13/04/2016
Garçons de café, animateurs socio-culturels, ouvriers agricoles...
La Bretagne, en plein contre-sens du recrutement !
C'est le "marronnier" de la saison... la Presse locale enfume le lecteur breton avant la saison...
Le meilleur indice de la situation : le nombre de magasins vides à Quiberon au mois d'avril !
La Bretagne ressemble selon eux à la France des "petits boulots", du "saisonnier", qui fait du surf le soir sur les plages et du "fêtard" adepte des soirées alcoolisées sur le boulevard Chanard...
Erreur ! les journalistes devraient se recycler, aussi bien au Télégramme que chez Ouest !
La vie "en saison" est de plus en plus courte, au point d'épuiser définitivement les commerces du Boulevard de la Plage, qui tombent comme des mouches... les rideaux, vitrines blanchies rapidement, les affiches "à vendre ou à louer pour la saison" tuent le "vrai commerce" local et les "courageux"...
L'activité durable se situe désormais dans le commerce alimentaire, avec les boulangers en tête, et quelques belle têtes d'affiche à Quiberon ! Idem, dans la distribution avec Carrouf, Super U et Lidl, l'isolé, qui pourrait bien "décoiffer" tout le petit monde tranquille...
Suivent les "éternelles agences immobilières" à la recherche du "Bien", facile à vendre...
Le "banc des retraités" est le dernier endroit à la mode (Merci Jean-Michel !)
Intentions d'embauche en Bretagne
Télégramme du 13 avril 2016
Philippe Créhange
97.518, c'est le nombre d'intentions d'embauche recensées en Bretagne par Pôle Emploi pour 2016. Une progression de 9 % par rapport à 2015 qu'il faut toutefois tempérer.
En matière d'emploi, les données restent une science inexacte. L'enquête annuelle réalisée par Pôle Emploi auprès des entreprises bretonnes, fin 2015, sur les besoins en main-d'oeuvre (BMO), et dont les résultats viennent d'être rendus publics, en est une nouvelle preuve. + 9 % d'intentions d'embauche par rapport à l'an passé, et + 1 % en particulier pour les recrutements non saisonniers ; il y aurait de quoi mettre du baume au coeur des chômeurs bretons. Mais voilà, publiés il y a tout juste trois semaines, les derniers chiffres du chômage (+ 2,3 % en Bretagne) ne peuvent que tempérer l'optimisme que l'on pourrait, au premier abord, tirer de l'enquête BMO.
Reste désormais à surveiller dans les prochains mois si les 97.518 projets de recrutement annoncés par les entreprises bretonnes verront véritablement le jour. Qui recrute le plus ? Sans surprise, les serveurs de cafés et de restaurants occupent la première place des métiers pourvoyeurs d'emplois (5.504). Bémol, il s'agit, pour plus de 80 % d'entre eux, d'emplois saisonniers. Viennent ensuite les agents d'entretien de locaux (4.805) et les animateurs socioculturels (4.168) où, là encore, l'emploi saisonnier représente une grande majorité (78 %).
Le secteur agricole n'est pas en reste avec 4.147 promesses de recrutement d'ouvriers non qualifiés dans l'industrie agroalimentaire et 4.062 projets pour les agriculteurs salariés et les ouvriers agricoles. Des emplois également liés à la saisonnalité. Dans quel secteur recrute-t-on le plus facilement ? Ce ne sont pas forcément les métiers les plus qualifiés qui posent problème aux employeurs. Sur les 2.412 projets de recrutement d'aides à domicile et d'aides ménagères annoncés par les entreprises, 61 % sont jugés difficiles. Avec 58,9 %, les cuisiniers arrivent en deuxième position, suivis par les sportifs et animateurs sportifs (49,4 %).
À l'inverse, il semble plus aisé pour les recruteurs de trouver des artistes (y compris des professeurs), avec 5,8 % seulement de projets jugés difficiles. Tout comme des caissiers et pompistes (9,3 %) ou des agents de services hospitaliers (10,6 %). Quels métiers en hausse, quels métiers en baisse ? Ce sont les agents d'entretien de locaux qui connaissent une forte croissance en matière de recrutement, avec 1.584 projets supplémentaires par rapport à 2015, devant les ouvriers non qualifiés de l'agroalimentaire (+ 1.052), ainsi que les ouvriers non qualifiés de l'emballage et les manutentionnaires (+ 981). À l'inverse, le secteur de la mer souffre. Les marins salariés et les matelots de la navigation fluviale sont ainsi moins demandés (- 1.203), tout comme les pêcheurs et aquaculteurs salariés (- 607). Où recrute-t-on le plus ? Effet démographique oblige, Rennes est le bassin d'emploi le plus enclin à recruter, avec 18.555 projets (agents d'entretien de locaux en tête), devant Brest (8.293, dont 467 agents d'entretien), Lorient (6.974 projets) et Vannes (5.927). Pour les deux bassins morbihannais, c'est le secteur des cafés, restaurants et de la cuisine qui recrute le plus. Le caractère touristique de ces territoires en est la raison principale.
En complément
© Le Télégramme
Commentaires
les commerces en question ferment et ne rouvrent plus faute de clientèle!
tant pis pour eux qu'ils dégagent: ils n'apportent rien à Quiberon si ce n'est une atteinte à la réputation de la station!..
Clientèle qui ne supporte plus de faire vendre des chiffons achetés dans le sentier (hein kaki machin?), ou de la soupe en boite de mauvaise qualité à des prix exorbitants (n'est ce pas x et y à port m ou t...
Quand on va chez certains crazies et assimilés , ou G... c'est pour se voir proposer des produits tres quelconques d'origine chinoise achetés un et revendu 10... la filouterie trouve ses limites quand même!
ou aller chez des resraurateurs qui pretendent vendre du poisson soi disant du matin alors que c'est du surgelé picard ou sortant d'une usine à bouffe du coté de landevant ou d'auray! accompagné de picrate provenant de leclerc lanester et rebaptisé pompeusement cuvée du patron...
et combien d'autres choses encore pires?
Qui ne s'est pas fait rouler avev du mulet de port renommé loup? ou illustre meconnu comme à Saint pierre?
Qu'attendent les journalistes pour reporter toutes ces filouteries?
Écrit par : bocusse | 13/04/2016
Tout ca ce sont des duchentils:
k crazy et g...
au xIXeme siecle et au debut du XX ils venaient recruter les filles d'ici pour en faire des bonniches et des putes à versailles ou à Paris... Les hommes eux ils se retrouvaient manoeuvres ; Les jeunes d'alors étaient recrutés directement à leur arrivée à Montparnasse pour se retrouver dans les bordels parisiens ou esclaves de bourgeois étriqués imbus d'eux memes.
maintenant, les duchentils se sont etablis ici dans les maisons de nos parents qu'ils nous ont contraint à leur vendre pours que nous on se retrouve en hlm avec les bougnoules. Ils ne nous trouvent bien que pour faire serveurs de bistrots ou employés de magazins ou etripeur chez hilliet. ils nous emmerdent si on veut se lancer dans d'autres metiers ou professions. Et en plus ils nous mettent les bâtons dans les roues quand on veut faire quelque chose car tout les derange. ils sont morts avant d'avoir existé. ils se croient tout permis car ils ont du fric souvent mal acqui en exploitant les jeunes d'ici d'une maniére ou d'une autre.. Les duchentils nous ont apporté le chômage et la drogue et la précarité...c'est cela le tourisme et le resident secondaire.
Écrit par : Kibronx | 14/04/2016
Une façon d'écrire l'histoire de la presqu'île...avec bien entendu des raccourcis, faciles à supporter par ceux, qui n'ont pas fait beaucoup d'effort pour s'en sortir...Le côté Noir et Blanc, c'est la vraie face cachée de "Kibronx" !
Écrit par : jeanbart | 14/04/2016
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