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15/11/2016

Logement ou emploi ? les agitations désordonnées des Maires de la Presqu'île !

La bonne foi n'est pas en cause, mais plutôt la formation économique...

Bernard Hilliet à propos du logement.jpg

La liberté de choix de l'agent économique réside dans la localisation de son domicile... et non dans celle de son emploi !

Les motivations des "jeunes" sont orientées vers l'urbain ou la campagne, vers les "services scolaires de qualité" et vers les activités sportives diversifiées...

La "Presqu'île" attire les vieux, pas les jeunes, qui fuient vers Lorient et Vannes.

Quant au marché de l'emploi local, celui de Quiberon est orienté "services" (Hôtellerie, casinos, services à la personne), le tertiaire classique étant plutôt installé à Vannes...

C'est pour cette raison, que la création d'une "résidence privée pour seniors" a de fortes chances de réussite sur le terrain des "Pilotins". Mais il ne faut absolument pas croire, que cette implantation créera beaucoup d'emplois induits...

Les autres projets immobiliers de la Commune ne seront malheureusement que "saisonniers", avec une forte marque "résidence secondaire". Pourquoi chercher midi à quatorze heures à Quiberon ?

20% de logements sociaux, alors que 70% des logements sont des résidences secondaires ! Qui "fume" le plus, ici ?


Pour le maire de Quiberon, le logement fait partie d’une des priorités

Ouest France du 15 novembre 2016

Bernard Hilliet à propos du logement.jpg 

Le maire Bernard Hilliet souhaite s’exprimer suite à l’article des habitants se positionnant contre le projet de logements sociaux dans la rue de Kermorvan ( Ouest-France du lundi 7 novembre). « La politique de logement est une priorité de l’équipe municipale depuis les élections en 2014. Pouvoir proposer des logements permet aux actifs et aux familles de rester à Quiberon et sur la presqu’île, et d’éviter des fermetures de classes comme entre 2006 et 2012. La solution contre l’exode de la presqu’île réside avant tout par du travail et du logement. Elle est le deuxième bassin d’emploi du pays d’Auray. Chaque jour, 700 salariés en sortent et y rentrent » , explique le maire.

Trois acteurs

Il souligne également que le projet, présenté en réunion publique le 24 octobre, dans le cadre de la modification n° 1 simplifiée du Plan local d’urbanisme (Plu), répond en partie aux objectifs fixés par la municipalité. Ce projet n’est pas financé par la ville, mais piloté par trois acteurs : les propriétaires des terrains, le bailleur social et un promoteur. Les trente logements, pendant quinze ans, auront un statut de logements aidés. Ils seront proposés à des ménages aux revenus compris entre 1 492 € et 3 235 € par mois. Au terme des quinze ans, ils pourront être achetés en priorité par les locataires. Ceux qui ne pourront pas accéder à la propriété seront relogés par le bailleur social. « Ce projet, proposé au service urbanisme de la ville, a été étudié attentivement , ajoute le maire. L’architecture est de qualité et s’inscrit dans le tissu urbain existant. De plus, à côté de l’école, un parking public de quinze places sera aménagé. La ville sera attentive au bon déroulement de cette opération. » Après le dépôt de permis de construire du 7 novembre, le projet va être instruit par les services de la ville et Auray Quiberon terre atlantique (Aqta). Le permis sera accordé sous réserve de sa conformité avec les règles du Plu.

 

 

Commentaires

Bien entendu que le projet de résidence pour seniors va voir le jour.
Si votre ex championne de SPQ n'était pas ce qu'elle est, cette construction aurait été établie sur le terrain du Celtic avec tous les bénéfices qui en découlent pour la commune.
Seulement voilà............................

Écrit par : ojoj | 15/11/2016

Avec la chute désormais inéluctable de l’État islamique, la question du retour des djihadistes va devenir une réalité. Lorsque ceux-ci auront estimé avoir tué suffisamment de chrétiens et autres koufars pour rentrer au pays et jouir paisiblement d’un repos bien mérité, il va bien falloir s’en occuper.

Certes, côté soins, la Sécu, bonne fille, prendra en charge les blessés et leur garantira une pension d’invalidité, comme ce fut le cas pour Mohamed el-Ayouni qui, après être revenu du djihad avec un bras et un œil en moins, a obtenu une pension d’adulte handicapé. Après tout, ils ont raté le paradis d’un poil, sont désormais sans travail et sont français comme vous et moi. Toutes choses qui méritent d’être indemnisées.

Mais les autres ? Les estimations actuelles avancent le nombre d’environ 2.300 Français ou résidents étrangers en France ayant rejoint Daech en Syrie et en Irak. La France reste le premier pays contributeur d’Europe occidentale.

Si l’unanimité de la classe politique s’accorde sur la nécessité de les mettre hors d’état de nuire, les possibilités juridiques restent étroites. La France n’envisageant pas de créer des camps de rétention sur le modèle de Guantánamo, ceux qui n’ont pas commis de crime sur le territoire seront vite remis dans la nature. Par exemple à Arzon, à Quiberon...

« La déradicalisation doit pouvoir aider l’individu en question à s’immerger dans un milieu social qui puisse lui apporter des liens et le sentiment de ne pas être isolé. Il s’agit d’une véritable tâche de resocialisation. » Noble objectif, qui impose un « retour à la vie normale et à l’insertion socio-éducative ou socio-économique ». Donc, priorité aux djihadistes en recherche d’emploi. Etêteur à la Belle iloise chez Hilliet par exemple!

Naturellement, pour convaincre suffisamment les patrons d’accueillir à bras ouverts dans leur entreprise les guerriers du Prophète, il restera à combattre cette tendance fâcheuse que pourraient avoir certains des djihadistes à vouloir les décapiter, comme ce fut le cas en Isère avec Yassin Salhi (encore qu’elle puisse peut-être intéresser la CGT).

La nécessité d’une formation préalable et d’un entourage compétent, ferme et empathique, prend donc toute sa pertinence : la déradicalisation en milieu ouvert doit, notamment, s’appuyer sur des structures pluridisciplinaires (psychiatres, psychologues, éducateurs spécialisés). Il s’agit de « créer une nouvelle équipe d’intervention autour de la personne afin que celle-ci expérimente d’autres modes coopératifs, le but du séjour étant d’amener la personne à une autonomisation et une réinsertion socio-éducative/socio-économique ».

Ce bel apostolat de la reconversion engendrera, donc, une foultitude d’emplois collatéraux : spécialistes ès islam chez Pôle emploi, dans la magistrature, dans l’enseignement, dans la police, coaching psychologique…
Les plus recherchés seront, assurément, les repentis qui devront être professionnalisés afin de multiplier leurs interventions, notamment auprès des plus jeunes.

Mais attention : cette intégration au marché du travail imposera « de lutter avec fermeté contre les discriminations » (sic).

Au sexe, à la maladie, à l’âge, à l’obésité, à la couleur de peau, à l’allure ou aux inclinations sexuelles s’ajoute donc, désormais, le djihadisme. Ce n’est pas parce que l’on tue des gens que l’on doit être stigmatisé ! Important. Il faudra, donc, être impitoyable avec les dirigeants qui ne percevraient pas suffisamment tout l’apport qu’un djihadiste peut apporter à l’entreprise, notamment en termes de relations humaines.
En conclusion, la municipalité ne construit pas assez de logements sociaux à Quiberon, pour promouvoir la diversité et rajeunir une population qui n'en peut plus , de confort et d'aisance!...

Écrit par : Leonid Bronstein | 15/11/2016

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