relations qui vont avec . Tout cela grace au pouvoir d'achat de leurs parents qui eux-mêmes avaient un fort pouvoir d'achat! Ils se se sont pas contentés du RSA ni des subsides lachés par Goerge Hilliet, "eux!"; ils sont me devenus les vrais propriétaires de Quiberon et ils ont même un journal "eux!": "le journal des propietaires de la Baie de Quiberon!"...

Écrit par : le duchentil | 29/12/2016

JLR vous oubliez de dire que les commerçants qui nous prennent pour des larbins ont eux la garantie d'un logement social lorsqu'ils ont tout bouffé.
Demandez donc un état des locataires, vous aurez quelques surprises.
Ils ne sont pas logés dans des appartements insalubres appartenant à la ville de Quiberon.
Au fait où en est l'audit annoncé et qui devait être fait à l’avènement de cette équipe?
A certaines époques de l'année, si ne pouvant voyager en Asie faute d'argent, vous pourrez toujours avoir une illusion d'exotisme en vous promenant du côté du camping municipal de Kerné.
Ce nouvel esclavage porte un nom.
Après les italiens, les espagnols et les chtous, voici une nouvelle façon de lutter contre la consanguinité dont seraient atteints les natifs selon certaines personnes malveillantes qui font dans le bling-bling.
Nous ne sommes pas dupes et les manœuvres du maire et de son équipe ne trompent personne.
Au fait, ont-ils les cuisses si propres qu'ils veulent nous le faire croire?

Écrit par : Pierre l' Abbé | 29/12/2016

il est heureux que nous ayons conservé cette ligne de chemin de fer car on serait incapable de la construire aujourd'hui. le cout de construction d'une telle ligne serait actuellement de 1 milliard d'euros. nous avons là une ressource mal exploitée/ cette ligne une fois electrifiée permettrait d'avoir des TGV directs vers Paris et d'accueilir plus de bon tourisme pendant plus de temps dans l'année. Saint Malo l'a fait et pas nous car nos politiciens locaux sont nuls...et vereux!

envoy" depuis mon iphone 7

Écrit par : JMB | 30/12/2016

Eh bien, JMB on vous souhaite une bonne année 2017 avec votre seau et votre pelle pour "électrifier" le tire-bouchon...la voie est "pourrie", incapable de supporter une rame TGV... Saint Malo sur une presqu'île ?

Écrit par : jeanbart | 30/12/2016

Hilliet n'a semble-t-il jamais demandé aux municipalités ptécédentes (dont il a fait partie) s'il était dans l'obligation de réserver des logements sociaux dans les immeubles construits à la place de la maison du patriarche et de l'ancienne usine.
Maintenant il joue avec le bien de ses concitoyens en se faisant l'intermédiaire entre les promoteurs, eadm et les banques nouvellement arrivées dans le paysage presqu'ilien.
Figurez-vous que pour construire le Briellec 3 à moindres frais, ils ont trouvé des zones humides dans les hauteurs de saint julien.
Quand on vient sur le terrain on évite de venir en mocassins à pompons et l'on prend des bottes!
L'eau apparente n'était que de l'eau de pluie remplissant des ornières creusées par des roues d'engins de travaux publics stockés sans permission sur des terrains privés.
Idem pour des terrains rue des druides au niveau du village des armées.
Qui dit zone humide dit terrains inconstructibles à valeur zéro.
Bien joué les services de l'urbanisme.
Il faut à tout prix savoir ce que vient foutre eadm dans l'histoire et à qui profitera cette spoliation évidente sinon à cette dernière -annexe du conseil général- qui nous le savons a été sauvée de la quasi faillite il y seulement quelques mois. Merci monsieur le président et merci monsieur le maire, profitez bien car ça ne durera pas aussi longtemps que les contributions

Écrit par : la petite côte | 30/12/2016

Hilliet finira bien en taule un de ces jours! Le maton chef qu'il a pour adjoint lui expliquera comment se comporter!...

Écrit par : LH | 30/12/2016

Hilliet finira bien en taule un de ces jours! Le maton chef qu'il a pour adjoint lui expliquera comment se comporter!...

Écrit par : LH | 30/12/2016

2016, annus horribilis.

Annus horribilis durant laquelle nous avons assisté à la pauvreté des débats lors des conseils municipaux. Pauvreté qui pourrait atteindre le portefeuille des citoyens quiberonnais si la plainte pour prétendus propos racistes se terminait devant la justice.
Annus horribilis lorsque le temps de parole faillit être chronométré.
Annus horribilis qui se termina en beauté lors du dernier conseil lorsque à une question d'une conseillère d'opposition posée à l'adjointe à l'urbanisme, monsieur le maire pria cette dernière de ne pas répondre au prétexte que la conseillère voulait faire un cours et donc étaler sa science.

Drôle de Démocratie à Quiberon ! mais peut-être n'était-ce qu' une simple réaction épidermique de notre édile ?
La même conseillère aurait-elle commis un crime de lèse-majesté en demandant où était la parité à l'occasion du remplacement de l'adjointe à la culture par un homme ?
Surtout qu'elle faisait constater que seules les femmes étaient démissionnaires dans l'équipe de la majorité.

Comme dans les milieux culturels bretons y aurait-il un certain machisme dans la prétendue élite politique bretonne, Aqtaïenne et quiberonnaise en particulier ?

Sans doute si l'on en croit notre écrivain lorientaise Irène Frain :

«  Les milieux culturels bretons sont très machistes. Il faudrait qu'ils se mettent à l'heure de la planète. En Inde, en Tunisie, en Jordanie, en Egypte, on met les femmes d'avantage en valeur qu'en Bretagne. Plutôt que d'attaquer les pays musulmans sur leur retard par rapport aux femmes, certains Bretons feraient mieux de balayer devant leur porte. Le machisme est une plaie en Bretagne ».

Alors 2017 sera telle l'année de la femme à Quiberon ou est-ce impossible ?

Notre nouveau ministre de la culture pourra toujours faire sienne cette citation de René Char son poète préféré :

«  L'impossible nous ne l'atteignons pas, mais il nous sert de lanterne »

Il pourra toujours demander aux arabes de l'autre côté de la baie un peu de pétrole ou de gaz pour raviver la lanterne quiberonnaise qui est bien bien faible depuis longtemps.

Au fait, un mensonge est-il rattrapable?

Écrit par : jclg | 31/12/2016

Il a dit après qu'il n'avait pas envie que cette sotte dise n'importe quoi qui l'aurait gêné lui!..

Écrit par : JR | 31/12/2016

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