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16/01/2016

Las Vegas, la fin des PC...

La miniaturisation de l'électronique rend les équipements autonomes !

La "tour", ordinateur individuel, au pied du bureau est enterrée par de nombreux accessoires, qui tiennent dans la poche...

Le link à la ceinture.jpg

Le "Link", disque de stockage de grande capacité, accessible en Bluetooth et WiFi, se porte à la ceinture ! Il fédère ainsi le téléphone, la tablette et le PC portable pour les besoins de stockage !

Le "Klaxoon" est une nouvelle façon de partager des contenus en réunion, quand la salle n'est pas équipée en WiFi !

La clé USB est facilement remplacée par un disque "silicium" SSD de Samsung, dont la capacité (onéreuse) monte jusqu'à un "Tera" d'octets !

Enfin le "Stick" d'Intel remplace un ordinateur complet (sauf Ecran, Clavier et souris) par un dispositif de poche, équipé de la dernière génération de processeurs Skylake" du constructeur !

La connectivité WiFi, qui équipe maintenant de très nombreux dispositifs électroniques, est l'élément fondamental de l'interactivité de matériels de poche. Rappelons que les plages de fréquence se sont étendues, avec la normalisation "N" du WiFi, ce qui implique obligatoirement l'achat de matériels de dernière génération !

Indispensable également est le "Domino" ou autre équivalent, qui transforme un flux "4G" en WiFi local, donnant ainsi l'Internet "everywhere" !

L'ubiquité est une véritable révolution !


Avec Klaxoon, fini les réunions rébarbatives

Le Figaro du 8 janvier 2016

Klaxoon.jpg 

CES 2016 - La start-up française veut réveiller les formations, réunions et les présentations grâce à de nouveaux outils collaboratifs.

Klaxoon apporte une petite révolution dans le petit monde des formations et des réunions en tout genre. Au lieu d'infliger d'arides présentations à l'assistance, la start-up rennaise fait le pari de l'interactivité.

Klaxoon a mis au point des logiciels et un boîtier qui génère un réseau Wi-Fi sur lequel se connectent les participants depuis un smartphone ou une tablette. En quelques clics, l'animateur de la formation ou d'une réunion peut générer des documents qui encouragent l'audience à participer. Par exemple, l'auditeur peut demander à la salle de définir leur entreprise, et à partir des réponses qui sont données, générer un nuage de mots, en mettant en avant les mots le plus souvent cités. Klaxoon a aussi imaginé un questionnaire à choix multiples sous forme d'une chasse au trésor. Au total, plus d'une vingtaine de documents interactifs sont proposés, y compris des votes instantanés, des sondages. «Nous redonnons la parole à l'audience, y compris aux personnes les plus timides qui n'osent pas toujours s'exprimer en public», souligne Mathieu Beucher, le PDG de Klaxoon. Nul besoin de connaissance technique particulière pour créer les documents et le côté ludique permet de capter plus facilement l'attention.

Klaxoon a grandi au sein du groupe Regards, une jeune entreprise créée en 2009 et spécialisée dans la formation. La société réalise un chiffre d'affaires de 50 millions par an. Elle a investi pendant trois ans dans un programme de recherche et développement, qui a donné naissance à Klaxoon. «Plutôt que de voir des gens assister de manière passive à des réunions rébarbatives, nous voulions leur donner envie de jouer avec des choses toutes simples», souligne Mathieu Beucher.

Une fabrication française

Après six mois d'existence, Klaxoon dispose d'un portefeuille de clients déjà impressionnant, avec plus de 18.000 utilisateurs répartis dans 114 pays. Il compte des clients prestigieux, issus de domaines divers, comme L'Oréal, Disney, McDonald's, Allianz ou Accenture. La start-up perçoit 49 euros par mois et par utilisateur de ses services en ligne, avec un système d'abonnement modulable et résiliable à tout moment. À cela s'ajoutent 99 euros pour la location de la KlaxoonBox. «Certaines entreprises, notamment dans le domaine de la défense sont très attachées à la possibilité de créer un réseau Wi-Fi indépendant», mentionne Mathieu Beucher. La rapidité de la croissance et la simplicité de son modèle économique poussent à l'optimisme.

La start-up a aussi pris le soin de faire fabriquer sa KlaxoonBox en France. L'acier vient du Creusot, le plastique de Savoie… et le tout est assemblé à Rennes. La société vient d'obtenir une nouvelle reconnaissance international, avec un prix au CES 2016.

 

CES 2016, ce petit cube Wi-Fi stocke jusqu’à 2 To de données

01Net du 10 janvier 2016

François BEDIN

 Le Link en détail.jpg

Résistant aux chutes et à l’eau, le Link tient dans la main et communique en Wi-Fi ou en Bluetooth avec les smartphones, les tablettes et les ordinateurs portables.

Lorsqu’on parle de stockage réseau, on pense souvent aux NAS et à leur complexité. Ce n’est pas le cas de ce petit cube (48 x 23 x 48 mm) de 113 g, signé par la société Fasetto, qui joue la carte de la mobilité. Le Link stocke de 256 Go à 2 To de données sur un SSD interne et les transmet à n’importe quel appareil mobile (smartphone, tablette ou ordinateur portable) par une liaison Bluetooth (4.0) ou Wi-Fi (802.11ac, compatible b/g/n). De plus, il est autonome est n’a pas besoin d’être connecté à un réseau domestique.

 

L’accès aux données s’effectue avec une application gratuite à télécharger mais peut aussi se faire avec un simple navigateur Internet. De plus, le Link permet de sauvegarder automatiquement les données de son appareil mobile, par exemple les photos de son smartphone. Le constructeur annonce une vitesse de transfert jusqu’à 1900 Mbit/s, un score très prometteur.

Le Link est un appareil tout terrain

Le boîtier résiste aux chocs et aux chutes, mais aussi à l’eau (étanche jusqu’à 13 m de profondeur et certification IP69). Il embarque un processeur quadricoeur, 4 Go de mémoire vive et une version modifiée de Linux comme système d’exploitation. Sa batterie de 1350 mAh offre une autonome de 8 heures en fonctionnement et de 2 semaines en veille. De plus, l’appareil se recharge sans fil avec un chargeur Qi à induction.

Ce n’est pas la première fois que la société Fasetto fait la démonstration de ce type de produit, mais la première mouture, qui s’attache au poignet avec un design discutable, n’avait guère convaincu l’année dernière.

Le Link devrait être disponible fin 2016 et coûter entre 275 dollars pour la version 256 Go et 1400 dollars pour le modèle 2 To.

 

Samsung T1 250 Go, un SSD portable au creux de la main

130€ chez Amazon

Les Numériques

 Samsung T1, branché sur un portable.jpg

À mi-chemin entre une clé USB haut de gamme et un disque dur externe, le Samsung T1 est censé combiner les avantages des deux mondes. Ce SSD externe de 250 Go promet ainsi un débit très élevé, un encombrement minimal et une fiabilité accrue.

CARACTÉRISTIQUES

  • Capacité250 Go
  • FormatNA
  • InterfaceUSB 3.0
  • Vitesse de rotationNA
  • Taille du cache512 Mo
  • Débit en écriture450 Mo/s Résultats obtenus sur CrystalDiskMark. Il s'agit de la moyenne réduite de 5 tests consécutifs. Sur la page de présentation du produit, on peut voir que le constructeur coréen avance un débit de 450 Mo/s en lecture tandis que celui en écriture n'est pas communiqué. Sous benchmark, nous trouvons bel et bien un débit séquentiel de 423 Mo/s en lecture et même un très bon débit en écriture (399 Mo/s). En usage courant, c'est-à-dire lors de la réalisation de copies manuelles, le débit en lecture reste confortable (381 Mo/s) sur des gros fichiers et se stabilise à 352 Mo/s sur des fichiers de taille moyenne. En écriture, on tombe à 262 Mo/s quel que soit le type de fichiers manipulés. Temps nécessaire pour vider une carte pleine. Résultats en heures:minutes:secondes. Dans tous les cas, nous nous situons bien au-delà de ce que peut produire n'importe quel disque dur externe — les meilleurs frisent 130 Mo/s —, généralement limités par l'intégration d'un disque mécanique. Les clés USB sont également laissées loin derrière, y compris les meilleures comme la Lexar JumpDrive P10 dont les débits sont moitié moindres. Finalement, seule la Corsair Voyager GTX parvient à tenir tête au Samsung T1, mais uniquement en lecture, où les deux produits font jeu égal. Ce SSD externe est livré avec un câble USB 3.0 rigide de 11 cm environ. La boîte renferme également un guide de mise en route rapide. Un utilitaire préinstallé sur l'unité de stockage est également présent et permet d'activer — ou de désactiver le cas échéant — le chiffrage des données. Le Samsung T1 bénéficie d'une garantie constructeur de 3 ans.
  • Existe en capacité 1To :chez Samsung Shop 499€
  • C'est dans la boîte
  • Résultats obtenus lors de la copie d'un fichier de 28 Go depuis un RAMDisk. Il s'agit de la moyenne réduite de 5 tests consécutifs. Il y a donc une différence importante de résultat en écriture entre le test synthétique et le test pratique. L'explication est à chercher du côté de TurboWrite, le système d'accélération des tâches d'écriture de Samsung. Il s'agit d'utiliser une partie de l'espace de stockage (3 Go dans le cas présent) comme s'il s'agissait de mémoire SLC. Lors de l'écriture de données, c'est cet espace plus rapide qui est en premier lieu utilisé. Une fois le SSD portable au repos, celui-ci réorganise les données de manière à libérer 3 Go d'espace turbo. Sur ce modèle, nous avons ainsi relevé plus de 300 Mo/s sur les 3 premiers gigaoctets de notre fichier de test (un peu moins de 30 Go), seuil après lequel le débit passe à un peu moins de 260 Mo/s. Le système de Samsung est donc efficace, tant que la file de copie n'excède pas 3 Go et qu'il reste au moins une dizaine de gigaoctets d'espace libre.
  • PERFORMANCES
  • Ce T1 est assez compact : seulement 7 cm de long, 5 cm de large et 0,9 cm de haut. Il tient ainsi aisément dans le creux d'une main. Le boîtier est fait d'un plastique fin et l'ensemble est assez léger (25 grammes seulement) ; de quoi en faire un bon compagnon de voyage, ou presque. Presque... car si un petit câble USB (11 cm) est livré, celui-ci n'a nul endroit où se loger, se clipser ou se fixer pendant le transport. Dommage pour un produit axé haut de gamme où nous aurions aimé a minima trouver un connecteur extractible quitte à allonger légèrement la taille du produit.

 

Intel met du Core M dans ses Compute Stick

Tom'Hardware du 9 janvier 2016

Matthieu Lamelot

 Intel Compute stick.jpg

Face au Chromecast de Google, Intel a inventé il y a un an le Compute Stick, un micro PC tenant dans une (grosse) clé HDMI. Après un premier modèle animé par un Atom Bay Trail pas franchement flamboyant, Intel a présenté au CES trois nouveaux Compute Stick, dont deux basés sur des Core M Skylake. Les performances devraient être décuplées. Malheureusement, le prix aussi.

La gamme Compute Stick 2016 comprendra ainsi trois modèles, l'un en Atom x5-Z8300, le second en Core M3 6Y30 et le dernier en Core M5 6Y57. Tous font donc usage de transistors 14 nm. Tous font usage de mémoire eMMC, assez lente. Tous partagent un même chipset WiFi ac/Bluetooth 4 Intel AC 7265. Tous arborent un design légèrement plus soigné que l'original.

 

D'un point de vue technique, il n'y a donc aucun problème à déplorer, Intel ayant mis le maximum dans un format ultracompact. D'un point de vue commercial, en revanche, le fondeur nous semble avoir fait des choix difficiles.

Le Compute Stick basé sur l'Atom x5 sera vendu au même prix que l'actuel, à savoir 150 $, licence de Windows 10 incluse. Mais les deux autres coûteront respectivement 399 $ et 499 $, soit le prix de PC portables complets, mieux équipés ! Alors, c'est vrai, la miniaturisation a un coût, mais l'on s'interroge : quel public pourra bien être intéressé par des PC si petits et si couteux ?

Intel Compute Stick 2016

Version/CPU

Intel Atom x5-8300

Intel Core M3-6Y30

Intel Core M5-6Y57 vPro

GPU

Intel HD Graphics

Intel HD 515

Intel HD 515

Stockage

32 Go eMMC

64 Go eMMC

64 Go eMMC

RAM

2 Go DDR3

4 Go DDR3

4 Go DDR3

Réseau

Intel Dual-Band Wireless AC 7265 & Bluetooth 4.1

Intel Dual-Band Wireless AC 7265 & Bluetooth 4.1

Intel Dual-Band Wireless AC 7265 & Bluetooth 4.1

Connectique

1 x HDMI 2 x USB

1 x HDMI 3 x USB

1 x HDMI 3 x USB

Prix

$159

$399

$499

Intel Compute Stick BOXSTCK1A32WFCR Barebone Noir

157.68 €

En savoir plus sur http://www.tomshardware.fr/articles/intel-core-m-compute-sticks,1-58243.html#teTG5rwXmKcdDZtu.99

 

 

 

Commentaires

Dans l’histoire de GoPro, il y avait jusqu’à présent la chute libre de Felix Baumgartner, cet Autrichien qui avait immortalisé, fin 2012, son saut en très haute altitude avec les mini-caméras de la société californienne. Il y aura désormais la chute libre boursière, à New York commencée début août 2015. Un plongeon qui a de quoi donner le vertige à ses actionnaires. Et qui ne semble pas près de s’arrêter.

Sur les deux dernières séances, l’action GoPro a vu son cours s’effondrer de 22 % après la publication de résultats financiers catastrophiques. Vendredi 15 janvier, elle a ainsi atteint son plus bas niveau historique, à 11,46 dollars. Loin, très loin, des 93 dollars d’octobre 2014. Début août, l’action valait encore 60 dollars. En un peu plus de cinq mois, elle a donc chuté de plus de 80 %.

Le fabricant de mini-caméras n’est pas le seul à avoir connu une semaine boursière cauchemardesque. L’ensemble des valeurs technologiques ont fortement reculé sur les marchés américains. Sur la semaine, le Nasdaq accuse ainsi un repli de 3,34 %. Lundi 11 janvier, il avait enchaîné une huitième séance consécutive dans le rouge, ce qui n’était plus arrivé depuis 2008, en pleine crise financière.

Depuis le début de l’année, le Nasdaq a chuté de 10,36 %. Personne n’est épargné par ce mouvement baissier. Tous les poids lourds de l’indice à dominante technologique affichent de forts replis : – 7,72 % pour Apple, – 8,09 % pour Microsoft, – 8,68 % pour Google, – 9,26 % pour Facebook et – 15,64 % pour Amazon. Et encore, ces « grandes » valeurs limitent la casse. C’est la débandade pour la grande majorité des sociétés de la Silicon Valley.
Correction

Ces temps difficiles accentuent le climat de défiance qui règne à Wall Street depuis des mois. Les investisseurs fuient comme la peste les actions de ces supposées pépites qu’ils jugent désormais survalorisées. « Ils sont beaucoup plus méfiants avec ces sociétés, particulièrement avec celles qui ne sont toujours pas rentables », explique Kathleen Smith, de la société Renaissance Capital. Les marchés ont tout simplement perdu patience, alors que les belles promesses tardent à se concrétiser.

Lire aussi : Montagnes russes dans la Valley

L’automne avait déjà été catastrophique pour de nombreuses actions high-tech. L’hiver l’est encore plus. Exemple avec Twitter : en deux semaines, son cours boursier s’est affaissé de 22,47 %. Et il y a encore pire : – 26,01 % pour le site de recommandations Yelp, – 27,08 % pour le spécialiste du cloud computing Box, – 30 % pour la plate-forme de prêts aux particuliers Lending Club, – 39,27 % pour le fabricant de bracelets connectés Fitbit. La plupart de ces entreprises évoluent à leur plus bas niveau boursier historique, souvent bien en dessous de leur prix d’introduction.

Un autre secteur est également à la peine : les biotechnologies. L’indice sectoriel regroupant les sociétés cotées sur le Nasdaq affiche un repli de 11,87 % sur les deux premières semaines de l’année. Et il a chuté de près de 30 % depuis fin juillet. Cette correction était redoutée par les analystes, alors que le secteur avait connu plusieurs années de progrès boursiers exponentiels. Les résultats publiés lundi 11 janvier par Celgene, qui produit notamment des anticancéreux, ont alimenté les craintes de bulle. La société a notamment abaissé ses prévisions de chiffres d’affaires et de bénéfices pour 2016.
Des projets boursiers contrariés

Cet automne, les biotechs avaient également subi les contrecoups d’un tweet d’Hillary Clinton. La candidate démocrate à la présidentielle américaine s’était émue de l’augmentation des prix des traitements en médecine de spécialité. Depuis, les investisseurs craignent un renforcement de la réglementation sur les ventes de médicaments en cas de victoire de l’ancienne secrétaire d’Etat. « Les biotechs restent encore bon marché, estiment cependant les analystes de RBC Capital dans une note publiée mardi. Et elles présentent de fortes opportunités de croissance. »

A court terme, cette mauvaise passe pourrait contrarier les projets d’introduction en Bourse de plusieurs acteurs des biotechnologies. Lundi 4 janvier, six entreprises ont lancé la procédure auprès des autorités boursières, prévoyant donc de sauter le pas au cours des prochains mois. Côté high-tech, un seul candidat s’est pour le moment déclaré, le spécialiste du stockage de données Nutanix. Après une année 2015 particulièrement médiocre – la plus mauvaise depuis 2009 –, les observateurs s’attendent pourtant à un rebond du nombre d’opérations.

La saison des résultats trimestriels des entreprises technologiques, qui débutera vendredi 19 février, s’annonce périlleuse. Des performances tout juste moyennes pourraient accentuer le climat de défiance. Et compliquer encore un peu plus la tâche de tous ceux qui prétendent à la cotation boursière.

Jérôme Marin (San Francisco, correspondance)
Journaliste au Monde


En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/economie/article/2016/01/16/les-pepites-de-la-silicon-valley-ne-brillent-plus_4848479_3234.html#bBhrY6WffhXiXdci.99

Écrit par : JPD | 16/01/2016

Comme souvent, les rapports entre commentaires et sujets sont éloignés...
La "miniaturisation" n'est pas un phénomène de mode, mais une évolution industrielle "lente", mais assumée...qui entraine un "redimensionnement" des produits, et donc un nouveau monde d'usages...

Écrit par : jeanbart | 16/01/2016

Un nouveau monde d'usages!!!
Quel avantage que de se balader avec à sa ceinture tous ses documents dont 99% ne sont jamais utilisés! Quel plaisir que de savoir qu'on peut y accéder par des tas de systèmes là ou un, à la rigueur 2, serait suffisant.
Tout l'art des ces "commerciaux" a été de convaincre une flopée de gogos qu'il s'agissait d'un progrès et que ne pas faire partie de la bande faisait de vous un pauvre type!
Alors, si tu veux, fais la queue à la porte des marchands pour acquérir à grand frais la nouvelle version de n'importe quoi qui offre par rapport à la précédente des avantages dont tu ne te serviras jamais! Si ça te rend heureux, tant mieux, mais il semble que les milieux boursiers, sans doute incompétents, soient plutôt inquiets.

Écrit par : JPD | 16/01/2016

Dans le cadre du "Tout nouveau, tout beau" pour les gogos....tu es toujours supporter du gaz de schiste?



Pour les habitants de l’Oklahoma, c’est presque devenu une routine. La terre tremble régulièrement. Le 6 janvier, deux séismes d’une magnitude de 4,7 et 4,8 ont secoué la région septentrionale de cet Etat du centre des Etats-Unis. Les dégâts ont été mineurs mais ont néanmoins alerté les autorités locales. L’une des secousses, au début d’octobre 2015, a eu lieu à proximité de la ville de Cushing, qui abrite un énorme complexe de stockage de brut contenant jusqu’à 60 millions de barils d’or noir et considéré comme une infrastructure stratégique nationale. En 2015, l’Oklahoma a recensé plus de 900 tremblements de terre d’une magnitude proche de 3, soit deux et demi par jour.

Pour 2016, les prédictions ne sont pas meilleures. Selon le National Earth­quake Information Center de Golden, dans le Colorado, la barre des mille séismes devrait être franchie. La région centrale du pays n’avait enregistré que 21 séismes de magnitude 3 et plus entre 1973 et 2008. Depuis 2008, l’augmentation du nombre de tremblements de terre est exponentielle. La cause de cette forte activité sismique est, à en croire une majorité de scientifiques, la fracturation hydraulique des formations de gaz et pétrole de schiste et la multiplication des sites de forage – même si, en 2011, des failles parcourant l’Etat du nord-est au sud-ouest ont été à l’origine du plus puissant séisme que l’Etat ait connu (5,7).

Depuis 2008, l’Oklahoma, à l’image des Etats-Unis, connaît un boom pétrolier grâce à la révolution de l’hydrofracturation. Il a grandement bénéficié des retombées fiscales qui en découlent, même si aujourd’hui il souffre du bas prix du baril de pétrole. Le secteur pétrolier représente 20 % des emplois de l’Etat et deux tiers des emplois créés depuis 2010 lui sont attribuables.

La fracturation hydraulique des schistes s’accompagne toutefois d’effets secondaires. Des volumes considérables d’eaux usées et de produits chimiques utilisés pour les forages sont réinjectés dans les formations de schiste, car pour l’heure l’industrie n’a pas trouvé d’alternative à ces dépôts « sauvages ». En­­tre 2009 et 2014, les volumes utilisés dans la région, en particulier dans la formation de schiste du Precambrian Basement Rock, ont augmenté de 140 %, selon l’International Business Times, passant de 68 milliards à 162 milliards de litres. Pour les sismologues, cela ne fait au­­cun doute, la fracturation hy­­drau­­lique, qui nécessite parfois dix barils d’eau pour chaque baril de pétrole produit, est directement en cause. Les volumes d’eau injectés peuvent avoir pour effet de soulever des plaques près de failles au lieu de les rapprocher, explique le US Geological Survey.
Pression de sociétés pétrolières

Les autorités politiques ont été très lentes à réagir. La gouverneure de l’Etat, la républicaine Mary Fallin, a tout d’abord nié le problème avant de se rendre à l’évidence au vu du nombre croissant de preuves scientifiques. Selon Bloomberg, l’Oklahoma Geological Survey, une instance scientifique, a subi des pressions de la part des sociétés pétrolières pour ne pas établir de liens entre l’hydrofracturation et les séismes et a longtemps affirmé que les secousses étaient un phénomène naturel. Le régulateur du secteur, l’Oklahoma Corporation Commission, n’a pas fait preuve d’une grande indépendance non plus, se contentant de réduire le nombre de nouveaux puits de forage pour répondre à une montée de la colère de la population. Le régulateur et la gouverneure se sont souvent renvoyé la balle. Puis, le régulateur a fini par inviter les sociétés pétrolières à réduire sur une base volontaire les volumes d’eau réinjectés dans le sol, tandis que l’Oklahoma Geological Survey a reconnu que la fracturation hydraulique était « très probablement » la cause des séismes.

Cité par le New York Times, Daniel Mnamara, géophysicien au National Earthquake Information Center, est catégorique quant aux risques futurs : « Il y a une forte chance que l’Oklahoma soit confronté à une forte secousse. » Les spécialistes pensent en particulier à la faille Edmond, longue de 20 km. Pour l’Etat et plus largement pour les Etats-Unis, les conséquences pourraient être considérables. Si le complexe de stockage de brut de Cushing devait être endommagé au même titre que le vaste réseau d’oléoducs, c’est toute la chaîne d’approvisionnement du pétrole qui pourrait être perturbée. Les grandes citernes de cette petite ville de l’Oklahoma servent à stocker le pétrole en provenance de la formation géologique des Bakken, dans le Dakota du Nord, avant qu’il ne soit acheminé vers les raffineries installées le long du golfe du Mexique. Récemment, l’Oklahoma Corporation Commission a tout de même exigé que plusieurs puits dans un rayon de dix kilomètres autour du complexe de Cushing soient fermés.

L’Oklahoma n’est pas le seul Etat touché par des séismes induits par l’activité pétrolière et gazière. La Californie, le Dakota du Nord ainsi que le Texas connaissent le même type de phénomène. Dans certaines régions du Texas, des pétitions demandant l’arrêt du « fracking » ont été signées.

En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/planete/article/2016/01/15/dans-l-oklahoma-le-gaz-de-schiste-provoque-des-seismes-a-repetition_4847904_3244.html#zjEX77MpUTjAeVaF.99

Écrit par : JPD | 16/01/2016

Non, tu es un chat craintif... qui réclame son bol de soupe quotidien !
De nouvelles applications fort utiles découlent de la baisse du prix des "drones" électriques... alors que les amateurs d'aéromodélisme n'ont rien apporté dans ce domaine...

Écrit par : jeanbart | 16/01/2016

Quand tu en viens aux attaques personnelles, c'est que tu es à bout d'arguments. Et tu fuis la question.
La question reste: n'y a-il pas des domaines dans lesquels on pourrait améliorer la vie des gens sans tomber dans le gadget?

Écrit par : JPD | 16/01/2016

Gadget est un mot français, du nom "Gaget", le fondeur de la statue de la Liberté sur l'Hudson River...
Rien que ce raccourci historique devrait te rappeler à plus d'humilité dans tes jugements de vieux réac...
Etre en éveil permanent, c'est la vie...

Écrit par : jeanbart | 17/01/2016

Ta leçon de vocabulaire tombe comme les cheveux sur la soupe (expression française , importée du voldave par Sébastian Molatchuk).
Pour le reste...

Écrit par : JPD | 17/01/2016

Cher Monsieur Hennel,
Cher Monsieur JPD,
Vous occultez tous les deux l'information principale qui a plongé Las Vegas dans la sidération : la mort du "mari René" de Céline Dion!
750 millions de dollars de recettes pour la municipalité depuis que ce couple de dollars makers c'est installé à L.V.
Vous devriez, cher Monsieur Hennel, susurrer cette information à votre "amie Laurence" pour qu'elle fasse un peu plus bosser le chanteur connu qu'héberge notre commune au profit de la fiscalité locale. Et qu'elle y rajoute aussi l'inoxydable Drucker tant qu'à faire!!!

Écrit par : Le masque et la plume | 17/01/2016

Un maître-chanteur masqué !

Écrit par : jeanbart | 17/01/2016

je ne reviendrai pas sur le fait que quand vous ne savez pas répondre (ou ne le voulez pas car on vous a mis le nez dans votre caca) vous injuriez , la réflexion a été faite plus haut. mais ce doit être un français chauvin qui a lancé le bruit que le mot gadget venait du nom gaget... car the "oxford english dictionnary " indique que ce mot est un "place holder name for a technical item whose precise name one can't remember since the 1850s"

donc c'est mot qui était utilisé de la façon dont nous utilisons machin ou truc pour des objets dont on ne se souvenait pas du nom et là c'est vraiment le cas.Nous somme submergés par des machins et des trucs qui ne servent qu'à faire gagner de l'argent et seront vite obsolètes ... Je peux réparer ma tour moi même à moindre frais et tous vos trucs machin chouette coutent la peau des fesses et ne peuvent pas être réparés sinon a grands frais . La technique pour améliorer la vie de l'humain je suis d'accord , mais la technique pour la technique,c'est ridicule.
D'ailleurs la technique a de grande limites, on en revient l'archivage sur papier car par exemple si vous avez archivé les payes sur disquettes 5 pouces en 1985 si avez besoin des données 40 ans plus tard(2025) (si un ex-employé prend sa retraite et a perdu des données)comment allez vous lire ces disquettes si tant est qu'elles n'aient pas été effacées par un champ magnétique entre temps, d'ailleurs je me demande qui peut encore les lire . Lors de certaines réunions à données sensibles, il semblerait que des notes soient maintenant prises avec des crayons et du papier par sécurité dans certaines entreprises . Alors ,oui tous ces trucs sont des gadgets dont seuls certains survivront les autres passeront à la casse, remplacés par d'autres gadgets

Écrit par : jean | 18/01/2016

Ok ! êtes vous sur d'ère encore vivant ?

Écrit par : jeanbart | 18/01/2016

Es-tu sûr de ne pas être complètement ...?
J'essaie de m'abaisser à ton niveau et ce n'est pas facile!

Écrit par : JPD | 18/01/2016

Avant de vous interroger sur le méthane de l'Oklahoma, il faudrait s'interesser d'abord sur les nuisances (bruit, degoulis de vases, dégâts aux propriétés et aux paysages) et la pollution de la côte lors des travaux de Port haliguen! Des dizaines de personnes vont être grugées dans leurs propriétés qui deviendront sans valeur ( qui voudrait acheter ou louer dans une "zone" parce qu'un certain Hilliet a décidé tout seul dans son coin par copinage de donner un quartier entier de sa commune sans demander l'aval des habitants de Quiberon par référendum. Le pire dans tout cela, c'est qu'il y a 3 conseillers municipaux dans l'environnement immédiat du port qui ont laissé le champ libre à cet hilliet l'écornifleur, et qui seront les premiers gênés... il va sans dire que tout cela leur est passé largement au dessus de la tête car ils ne comprennent rien! pas plus à l'intérêt général qu'à leurs propres intérêts de riverains.

Zt pour le reste c'est pareil, ila pprouvent sans rien comprendre ni rien chercher à comprendre... desgodillots qui lévent la main sur ordre du chef! vaut voir cela en conseil: on a honte pour eux... pauvres gens

Écrit par : Herr G | 18/01/2016

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