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15/03/2016

La "régression économique" est en marche en presqu'île et autour !

Les "financiers de crise" pourraient reprendre enfin le pouvoir en temps de crise !

La trinité sur Mer, Ifremer et son personnel local.jpg

La situation dégradée de la France atteint tous les secteurs d'activité : Ifremer à la Trinité sur Mer ferme en 2018, la MAL à Auray risque de ne pas passer l'été 2016, la Gendarmerie de Carnac utilise des saisonniers pendant la période d'été, la Chapelle Saint Julien se contente d'un peu de peinture blanche...

Les communes, Quiberon et Saint Pierre, sont impactées directement par la crise ! Les élus, en piètres financiers, réagissent à contre-courant : les impôts locaux devraient augmenter pour compenser les pertes de subvention... que nenni ! on persiste à croire qu'il s'agit d'une promesse électorale...donc on appelle "plus d'emprunt" !

On dépense comme jamais : 120 000 euros pour les "Musicales de Quiberon", alors que l'intérêt économique n'est pas démontré, 30 000 euros rue du Grand Rohu, alors qu'il s'agit d'une artère "non utilisée", 75 000  euros pour "bitumer" une aire de parking de camions en bord de mer, 8 000 euros pour un site Internet, qui fonctionne sur 2 roues...

On s'occupe "ailleurs" : l'Interco, le salon des Maires, l'ARS, l'ENVSN et ses cocktails, les réunions avec PLR, le Préfet, le sous-Préfet, les bailleurs sociaux, la DDTM...

Une "leçon de crise", avec un peu de morale républicaine, ferait du bien à nos élus !


Ifremer, la station de La Trinité-sur-Mer devrait bien fermer avant 2018

Télégramme du 15 mars 2016

 La trinité sur Mer, Ifremer et son personnel local.jpg

Les salariés de la station Ifremer de La Trinité-sur-Mer ont reçu la confirmation de leur direction de la volonté de fermer la station dans les deux ans. La réorganisation souhaitée par l'Institut français de recherche pour l'exploitation de la mer (Ifremer) des stations côtières se confirme. Et la station de La Trinité-sur-Mer semble bien condamnée à disparaître d'ici à 2018. Même si rien n'est clairement acté avant le CCE qui se tiendra le 29 mars, les dix salariés de la station de La Trinité ne se font guère d'illusions. « La direction a clairement exprimé le souhait de fermer la station malgré les propositions et les arguments que nous avons pu développer pour maintenir cette station emblématique (ouverte en 1967) dans laquelle de nombreuses recherches ont été menées », ont expliqué, dépités, les salariés de La Trinité qui rencontraient, hier, leurs représentants du personnel pour préparer la rencontre du 29 mars.

La station de Dinard maintenue

Ifremer, qui envisageait la fermeture de trois autres stations, outre celle de La Trinité, semble avoir pris la décision de maintenir celles de Dinard (35) et d'Anglet (Pyrénées-Atlantiques), au contraire de La Trinité et de L'Houmeau (Charente-Maritime), qui emploie une trentaine de personnes pour cette dernière. « La direction a annoncé que ces deux stations allaient fermer mais que celle de Dinard serait maintenue en l'état et que les missions d'Anglet allaient évoluer », ont confirmé les représentants syndicaux de la CFDT. « Des changements devraient intervenir et nos missions devraient évoluer au niveau national : les prélèvements de coquillages devraient être externalisés... Mais ces changements et l'évolution de nos missions semblent d'ores et déjà décidés avant même que l'appel d'offres soit lancé ». La direction d'Ifremer a proposé aux salariés de La Trinité de rejoindre Lorient ou Nantes. Des choix qui ne contentent personne. « Les infrastructures lorientaises ne sont pas suffisantes pour accueillir ce qui est fait ici. Il y aura de toute façon de la perte et une diminution des moyens... On a l'impression d'un beau gâchis ».

© Le Télégramme

http://www.letelegramme.fr/bretagne/ifremer-la-station-de-la-trinite-sur-mer-devrait-bien-fermer-avant-2018-15-03-2016-10992553.php#MPwmOzxw342x0Iep.99

 

Mal à Auray, une assemblée générale mouvementée

Télégramme du 14 mars 2016

Véronique Le Bagousse

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La question d'un loyer pour l'occupation des locaux utilisés par la Maison d'animation et des loisirs a donné lieu à de vifs échanges entre le conseil d'administration de la Mal, les bénévoles et l'adjoint à la culture.

Comme il fallait s'y attendre, l'assemblée générale de la Maison d'animation et des loisirs d'Auray, qui se déroulait samedi soir, a été l'occasion d'échanges animés entre les membres du conseil d'administration, les bénévoles et l'adjoint à la culture.

« On n'avait jamais vu autant de monde à une assemblée générale ordinaire ». De mémoire de membre de la Mal la salle de réunion n'avait en effet jamais été aussi remplie. À tel point que, pour bien faire, il aurait fallu pousser les murs.

Un monde fou

À 18 h, avant même que ne commence la séance, il ne restait déjà plus une place de libre. Les bénévoles continuaient à apporter des chaises, et les gens ne cessaient d'arriver. Le couloir était bondé. Samedi soir, il y avait au moins 150 personnes à l'assemblée générale, et beaucoup s'étaient faites représenter. « C'est la preuve de l'intérêt que portent les adhérents à leur association et à sa pérennité », a commenté Guillaume Duclos, le directeur de la Mal. Une association que les adhérents comme le conseil d'administration souhaitent préserver dans sa forme actuelle et dont l'accessibilité pourrait être remise en cause si un accord n'est pas trouvé avec la municipalité. « Depuis quelque temps nous sommes en discussion avec la mairie pour le renouvellement de la convention. C'est un enjeu important pour nous car il restaure le paiement d'un loyer pour nos locaux. Ce qui implique, bien entendu, des frais supplémentaires. Le problème, c'est que cette augmentation ne doit pas altérer notre vocation sociale », a expliqué Nelly Pasco, la présidente de l'association.

Un compromis pour 2016

Si les représentants de la Mal savaient que ce loyer, reporté pendant trois ans, serait à nouveau d'actualité, ils n'avaient pas imaginé qu'il soit aussi élevé. « La municipalité a mis la barre très haut au départ.

Aujourd'hui, nous avons réussi a trouvé un compromis pour 2016, mais ce qui nous inquiète ce sont les deux prochaines années », soulignait Nelly Pasco, dans le rapport moral présenté aux adhérents. « Si ce loyer est trop lourd, c'est toute la philosophie de l'association et sa politique tarifaire qui seront remises en cause », a précisé la présidente. « Nous sommes prêts à faire des efforts, encore faut-il qu'ils soient acceptables ». La salle a immédiatement réagi et Gérard Guillou, le tout nouvel adjoint à la culture, a été rapidement interrogé. Le dialogue qui s'est engagé samedi soir a fait avancer les choses mais pour le moment rien n'est encore signé. Cela devrait se faire dans les jours qui viennent. Point positif, on sent, entre les parties, une volonté de trouver rapidement un accord. « Mon souhait le plus cher est que nous arrivions à un accord. La Mal est une association très importante à Auray. Nous souhaitons la soutenir. Avec la mutualisation des locaux, notamment par l'intermédiaire des Tap (*), et afin d'éviter d'avoir des salles vides non rentables, on est en bonne voie. Nous avons proposé 1 € du m² par mois. Cela paraît raisonnable », a affirmé Gérard Guillou.

44 printemps

Ce sujet mis à part, la Mal, qui affiche 44 printemps cette année, se porte très bien. Avec un budget de fonctionnement de 430.000 € et un excédent de 9.000 € qui devrait permettre de faire face aux dépenses, l'association affiche une bonne santé financière. Bonne santé due à un nombre d'adhérents stable (2.063 en 2015), et au développement des stages qui contribuent à la dynamique de l'association. À l'issue de l'assemblée générale, le tiers sortant (sept membres), a été renouvelé. Le nouveau bureau sera élu le 23 mars prochain. (*) Temps d'activités périscolaires.

© Le Télégramme

http://www.letelegramme.fr/morbihan/auray/mal-une-assemblee-generale-mouvementee-14-03-2016-10991865.php#zsxLwekuLPlOB9Hb.99

 

Gendarmerie de Carnac, bilan et directives donnés lors de l'inspection

Télégramme du 9 mars 2016

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Le lieutenant-colonel Pierre-Antoine Cassar, commandant la compagnie de Lorient a rencontré les militaires de la communauté de brigade de Carnac mardi matin pour l'inspection annoncée. L'inspection annoncée est un rendez-vous annuel, qui permet de faire un bilan mais aussi de renforcer la cohésion des équipes au sein d'une brigade. Le lieutenant-colonel Pierre-Antoine Cassar, commandant la compagnie de Lorient a rencontré les militaires de la communauté de brigade de Carnac mardi matin après une inspection des locaux. En hiver, les brigades de Carnac et Quiberon totalisent 28 gendarmes.

En période estivale avec les renforts, les effectifs montent à plus de 70. Avec 30 à 40 % de l'activité qui se concentre sur ces mois, les militaires doivent répondre à cette spécificité de territoire et aux fortes disparités des missions. À l'espace culturel, lors de la cérémonie clôturant cette inspection générale,

Le lieutenant-colonel Pierre-Antoine Cassar a témoigné de sa satisfaction devant le travail accompli : « On peut constater une légère inflexion des faits de délinquance. Les objectifs et les directives pour l'année ont été donnés. Nous avons également abordé les préparatifs pour la saison du détachement sur Houat et Hoëdic et du poste à cheval ». Le lieutenant Stéphie Hersand, a insisté sur la belle coordination effective entre les différents intervenants de sécurité du secteur. Elle a salué le rôle primordial de la police municipale et du centre de secours et incendie.

© Le Télégramme

http://www.letelegramme.fr/morbihan/plouharnel/gendarmerie-bilan-et-directives-donnes-lors-de-l-inspection-09-03-2016-10985899.php#IVqWIlsjLbVEZSpS.99

 

Patrimoine de Quiberon, travaux à la chapelle de Saint-Julien

Télégramme du 12 mars 2016

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La petite chapelle de Saint-Julien, du XVe siècle, et qui fait la fierté des habitants du village qui porte son nom, a commencé, depuis jeudi, à faire une cure de jouvence. À la demande de la municipalité, l'entreprise Blg peinture a été chargée du ravalement. Elle s'affaire à redonner une seconde jeunesse à l'édifice. Murs et portes extérieurs ont été entièrement repeints. © Le Télégramme

http://www.letelegramme.fr/morbihan/quiberon/patrimoine-travaux-a-la-chapelle-de-saint-julien-12-03-2016-10990107.php#tttRyduE6UIKIX8y.99

 

 

 

 

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