09/11/2016
L'Ancien et le Nouveau Monde !
2 000 habitants sur une presqu'île, 915 000 habitants en Bretagne Sud ! changement de braquet ?
L'agenda du Maire de Saint Pierre matérialise "parfaitement" les préoccupations d'un Maire "isolé", dans une commune de terroir, presque commune dortoir, aux activités économiques en déclin...
A Lorient et à Vannes, qui veulent de plus en plus travailler ensemble (à partir des changements de régime en 2017 !), Web in Lorient couronne des "startups" compétitives, qui viennent de Brest ! Vipe à Vannes réchauffe les talents plus locaux, de 5 à 12 par an !
RN 165 (oui, réseau numérique 165) résume à lui seul cette convergence des talents, qui se réunissent par affinités et sans référence au "terroir"... La compétence remplace le lieu de naissance, si prisé sur la presqu'île... Mêler le design aux nouveaux outils élaborés, créer des "chatbot's" pour remplacer des sites internet, préparer les "ordres vocaux" (Echo et Allo) pour supprimer clavier et souris, revoir le marketing "papier" par des publications issues du "tracking" du cheminement internet...
La nouvelle alliance de Bretagne-Sud met sous pression les "micropoles" de la taille d'AQTA, rendant ridicules ces réunions incessantes d'élus, qui se rencontrent pour reconstruire l'ancien monde, qui crève...
Le "pouvoir" actuel chez AQTA perd son temps dans une bureaucratie de pays en développement !
"La News" N°3 novembre 2016
Saint Pierre Quiberon
L'agenda du Maire : (extraits)
Cette rubrique vous permet de suivre l'évolution des principaux dossiers en cours :
- 26 Octobre : réunion avec Morbihan Energie pour optimiser une méthodologie de travail et ainsi répondre plus efficacement aux problématiques d'éclairage public rencontrées ces derniers temps
- 3 Novembre : Conférence des Maires (organisation AQTA)
Avec la participation de François Goulard,
4 thématiques :
Présentation du projet départemental d'aide aux personnes âgées
Organisation de la compétence promotion du tourisme
Schéma directeur en vue de la définition d'une politique sportive
Plan Climat Énergie
Et à venir :
- Le 9 novembre : Captation RCF
L'émission "Village au cœur" de RCF Sud Bretagne s'installe sur la commune pour des rencontres avec Le Maire et les Associations Locales pour mettre en valeur la vitalité de la commune ...Diffusion du 18 au 23 décembre
2 rencontres pour le PLU : DRAC et Préfecture
- Semaine du 14 novembre : Rendez-vous AQTA pour le suivi des projets immobiliers de la commune
- 22 Novembre : Rencontre Grand Site Dunaire (politique d'accueil des chevaux sur les plages)
Web in Lorient, les Brestois raflent le contest
Télégramme du 9 novembre 2016
Le jury (en haut) a sacré, cette année, le projet brestois « Penn ar Box » mené par Loïc Fily et Julien Kersalé (en bas, à gauche). Le public, quant à lui, a eu un « coup de coeur » pour le projet brestois Bimytech de Baptiste Berthier.
La neuvième édition de « Web in Lorient », la rencontre des professionnels du numérique en Bretagne, s'est déroulé, hier, au palais des congrès. Entre ateliers et tables rondes, le temps fort de la journée, le Start-up contest 2016, a couronné deux projets brestois : Penn ar Box, pour « son concentré de produits bretons en boîte », et Bimytech, pour « son tapis de jeu connecté pour enfants ».
« Web in Lorient », la rencontre des professionnels du numérique en Bretagne, vise, tous les ans, à « mettre en lumière les tendances du web et les thématiques du moment », décrypte Arnaud Rentenier, le directeur du développement économique d'AudéLor et de Lorient Technopole. La neuvième édition n'a pas dérogé à la règle, hier, au palais des congrès de Lorient, où avaient pris place quelque 270 personnes férues de numérique.
Convaincre en huit minutes
Cette année, le design était au coeur des ateliers et tables rondes. « Dorénavant, nous souhaitons proposer une thématique transversale. L'idée est de sortir d'un discours très technologique, en montrant les métiers, les savoir-faire... », complète le responsable. Ou comment rendre le numérique concret et à portée de tous, ou presque... C'est d'ailleurs dans cette idée qu'est proposé, à chaque édition, le « Start-up contest ». Cette année, 15 dossiers étaient en lice. Présélectionnés, cinq candidats étaient sur scène, hier. Ils avaient cinq minutes pour présenter leur projet et trois minutes pour répondre aux questions. Huit minutes pour convaincre, et le public, et le jury, composé de Morgan Ravallec, directrice de l'agence Smac, Didier Moreau, manager KPMG, Sébastien Le Corfec, co-fondateur de West Web Valley, Arnaud Rentenier, et Daniel Henry, directeur d'Ergoconceptions. À la clef, une prestation d'accompagnement.
Penn ar Box : le kit de survie des Bretons du monde !
Côté jury, c'est le projet brestois « Penn ar Box » qui a tiré son épingle du jeu. Confronté « à un manque cruel de produits bretons alors qu'ils faisaient leurs études à l'étranger », Loïc Fily et Julien Kersalé ont lancé leur start-up il y a un an et demi. Leur idée : « Propulser du bonheur à l'ensemble des Terriens bretons de la planète ! », en mettant en avant les produits du terroir.
Leur offre, à souscrire par abonnement à partir de 27,90 € : deux box, la « Plij box », constituée de produits bretons artisanaux et surprenants, et la « Buhez box », le kit de survie des Bretons du monde, accompagnées d'un magazine avec des recettes exclusives élaborées par un chef étoilé. Le duo planche aussi sur un calendrier de l'Avent. En un an, la jeune start-up a déjà expédié plus de 4.000 colis à destination de 22 pays (24 % vers Paris, 18 % vers l'Europe, 18 % vers la Bretagne et le reste en France). C'est ce concept, potentiellement transposable à d'autres régions de France, qui a donc séduit le jury.
Bimytech : le tapis de jeu connecté séduit le public
De son côté, le public était également invité à voter pour sa start-up « coup de coeur ». C'est de nouveau un projet brestois qui a décroché la palme, avec 39,3 % des suffrages. Cette idée, Baptiste Berthier l'a lancée en janvier : « Concevoir le premier tapis de jeu éducatif et interactif ». Insistant sur le fait que « l'arme la plus puissante du monde est l'éducation », le jeune ingénieur et son binôme, Mélanie Suignard, entendent « offrir aux enfants le meilleur outil pédagogique connecté, avec des contenus adaptés ». En cours d'expérimentation, ce matériel cible les fondamentaux ? la lecture, le calcul et l'écriture ? par le biais de « la synesthésie, cette capacité à associer deux ou plusieurs sens ». Destiné initialement aux 3-6 ans, Bimytech propose des housses interchangeables « pour changer d'univers » et une application gratuite « pour une durée de vie plus importante ». Coût : 180 €. Non primés, les trois autres finalistes n'ont toutefois pas démérité. Étaient en lice : « Ekosea », la plate-forme lorientaise de crowfunding autour de l'océan, du monde maritime et de l'environnement ; « Leboncuisiniste » (Ergué-Gabéric), un site internet qui permet de trouver un cuisiniste en toute confiance (950 professionnels y sont référencés) ; et enfin « Sportihome », une plate-forme, lancée à Lorient, qui permet à des passionnés de sport de partager un hébergement et/ou leur activité sportive. © Le Télégrammehttp://www.letelegramme.fr/morbihan/lorient/web-in-lorient-les-brestois-raflent-le-contest-09-11-2016-11286011.php#wJWVB7Du3YvlrMJi.99
Start-up à Vannes, un territoire très attractif
Télégramme du 9 novembre 2016
Xavier Colas ( au premier plan), directeur de Vipe, aux côtés de de Christophe Vallée et de Julie Le Guiniec.
Le pays de Vannes est un terreau fertile en start-up ! La connectivité du territoire, ses nombreux réseaux, son cadre de vie et la nouvelle plateforme du conjoint en mobilité sont ses grands atouts. Une recette qui commence à faire des envieux en France.
Douze créations d'entreprises innovantes en 2015 sur la région de Vannes et cinq pour l'instant en 2016. Si la première est une année exceptionnelle, la seconde n'a pas à rougir de ses statistiques. « 2016 reste une année correcte, analyse Xavier Colas, nouveau directeur de Vipe, l'agence de développement et technopole du pays de Vannes. Un autre critère confirme l'attractivité du territoire : c'est le nombre de lauréats Phar, ou prêt d'honneur pour l'amorçage régional. « Nous avons cinq lauréats. Cela montre la qualité des projets structurés à Vannes », se réjouit Xavier Colas. « Ce prêt d'honneur peut aller jusqu'à 45.000 € par porteur de projet, une somme souvent essentielle dans la chaîne de financement », précise Christophe Vallée, chargé de mission dans l'accompagnement des projets innovants.
La connectivité du territoire
À l'évidence, les start-up aiment Vannes. Bon nombre d'entre elles vivent les premiers mois de leur existence dans les deux pépinières de Vipe : le Prisme et Pentaparc. « On a beaucoup de projets de plateforme numérique et de nautisme », constate Christophe Vallée. Pourquoi le pays de Vannes ? « Parce qu'on a un élément fort : la connectivité du territoire, dit Xavier Colas. Il y a les routes, la LGV, le projet d'aéroport de Notre-Dame-des-Landes et le haut débit. Et aujourd'hui, le haut débit concerne toutes les boîtes, non seulement pour les attirer mais aussi pour les retenir ».
Des réseaux et du bien-être
Le pays de Vannes a bien sûr d'autres cordes à son arc : une filière nautisme bien structurée, des réseaux d'entreprises fluides, interconnectés qui se parlent, un territoire à taille humaine sans embouteillage qui permet d'enchaîner cinq rendez-vous dans une journée et enfin le bien-être. « Certes, le chef d'entreprise veut d'abord faire du business, mais le bien-être est une dimension qui redevient importante, dit Xavier Colas.
Vannes attire des personnes qui ont déjà fait une partie de leur carrière et qui sont plus attentives à cet aspect. Le bien-être est devenu un paramètre de motivation qui continue à prendre de l'ampleur ». La qualité de vie, le golfe du Morbihan, le parc naturel régional, les îles : voilà une carte majeure pour le pays de Vannes, face aux puissantes métropoles que sont Rennes et Nantes !
L'accompagnement du conjoint
Pour attirer les créateurs de start-up et les cadres, Vipe veut lever le dernier frein : aider leurs conjoints à trouver du travail dans la région. L'accompagnement du conjoint en mobilité est une question centrale qui implique une mobilisation qui va au-delà du bassin vannetais : la plateforme mise au point en collaboration avec les agences de développement de Lorient et Quimper sera opérationnelle à la fin du mois de novembre. « Le but, c'est de mettre en contact ces conjoints avec des entreprises d'un bassin élargi », dit Xavier Colas.
L'exemple Vannetais intéresse Boulogne-sur-Mer
La recette vannetaise commence à intéresser d'autres territoires... Vipe a accueilli la semaine dernière une délégation de Boulogne-sur-Mer venue s'inspirer du modèle de collaboration entre entreprises et collectivités sur le pays de Vannes. « On leur a présenté Vipe, des chefs d'entreprises, le club entreprises et on leur a expliqué ce qui se faisait sur le territoire, dit le directeur de l'agence vannetaise. Ils se sont montrés très intéressés et sont repartis avec des idées ». Et des idées, Vipe n'en manque pas... Pour rendre le territoire encore plus attractif, l'agence travaille sur son futur site Internet de la destination économique qui devrait être inauguré avant la fin de l'année. « Ce sera un outil de marketing territorial et d'installation d'entreprises, la porte d'entrée des entreprises candidates à l'implantation » ! Vipe sera aussi présente, avec les cinq intercommunalités du pays de Vannes, au salon des entrepreneurs de Nantes les 23 et 24 novembre. © Le Télégrammehttp://www.letelegramme.fr/morbihan/vannes/start-up-un-territoire-tres-attractif-09-11-2016-11286136.php#6PJag2Eax4xO0ziP.99
Bretagne Sud, un destin en marche
Télégramme du 2 novembre 2016
Va-t-on assister à l'émergence d'une nouvelle force territoriale en Bretagne Sud ? Pour ne pas vivre à l'ombre des métropoles, les agglomérations de Quimper, Lorient et Vannes veulent s'unir pour relever le défi de la compétitivité. Ira-t-on jusqu'à une communauté de destin, transcendant clivages politiques et limites géographiques ? Le forum qui se tient demain, à Lorient , doit tenter d'y répondre.
Comment exister face aux métropoles, ces nouveaux totems du développement à la française ? La question n'est pas posée aussi directement mais c'est bien l'avenir économique des agglomérations de Quimper, Lorient et Vannes qui a motivé l'organisation de ce premier forum à Lorient. Au point de réunir à une même tribune les trois présidents d'agglomération : une première ! La Bretagne Sud et ses 951.000 habitants, son décor de carte postale et ses 29 % de Bretons doit-elle trembler sur ses bases ? Le débat est ouvert. Car cette (r)évolution métropolitaine, d'un abord très institutionnel, porte en germe une recomposition du paysage breton, pas franchement favorable sur le papier à la Bretagne Sud, prise en étau au nord, à l'est et au sud. Avec en tête d'affiche Brest, Rennes et Nantes, la place réservée aux autres territoires est donc posée. « Je milite depuis plusieurs années pour donner corps à la Bretagne Sud et afficher nos atouts. Cette réforme trace de nouvelles frontières et le risque est réel de perdre du terrain face aux métropoles », analyse Norbert Métairie (PS), le président de Lorient Agglomération. « On ne peut pas nier la compétition. Il est désormais vital de parler à ses voisins en dépassant nos différences politiques. C'est du gagnant-gagnant », abonde Ludovic Jolivet (LR), son homologue à Quimper Communauté.
« Une forte attente du milieu économique »
Du Cap-Sizun aux portes de la Loire, ce désir d'union s'est avant tout forgé sur des impératifs économiques. « Nos agences de développement nous ont relayé une attente très forte des entreprises. Avec pour mission de les aider à défendre l'emploi sur ce territoire », affirme Pierre Le Bodo (UDI), le président de Vannes Agglo. La Bretagne Sud ainsi unie pourrait mieux garantir son attractivité (réelle) et attirer de la matière grise. « La recherche d'emploi du conjoint d'un cadre recruté a été l'un des obstacles identifiés. On vient d'y répondre de manière pragmatique en créant une plateforme mise en ligne à l'échelle du territoire », illustre Norbert Métairie. La logique est donc enclenchée. Ces villes intermédiaires n'auraient pas d'autre choix que de réinventer de nouveaux partenariats sur un territoire qui partage bien plus qu'une façade maritime : course au large (Sailing Valley), construction navale, pêche, tourisme, universités, recherche, agroalimentaire...
« La Bretagne ne s'arrête pas au bassin rennais »
« La Bretagne Sud remplit déjà des fonctions métropolitaines en capacité de répondre à la nouvelle donne économique. Autant le faire savoir », plaide Norbert Métairie qui défend « un équilibre multipolaire. Demain, il ne faut pas que la Bretagne, vue de l'Europe, s'arrête au bassin rennais ». L'animation des réseaux d'entreprise est donc la clé pour attirer sa part de projecteur. Pour Ludovic Jolivet, « gardons-nous de créer une usine à gaz. Il faut se concentrer sur quatre ou cinq dossiers en nouant des coopérations très fortes, un syndicat d'intérêt privé mais au service d'une communauté de destin ».
« Pas une nouvelle métropole »
Ce rapprochement économique sera-t-il suffisant pour contrer le pouvoir métropolitain ? Ou faut-il une revendication plus politique en hissant haut la bannière « Bretagne Sud » ? L'histoire ne fait que commencer mais « on peut imaginer une communication commune », observe Pierre Le Bodo, cependant une traduction juridique de cet élan collectif n'est pas pour demain. « En Cornouaille, ce serait difficile. On ne va pas perdre notre identité. Il s'agit de faire mieux à trois ce que l'on ne peut pas faire seul », cadre Ludovic Jolivet qui, comme Pierre Le Bodo, est déjà absorbé par des échéances de fusion d'agglomérations. « On ne va pas créer une nouvelle métropole ». Mais cette dynamique territoriale n'est pas qu'une affaire de dénomination. Elle s'inscrit dans la réalité de territoires qui partagent des attentes similaires et une réelle proximité. « L'un de nos atouts est la qualité de vie, affirme Norbert Métairie. C'est un argument qui compte de plus en plus dans les choix professionnels ». Et ça, aucune loi n'a encore donné de préférence à cet état de fait. Pratique « Bretagne Sud, un projet commun », demain, au Palais des congrès de Lorient de 14 h à 17 h.
© Le Télégrammehttp://www.letelegramme.fr/bretagne/bretagne-sud-un-destin-en-marche-02-11-2016-11277096.php#AAby8GUIsOC4crjU.99
Commentaires
Problème :
Le petit Janbart dispose dans son panier qui s'appelle presqu'île d'un bocal de cornichons nommé Quiberon. Il y a 4987 cornichons dans ce bocal.
Il dispose aussi d'un autre bocal de cornichons nommé Saint Pierre Quiberon. Il y a 2116 cornichons dans ce bocal.
Question 1
Combien y-a-t-il de bocaux de cornichons dans le panier presqu'île du petit Janbart?
Question 2
Combien de cornichons au maximum le petit Janbart peut-il vendre ?
Vous avez 2 heures.
Écrit par : profdesécoles | 10/11/2016
« La compétence remplace le lieu de naissance, si prisé sur la presqu'île » dites-vous.
Oui et Non car par exemple dans les conseils municipaux de Saint Pierre et de Quiberon ou la compétence fait gravement défaut si vous vous penchiez sur les CV des adjoints et conseillers vous vous rendriez compte que beaucoup ne sont pas natifs de la presqu'île. Notre maire- né à Quiberon- est lui-même fils de migrant économique suivant la sardine. Son papa aurait pu s'implanter ailleurs : Belle- Île par exemple. Quiberon serait-il gagnant aujourd'hui ?
Natif ou non qui a contaminé l'autre au point d'avoir de telles équipes pour diriger notre « bout du monde » et de le représenter à AQTA ou pire au Département ?
Même ceux qui reviennent au pays- après avoir fait paraît-il des carrières mirobolantes couronnées de la légion d'honneur pour certains- ne font preuve pour le moment d'aucune utilité à la communauté.
On dit que c'est toujours mieux chez les autres. Savez-vous que depuis très longtemps-donc bien avant VIPE- à Quiberon on connaît l'accompagnement du conjoint décrit dans l'article du Télégramme ci-dessus.
On trouve dans toutes les couches sociales des exemples parfois retoqués par la loi comme par exemple le cas d'un médecin exerçant à Quiberon et de son épouse- docteur en pharmacie- ouvrant une officine dans la même ville !
Il semblerait que les cadres administratifs ne se précipitent pas pour venir travailler dans un si beau pays aux paysages merveilleux :
Ainsi il fallut à la municipalité embaucher l'ancien DGS et son épouse ou le responsable des travaux (ingénieur maison) et créer différents postes successifs pour son épouse.
Dans le domaine du privé il règne un certain flou artistique qui expliquerait peut-être la demande soudainement impérative de logements sociaux-locatifs ou en accession à la propriété- ou de terrains comme au Briellec 3.
Tout le monde ne s'appelle Gaudin, Michelin ou encore Peugeot n'est-ce pas?
C'est tellement plus facile de faire payer la Collectivité !
Aussi inquiétant, la place du pays d'Auray coincé entre les agglo. de Lorient et de Vannes est de très mauvaise augure surtout quand on connaît l'ambiance qui y règne.
Qui vivra verra !
Il nous restera toujours des berniques à manger si du moins les arrêtés préfectoraux d'interdiction de pêche ne se contredisent pas trop comme actuellement. De quoi tourner chèvre. Animal très prisé de nos amis qataris déjà à Arzon et bientôt de ce bord-ci
Écrit par : observer | 10/11/2016
Les commentaires sont fermés.