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18/01/2016

PPRL de Carnac, une grande partie de Carnac Plage, inconstructible !

Une communication "de qualité" sur le site de Carnac !

Carte PPRL : cliquer ici

Le Préfet du Morbihan clôt ainsi un combat "indécent" entre Mairie et Etat, sur la situation réelle de Carnac Plage en cas de submersion marine. La défense des intérêts locaux doit plier devant des réalités au souvenir épouvantable de la tempête Xynthia...

La faiblesse des défenses "Ouest" est soulignée par cette carte détaillée de Carnac Plage. C'est donc sur la consolidation de protection de cette zone que pourraient porter les efforts de la municipalité.

Carnac, zone fragile, est le premier témoin de la nouvelle politique sécuritaire de l'Etat en Morbihan...


PPRLà Carnac, parcours d'obstacles depuis 2011

Télégramme du 18 janvier 2016

 Anne Eusèbe, Armelle Moreau, Jean-Luc Servais et Olivier Lepick, Carnac.jpg

Anne Eusèbe, directrice des services techniques, Armelle Moreau, adjointe au tourisme, Jean-Luc Servais, adjoint à l'urbanisme, et Olivier Lepick, maire (de gauche à droite). Prescrit en 2011 et après avoir fait l'objet d'innombrables discussions et débats, souvent enflammés, c'est en date du 4 janvier dernier que, par arrêté préfectoral, les services de l'État ont approuvé le Plan de prévention des risques littoraux (PPRL). Cet outil réglementaire devient dès lors exécutoire et opposable aux tiers. En s'imposant au Plan d'occupation des sols (Pos) et au Plan local d'urbanisme (Plu), il crée des contraintes urbanistiques complexes sur le territoire. Olivier Lepick, le maire, et les élus impliqués ont donné leurs sentiments au cours d'un point presse qui s'est tenu en mairie vendredi 15 janvier. « Ce document en surévaluant le risque hypothèque l'avenir de Carnac, rend de plus en plus complexe l'instruction des documents d'urbanisme et limite les possibilités d'évolution du bâti concerné », annonce le maire.

Trois zones impactées Bleues, oranges ou rouges, elles sont impactées par des contraintes urbanistiques de plus en plus sévères.

« L'étendue des zones rouges, devenues inconstructibles, résulte de l'existence possible, selon l'État, d'une brèche Ouest à proximité de la Grande Plage », explique Olivier Lepick. La Ville le conteste en s'appuyant sur l'expertise du Cabinet Artélia « cette brèche n'existe pas. L'État n'intègre pas, dans sa modélisation, certaines données spécifiques locales ».

Asphyxie de Carnac Plage « Cette étendue rouge qui englobe une bonne partie du secteur économique n'est pas sans conséquences sur l'avenir de la commune. Cette partie de la ville c'est : 800 emplois et 75 millions de chiffre d'affaires », prévient le maire.

Que faire maintenant « En premier lieu, je ferai tout pour protéger les biens et les personnes et nous allons finaliser le Plan communal de sauvegarde (PCS) d'ici le mois de juillet 2016 », martèle Olivier Lepick. Par ailleurs, la commune va demander au Cabinet Artélia de réaliser une étude qui permettra de proposer et chiffrer les travaux de confortement qui permettraient de remettre en cause les prescriptions du PPRL. La conclusion d'Olivier Lepick étant : « On ne se laissera pas faire et on se battra ! ».

© Le Télégrammehttp://www.letelegramme.fr/morbihan/carnac/pprl-parcours-d-obstacles-depuis-2011-18-01-2016-10923892.php?xtor=EPR-3-%5bquotidienne%5d-20160118-%5barticle%5d&utm_source=newsletter-quotidienne&utm_medium=e-mail&utm_campaign=newsletter-quotidienne#8UEmP7slrdcdOPcs.99

 

Commentaires

Je savais bien qu'il y avait du danger sur la côte; L'Etat le souligne pour Carnac. Ici à penthièvre, on risque d'être submergé à chaque grande tempête lors des grandes marées.
La municipalité nous a laissé construire des maisons en bordure de mer en nous assurant qu'il n'y avait aucun danger. or il s'avère que ce n'est pas le cas. Nos maisons sont maintenant invendables et sans valeur. on a été grugé par des élus incapables qui ont raconté n'importe quoi de kervadec à duvehat.

Écrit par : Dadu | 18/01/2016

Dadu, demandez au président du syndicat mixte du pays d'Auray ce qu'il en pense. Il doit connaitre tout cela puisqu'il a dans ses attributions la GIZC:
c'est à dire la Gestion Intégrée de la Zone Côtière. Nos chers élus devraient connaitre ce machin- international car décidé à la conférence de RIO en 1992 et qui se rapproche de Cap 21 du futur- avant de laisser faire n'importe quoi et n'importe où.

Écrit par : jclg | 18/01/2016

Jclg vous voulez sans doute parler de Agenda 21 qui n'est certainement pas connu de ceux qui ont décidé du projet fou de porhaliguen. Ces politiques locaux sont à contrôler car ils détournent les lois, s'emparent des redevances des usagers et oublient d'entretenir tous les ports qu'ils ont sous leur coupe. A Quiberon, le quartier de porhaliguen est complètement à l'abandon et hilliet continue à manger dans leurs mains. Cherchez pourquoi cet homme vous a complètement enfumés. Il y aura certainement des expropriations multiples qui ne se justifient pas pour 100 places et 18 millions d'euros qui doubleront sans doute. Prenez l'exemple du tunnel de Kérino à Vannes qui passera de 26 à 92 millions. A Quiberon, ils se contenteront de planquer 1/3 des vases et les 2/3 resteront dans le port et ils continueront à s'engraisser sur votre dos.
Il est impossible de faire confiance à ces gens de Hilliet à Goulard. La chambre régionale des comptes a plusieurs fois dénoncé la sagemor et le syndicat mixte des ports pour que la suspicion s'empare des élus quiberonnais.
Pourquoi un tel silence et pourquoi la justice ferme-t-elle les yeux ?

Écrit par : main basse | 19/01/2016

Chère Madame Dadu,
Avec tout le respect du à votre âge, vous radotez. Ce prêchi-prêcha, vous nous le resservez à chaque fois que ce sujet est ressassé par l'auteur de ce blog. S'agissant d'une maison dont vous êtes propriétaire depuis des années, j'ai un peu de mal à comprendre comment la responsabilité de notre maire actuel est engagée. Maire dont je ne suis pas un zélote comme les lecteurs de ce blog ont pu s'en rendre compte.

Cher Monsieur JCLG
Cher Monsieur "Main Basse",
Une fois de plus je vous réponds la même chose. Puisque vous semblez être au fait d'agissements répréhensibles que le vulgum pecus ignore et que vous écrivez avec l'assurance de ceux qui "ont des preuves" pourquoi ne portez-vous pas ces sombres affaires devant les Tribunaux? Nous ne sommes plus sous l'ère URBA et ce depuis des décennies!!!

Écrit par : Le masque et la plume | 19/01/2016

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