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03/10/2016

Les effets de la "recentralisation"...

Le regroupement des communes en Intercommunalité est-il un facteur de "rationalisation" économique ?

Gilles Dufeigneux, Bernard Hilliet, Olivier Duport, Philippe Le Ray, Gérard Pierre.jpg

A Quiberon, Bernard Hilliet souhaite "coacher" cette unité de la presqu'île, en absorbant indirectement toutes ses activités vitales... La construction d'une Maison de Santé (la commune s'est portée caution pour le financement) se heurte pour l'instant à la réticence des médecins généralistes de la presqu'île, qui veulent garder leur indépendance ! Remplir ainsi complètement un "plateau moderne" médical est donc une autre affaire !

A cette inauguration, Philippe Le Ray rappelle que "Quiberon" est la ville-moteur d'AQTA, oubliant sa "préférée", Laurence de Saint Pierre Quiberon...

Vannes Agglo, le nouveau logo.jpg

Plus à l'Est, à Vannes Agglo la fusion de trois entités n'est pas un long fleuve tranquille, car la rationalisation d'un réseau de transport implique des choix "collectifs"...

Le bonheur est-il vraiment dans la concentration "peu concertée" ?


La Maison de Santé de Quiberon facilitera les interventions

Télégramme du 3 octobre 2016

 Gilles Dufeigneux, Bernard Hilliet, Olivier Duport, Philippe Le Ray, Gérard Pierre.jpg

La Maison de santé de Quiberon a été inaugurée samedi après-midi.

C'est samedi après-midi, en présence d'environ 60 personnes qu'a été inaugurée la Maison de santé de Quiberon. Des professionnels de la santé étaient présents ainsi que plusieurs officiels pour entourer le maire, Bernard Hilliet, et son adjointe à la santé, Marie-Thérèse Le Gac. Le député, Philippe Le Ray, avait fait le déplacement ainsi que, entre autres, le président du Sdis 56 Gilles Dufeigneux.

Une « boîte à outils à remplir »

Le premier à s'exprimer fut celui qui a tant oeuvré bénévolement pour que le projet voit le jour, Olivier Duport. Pour lui, « la Maison de santé est une boîte à outils qu'il va falloir remplir au mieux ». Il se réjouit déjà de l'arrivée d'un nouveau médecin l'été passé et du succès du service de garde estival.

2,3 millions investis par la commune

Le maire, Bernard Hilliet, a rappelé le rôle de facilitateur que la municipalité avait joué dans cette aventure, sachant que la création de cette Maison était une des principales promesses de campagne. Il se félicite donc de sa création tout comme Gilles Dufeigneux, président du SDIS 56, qui a rappelé que cette Maison était la quatorzième du type créée dans le département. À raison de 40.000 interventions par an, dont 35.000 pour secours à la personne, le SDIS 56 ne peut que se réjouir de voir de tels lieux créés, car ils permettent une meilleure régulation et de substantielles économies. Le député Philippe Le Ray s'est félicité de cette collaboration public-privé pour le bien de tous, rappelant que pour lui, Quiberon était la ville moteur d'Aqta (Auray-Quiberon-terre-atlantique).   

© Le Télégrammehttp://www.letelegramme.fr/morbihan/quiberon/sante-la-maison-facilitera-les-interventions-03-10-2016-11240312.php#ZvkXmhVek896XfXx.99

Les élus ont découvert jeudi soir le logo de la nouvelle agglomération, qui regroupera à partir du 1er janvier 2017 les communautés de communes du Loch, de la Presqu'île de Rhuys et de Vannes Agglo.

Télégramme du 1er octobre 2016

 Vannes Agglo, le nouveau logo.jpg

Les habitants étaient invités à voter du 20 au 28 septembre, pour choisir l'identité visuelle de leur future agglomération. S'ils ont plébiscité à près de 78 % la proposition de l'Agence & Go de Saint-Avé, ils n'ont été que 1.636 à participer à cette consultation citoyenne. Soit environ 1 % des 168.000 habitants concernés par la fusion des trois communautés de communes. « Une participation très décevante », ont regretté certains élus, à l'issue de près de cinq heures de débats animés, notamment sur la fusion, pour ce conseil communautaire de rentrée. Le dernier gros point de crispation de la soirée avait concerné le choix du nouveau délégataire pour le réseau de transports en commun Kicéo. Après plusieurs mois de négociation, le groupe de travail a retenu l'offre de RATPdev, moins disante que celle de Transdev, le délégataire actuel (76,94 M€ sur sept ans, contre 80,43 M€).

Transports; à l'Est, le compte n'y est pas

Simon Uzenat (Vannes) a regretté « un choix uniquement financier, sans aucune ambition écologique », et qui ne prendrait pas suffisamment en compte le schéma directeur des transports adopté en avril 2015. « Comment peut-on payer moins un service qui devra s'étendre au reste du territoire dans le cadre de la fusion ? », s'est-il inquiété, notamment concernant le nouveau kilométrage qui sera imposé aux chauffeurs. Pour les communes de l'Est de l'agglomération, le compte n'y est pas non plus. « Surzur restera la seule commune de plus de 5.000 habitants non desservie », constate Xavier Bénéat, qui demande l'extension de la ligne 10 pour l'équipement Aquagolfe. « Toujours pas de ligne entre le bourg et la zone du Poulfanc » pour Séné, ni de « liaisons directes entre les communes périphériques » pour Saint-Avé. « Le schéma n'est pas figé, notamment pour la deuxième couronne », a tenté de rassurer le maire de Vannes, David Robo, comme le président de Vannes Agglo Pierre Le Bodo : « C'est le choix du délégataire, pas du réseau ». « Les termes du contrat nous engagent quand même », a rétorqué Anne Gallo, maire de Saint-Avé. Ce qu'a reconnu Denis Berthelom (Larmor-Baden), le vice-président en charge des déplacements : « Mais il nous faut maîtriser les coups. À moins que tout le monde soit d'accord pour y mettre plus d'argent ? ».

© Le Télégramme

http://www.letelegramme.fr/morbihan/vannes/vannes-agglo-le-nouveau-logo-devoile-01-10-2016-11238586.php#yLDyMYdXrJFUSMlI.99

 

Pluneret, l'ancien directeur d'école témoin du développement du bourg

Le Télégramme du 16 septembre 2016

 Michel Le Garff, instituteur, puis Directeur de l'Ecole publique de Pluneret.jpg

Michel Le Garff a dirigé l'école de Pluneret pendant 27 ans.

Située à trois kilomètres d'Auray, la commune de Pluneret, qui compte 5.700 habitants, s'est particulièrement développée ces dernières années, avec un centre-bourg qui a néanmoins su conserver son caractère originel. Une évolution à laquelle a assisté Michel Le Garff, qui fut directeur de l'école publique pendant 27 ans.

Vous avez été directeur de l'école Germaine-Tillion de Pluneret de 1974 à 2001. Comment a-t-elle évolué sur cette période ? À l'époque, elle ne s'appelait pas Germaine-Tillion. On l'appelait juste l'école ! Une chose est sûre : les personnes qui ont quitté la commune en 1974 ne reconnaîtraient pas l'école aujourd'hui. Avant 1960, elle se trouvait à la mairie. Il y avait une classe unique pour 25 gamins de 3 à 12 ans ! Puis, un bâtiment dédié a été construit à l'emplacement de l'actuelle garderie municipale, qui a d'ailleurs gardé son toit. La classe, le préau et les WC se touchaient. À l'époque, il était entouré de prairies, avec des vaches et une ferme à la place de la police municipale. Le nombre d'écoliers a dû augmenter considérablement depuis ?

Lorsque j'ai commencé en 1974, à l'âge de 28 ans, après avoir effectué plusieurs stages en sortant de l'école normale de Vannes, je m'occupais de 33 élèves de différents niveaux dans deux classes. Avec la multiplication des constructions à Pluneret, les effectifs ont bien sûr augmenté jusqu'en 1994. Les locaux ont empiété progressivement sur les champs et le nombre de classes est passé de quatre, en 1976, à treize de 1992 à 2001, soit onze classes supplémentaires en moins de 20 ans. En 1975, une cantine municipale s'est donc installée dans la salle des fêtes jusqu'à la construction du restaurant scolaire en 1985. Vous cumuliez donc le statut d'instituteur et de directeur ?

J'avais en fait un double statut d'enseignant et de directeur. Un poste que j'ai occupé à quart puis à mi-temps. Être directeur à temps plein, c'est récent ! Certes ce n'était pas toujours facile de jongler avec tous les cours. Mais il y avait plus de discipline qu'aujourd'hui et les parents soutenaient l'instituteur lorsqu'il punissait leurs enfants. C'est important que l'enseignant soit maître dans sa classe. Lorsque je suis parti à la retraite, les enfants maîtrisaient moins bien l'orthographe qu'à mes débuts. La dictée à l'ancienne avait du bon...

© Le Télégramme

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