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05/08/2016

La "quête" du Dimanche est remplacée par les "transferts sociaux" !

Le "système en place" tue tout simplement et à petit feu les entrepreneurs, les jeunes qui ont des idées !

Nau, bateau modulaire.jpg

Vouloir lancer un produit nouveau en France est "une folie" ! car dès le démarrage, c'est la taxation "sociale" pour financer les "bataillons" des "minima sociaux" (environ 4 millions de personnes...), qui attendent comme des oisillons !

Toute la société française valide malheureusement ce système, qui peut rendre service à un instant donné à ses enfants !

La théorie économique du 17ème au 20ème siècle a fait place aujourd'hui au calcul économique, qui condamne cette pratique "politique", en dévalorisant le "geste productif"...

Le cycle de la réélection est trop "court" par rapport au cycle économique ! 


Nautisme, cinq bateaux en un, Nau, champion de la modularité

Télégramme du 4 août 2016

 Un Cottin peut en cacher un autre.jpg

Voilà un bateau évolutif qui va faire le bonheur de ceux qui cherchent avant tout la polyvalence. Grâce à sa modularité totale Nau peut d'un coup de baguette magique passer du stade d'annexe à celui de catamaran de sport, en passant par les étapes Optimist, barque et dériveur. Le module de base, c'est la mini-barque en plastique à rame ou à moteur. Il suffit d'y ajouter un petit gréement de 3 m pour obtenir un Optimist. À moins que l'on préfère ajouter deux flotteurs pour obtenir une vraie barque de 4 m de long pouvant être équipée d'un gros moteur. La version barque peut, elle aussi, être équipée d'un grand gréement de 6 m pour devenir un dériveur stable et confortable. Quant à la version catamaran (3,96 m de long) elle se compose des deux flotteurs auxquels on ajoute deux poutres et un trampoline. « Tout cela avec un système d'attache sans outil. Tout se clippe. Le catamaran se monte en une heure », indique Louis Cottin, qui a lancé la société Nau en novembre 2015. Nau se transporte avec une simple remorque. La coque est faite à Lanester chez Kerpont Plastique, la voile chez North Sails à Vannes, le mât et les poutres chez AG+ à La Rochelle et le trampoline chez France Trampoline.

Nau summer tour en 19 étapes

Pour l'instant, seule la version catamaran est commercialisée et fait l'objet d'une campagne de présentation sur la côte ouest : le Nau summer tour (*) qui fera étape en août dans 19 stations balnéaires de Saint-Pierre-Quiberon à l'île de Ré. « Nous avons démarré à Saint-Pierre-Quiberon le 1e r août où nous avons proposé une dizaine d'essais. Nous avons déjà signé deux ventes », précise Louis Cottin. Quant à l'annexe, elle devrait être commercialisée en novembre. Le jeune manager vise le marché français et européen, à la fois pour les particuliers et les professionnels. « Nous sommes les seuls sur un tel concept de modularité pour un prix allant de 1.500 à 7.500 € selon les options et de 12.000 € pour la gamme complète », détaille-t-il. Nau sera présent au Grand Pavois à La Rochelle au Nautic de Paris et au Boot de Düsseldorf. Louis Cottin compte pousser la modularité encore plus loin : il va réfléchir à la conception de nouveaux modules à ajouter aux flotteurs ou à l'annexe pour avoir un semi-rigide, voire un pédalo ! * Informations et présentation sur www.nau.bzh

© Le Télégrammehttp://www.letelegramme.fr/morbihan/nautisme-cinq-bateaux-en-un-nau-champion-de-la-modularite-04-08-2016-11170198.php#CgohLbEimoUfIlsq.99

 

 

Bateau modulaire, essais gratuits ce lundi

Télégramme du 1er août 2016

 Nau, bateau modulaire.jpg

Des essais gratuits du bateau modulaire Nau sont proposés à la SRSP aujourd'hui.

Nau, le concept de bateau modulaire complet, qui avait vu le jour fin 2015 pour le salon nautique de Paris, va faire une tournée de plage en plage, entre Saint-Pierre-Quiberon et l'Ile d'Oléron. 21 dates sont prévues dans les centres nautiques. Le départ a lieu aujourd'hui de la SRSP, Société des régates, où des démonstrations et essais gratuits sont proposés tout l'après-midi.

Cinq bateau en un

Une évidence que le NAU summer Tour débute par Saint-Pierre-Quiberon. La start-up Almeso, qui a conçu et qui commercialise ce concept, est installée rue du Général-de-Gaulle. Louis Cottin n'envisageait pas un autre endroit pour le départ de ce périple qui a pour but de convaincre le grand public de la pertinence de cette innovation composée de trois modules et d'accessoires qui permettent d'obtenir cinq bateaux différents. Car grâce aux centres nautiques qui accueilleront l'événement, ce sera l'occasion de découvrir et surtout d'essayer la première configuration disponible du bateau modulaire : le catamaran NAU. Sur la commune, il faudra se rendre à la SRSP.

Pratique

Démonstrations et essais gratuits sont au rendez-vous tous l'après-midi. Les pré-inscriptions pour tester le catamaran Nau, la carte des villes étapes et les lieux de rendez-vous se trouvent sur le site www.nau.bzh 

© Le Télégrammehttp://www.letelegramme.fr/morbihan/saint-pierre-quiberon/bateau-modulaire-essais-gratuits-ce-lundi-01-08-2016-11167643.php#GSQTzIThqfVBHMgb.99

 

Un Français sur neuf bénéficie des minima sociaux

Les Echos du 2 août 2016

Claire Bauchart

Un Français sur neuf bénéficie des minima sociaux

Minima sociaux en France.jpg

80 % des 7,4 millions de personnes couvertes le demeurent d’une année sur l’autre.

Quelque 4,1 millions de personnes percevaient, fin 2014, l'un des 9 minima sociaux alors en vigueur (10 depuis le 1er novembre 2015). En y ajoutant conjoints et personnes à charge, le nombre grimpait à 7,4 millions, soit 1 Français sur 9, selon une étude de la Direction de la recherche, des études, de l'évaluation et des statistiques (DREES) du ministère des Affaires sociales, qui vient d'être publiée. Le RSA socle, l'allocation de solidarité aux personnes âgées (Aspa), l'allocation aux adultes handicapés (AAH) et l'allocation de solidarité spécifique (ASS) regroupaient à eux seuls 96 % des allocataires de ces prestations sociales non contributives.

Des effets salutaires

Un nombre de bénéficiaires en hausse de 2,7 % par rapport à l'année précédente, mais marquant le pas après deux ans d'augmentation à 4,5 %. Un ralentissement que la DREES attribue à une dégradation moindre sur le front de l'emploi à partir de la mi-2013, tout en relevant de fortes disparités entre régions. Les allocataires sont surreprésentés en Seine-Saint-Denis et dans le nord de la France, alors qu'ils sont nettement plus rares le long de l'axe Pays de la Loire - Ile-de-France.

Ces minima sociaux contribuent fortement, relève la Drees, à réduire la proportion de personnes pauvres, au sens statistique du terme : celles dont le niveau de vie est inférieur à 60 % du niveau de vie médian, soit, en 2013, 1.000 euros par mois et unité de consommation. Ainsi, 79 % de la masse totale des minima est octroyée aux 20 % les plus pauvres. Plus globalement, en 2013, les prestations sociales non contributives (parmi lesquelles, outre les minima sociaux, figurent des prestations familiales ou aides au logement) comptent, en France métropolitaine, pour 46 % du revenu disponible des foyers des premier et deuxième déciles de niveau de vie.

Prises dans leur totalité, les prestations sociales ont un effet non négligeable sur la diminution de la pauvreté : en 2013, la proportion de personnes se situant sous le seuil de pauvreté s'est vue réduite de 7,9 points une fois les prestations et la fiscalité directe appliquées, pour un taux final s'établissant cette année-là à 14 % de la population métropolitaine.

Des aides sociales aux effets salutaires, à en croire la Drees, mais dont il devient, une fois qu'on en profite, difficile de se passer : parmi les bénéficiaires des minima sociaux, quatre sur cinq le demeurent d'une année sur l'autre. Par ailleurs, même parmi les anciens allocataires, beaucoup tendent à le redevenir après une autre détérioration de leur situation : par exemple, chez les plus de 35 ans, 50 % des entrants dans le RSA socle en ont déjà été bénéficiaires. Des situations sociales compliquées qui tendent donc à s'ancrer dans le temps, et ce, alors que la part d'individus s'estimant pauvres a fortement grimpé entre 2014 et 2015, passant de 8 à 13 %.

En savoir plus sur http://www.lesechos.fr/economie-france/social/0211174475913-un-francais-sur-neuf-beneficie-des-minima-sociaux-2018256.php?2QhJh0QHeIYKBg8W.99#xtor=EPR-7-%5Bmatinale%5D-20160802-%5BProv_%5D-1104545%402

 

 

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