21/02/2016
La "révolution verte" à Saint Pierre Quiberon ?
Le "contresens" de bobos urbains sur l'histoire de la presqu'île !
Geneviève et "Bécassine" en avait fait leur cheval de bataille ! 3 mois après le décès du dernier agriculteur de Saint Pierre, il y a 4 ans, l'avenir de SPQ était "dans le fumier" et la "patate" d'Oléron !
Le Padd, présenté par Paysages de l'Ouest (Professeur Tournesol ?), reprend, sous la houlette de LLD (qui mange "bio" et ça se voit !) l'idée de la réintroduction de 3 "petits hommes verts" avec chacun 36 hectares de bonne terre sur la Presqu'île...
Bien avant la crise actuelle, les principaux agriculteurs à Saint Julien abandonnent la "vache" au profit de la toile de tente, qui génère plus de profits avec nettement moins de travail ! Aujourd'hui le "laitier" de Belle-Ile emprunte la départementale pour porter le lait des vaches de Belle-île jusqu'au transformateur...
L'agriculture en Presqu'île ne fut rentable qu'avant les années 50 ! La Pêche, et ses activités dérivées avait attiré bien avant un grand nombre de travailleurs de Saint Pierre... ainsi que le commandement de bateaux marchands, qui faisaient "le Cap Horn"...
Aujourd'hui la nouvelle équipe ne sait plus "se projeter", puisque ses projets électoraux sont "un fiasco" total...
Des Paysans, vous-dis-je...
Agriculture en Bretagne, 300.000 emplois détruits en 40 ans
Télégramme du 19 février 2016
150.000 exploitations employant 370.000 personnes en 1970. 35.000 exploitations employant 70.000 personnes en 2010. Ces chiffres traduisent la profonde mutation du secteur agricole breton ces 40 dernières années qui cherche aujourd'hui un second souffle.
Depuis 1970, l'agriculture a profondément changé. Les exploitations familiales sont devenues des entreprises agricoles entraînant une professionnalisation galopante du métier de paysan. Un chiffre suffit à le démontrer : il y a quarante ans, un agriculteur travaillait en moyenne 12,6 hectares de terre. Aujourd'hui, il en gère 36. Trois fois plus ! Toutes les statistiques proposées par l'Agreste illustrent cette profonde mutation. Autre exemple : la taille moyenne d'une exploitation est passée de 18 hectares à 55 hectares en 40 ans. Toujours trois fois plus.
Trois fois plus à effectif constant
Comment les exploitants d'aujourd'hui réussissent-ils à tenir la cadence ? En embauchant ? Non. Si les exploitations ont triplé de volume en 40 ans, le nombre de personnes y travaillant est resté stable. L'Insee a créé un indice, l'UTA (unité-travail-année), qui permet de présenter à l'issue du recensement des statistiques prenant en compte les chefs d'exploitation, les conjoints et les salariés et ainsi de se faire une idée assez précise de la main-d'oeuvre employée dans le secteur. Ce fameux indice était égal à 1,5 en 1970, soit l'équivalent d'1,5 temps complet annuel par exploitation au niveau national. Il était identique en 2010...
Plus d'infos
L'évolution du nombre, de la taille et des effectifs des exploitations commune par commune
Chiffre doublé... en théorie
Faire plus à effectif constant. Les agriculteurs qui ont survécu à cette révolution ont réussi ce pari car la production brute standard moyenne (PBS), indice mesurant le poids économique des exploitations, a bondi en 40 ans. Les chiffres de l'Insee ne remontent pas aussi loin. Les modalités de calcul ayant évolué, on ne peut effectuer de comparaisons "que" jusqu'à 1988. Et donc ? La PBS est passée de 55.000 € par unité en 1970 à 105.000 € en 2010. Les Bretons ont été moteurs dans cette course au gain de productivité. Une exploitation de la région produisait 70.000 € de richesses en moyenne à la fin des années 80. Elle affichait un score de 180.000 € annuel en 2010. Le Finistère faisant la course en tête avec une production standard moyenne de 220.000 €, il y a encore 6 ans.
Viable, mais pas à tout prix
Alors, où est le problème ? Les survivants à cette mutation semblent plus forts que jamais. Certes, pour atteindre leurs objectifs ils ont dû se moderniser en procédant à de lourds investissements. Mais les charges d'exploitation, elles, n'ont progressé que modérément. "La valeur totale (charges salariales, intérêts, impôts liés à la production, fermages) est restée stable entre 1973 et 1984 pour diminuer ensuite jusqu'en 1998 et de nouveau se stabiliser depuis", explique l'Agreste.
En théorie, les exploitations actuelles sont donc viables. En théorie seulement. Car l'indice de production brute standard vu ci-dessus n'est que théorique, justement, et pour transformer ces euros escomptés en véritable monnaie, les agriculteurs doivent encore vendre leur production. Et la vendre au bon prix. C'est le nœud de la crise qui se joue actuellement et leur principale revendication.
© Le Télégrammehttp://www.letelegramme.fr/dataspot/agriculture-en-bretagne-300-000-emplois-disparus-en-40-ans-18-02-2016-10962843.php#C1oDBZjHzaxU2rQB.99
Débat sur les orientations du PADD de SPQ
Vivre à Portivy du 20 février 2016
Dans le cadre de l’élaboration du Plan local d’urbanisme (Plu), un débat a eu lieu sur les orientations du Projet d’aménagement et de développement durables avec M. Jacob, urbaniste du cabinet Paysages de l’Ouest. « Le projet porte sur l’organisation de la construction de logements en cohérence avec l’existant », a expliqué Jean-Yves Loget. La municipalité a voulu un renforcement de la prise en compte des qualités patrimoniales avec la mise en oeuvre de projets d’aménagement porteurs de développement ». La construction moyenne de 33 logements par an sur dix ans (avec 50 % en densification et 50 % en opération d’aménagement) a suscité des inquiétudes. L’équipe minoritaire s’est préoccupée du devenir du terrain militaire. Un aménagement comme point de départ pour des découvertes de la côte sauvage est prévu avec des commerces à vocation touristique et un espace d’exposition. L’extension de la zone d’activité de Kergroix a été saluée. Jean-Yves Loget a précisé que si l’idée de proposer une zone de repli au Rohu aux campeurs sur parcelles privatives est maintenue : « La municipalité souhaite qu’il puisse y avoir une tolérance pour que les occupants actuels puissent rester sur leur terrain ».
Commentaires
si tu continu a traiter de paysans aux sens péjoratif une catégorie d’élus de St Pierre ,je crains que certains de ces "paysans" viennent déverser devant ta porte quelques tonnes de marchandises avariées pour te rappeler que ce sont eux qui te nourrissent et manifestement en te voyant tu es biens nourris ...
Un peut de respect...
En parlant d'un autre sujet puisque tu ne veut plus de campeurs au Rohu ,je te propose d’accueillir les 100 campings cars prévus en dépit du bon sens a Kerhostin
MERCI JPD je te copie "tu les a voulus fait avec "
ne t’étrangle pas ....
Écrit par : papy | 21/02/2016
Ce n'est absolument pas le sens de ce blog ! Décidément un choix économique fondamental doit être éclairé objectivement... si l'agriculture en Bretagne a des soucis, comment peut-on penser que sur la presqu'île tout ira mieux ! fumeux le commentaire totalement à côté de la plaque...
Écrit par : jeanbart | 21/02/2016
Ne pas vouloir comprendre n'est pas etonnant de ta part,tu ne comprend deja pas ce que tu ecrit ....!!!
En attendant monsieur ya ka faut quon ou en est tu de la realisation de tout tes projets ...!!!!
Oui oui on sait....
Écrit par : papy | 21/02/2016
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