10/08/2015
Agitation et vie contemplative...
Les Bénédictines de Kergonan vivent en "clôture" !
A deux pas des plages et de la folie de la D768 en presqu'île, les bénédictines de kergonan ne sortent que pour voter et consulter un médecin !
Loin du bruit, à l'abri de hauts murs des femmes vivent dans la contemplation...
IBM, de son côté, consacre ses recherches et ses finances à l'analyse des "images" plutôt médicales, que produisent en grand nombre les instruments d'examen de plus en plus sophistiqués... où l'humain, non spécialisé, laisse des traces, utiles à la santé !
La DIR OUEST surveille les artères du Morbihan, proches de Vannes, à partir d'images et d'informations numériques, générées par des véhicules "en folie" d'agrégation...le côté "chien de berger" de ces hommes de l'ombre constitue une "nouvelle mission" d'aide et de secours...
Au delà des avancées techniques, l'homme se retrouve souvent "au service de l'homme" !
IBM dépense un milliard de dollars pour une entreprise d’imagerie médicale
Les Echos du 7 août 2015
Avec Merger Healthcare, Big Blue espère donner un coup de fouet à Watson, sa plate-forme d’intelligence artificielle, qui a trouvé ses premières applications dans la santé. - AFP
IBM avance ses pions dans la santé. Le géant de l’informatique a annoncé jeudi le rachat pour un milliard de dollars de Merger Healthcare, une entreprise spécialisée dans l’imagerie médicale, qui fournit notamment des services de cloud permettant d’accéder aux clichés médicaux, et des logiciels d’essais cliniques.
IBM injectera 700 millions de dollars en cash, le solde provenant de la dette contractée par Merger Healthcare. Pour Ginni Rometty, à la tête d’IBM depuis 2012, il s’agit de la troisième plus grosse acquisition après le rachat pour 2 milliards de dollars du spécialiste de services cloud Softlayer et de Kenexa Corp, un éditeur de services de recrutement pour 1,2 milliard de dollars.
7.500 sites de santé déjà équipés par Merger Healthcare
Avec Merger Healthcare, Big Blue espère donner un coup de fouet à Watson, sa plate-forme d’intelligence artificielle, qui a trouvé ses premières applications dans la santé. Watson aide les médecins à établir des diagnostics, et la plate-forme est également utilisée dans des systèmes de surveillance en cardiologie, radiologie et orthopédie.
7.500 sites de santé sont déjà équipés des outils de Merger Healthcare, qui compte comme client « les plus grands instituts de recherche et des laboratoires pharmaceutiques », selon le communiqué. IBM espère trouver là de nouveaux débouchés pour Watson.
Un centre de 2.000 personnes à Boston dédié au « Big Data » dans la santé
IBM, qui souhaite ainsi relancer un chiffre d’affaires en berne, a annoncé en avril dernier la création de Watson Health, une unité spécialisée dans la fourniture de données pour le monde de la santé, en partenariat avec Apple, Johnson & Johnson et Medtronic. Une structure de 2.000 personnes devait être créée à Boston.
Watson Health repose sur une idée répandue chez les fournisseurs de technologies et les professionnels de la santé : il faut faire sortir les données de santé de leurs silos, afin de les analyser et d’en tirer de la valeur.
En tout, IBM avait annoncé un investissement de 1 milliard de dollars dans Watson. Le géant informatique a déjà ouvert un grand centre dédié en plein cœur de Manhattan.
Facebook vous permet de léguer votre profil en cas de mort
Société 2.0 du 13 février 2015
Facebook affine sa politique post-mortem. Depuis jeudi, le réseau social permet aux utilisateurs de décider du destin de leur profil Facebook en cas de décès. Disponible aux USA, l'outil sera prochainement proposé en France.
C'est ainsi. Tôt ou tard, nous passons tous l'arme à gauche. Mais lorsque cela survient, nous n'emportons pas avec nous notre identité numérique. Celle-ci perdure après la mort, à travers un profil Facebook, un compte Twitter, un mail... Dès lors, de nombreuses questions se posent : est-il possible par exemple de léguer ses données à un proche ? Si oui, comment ? Peut-on désigner une ou plusieurs personnes de confiance pour qu'elles gèrent à la place du défunt son identité numérique ?
Toutes ces interrogations sont très intéressantes dans le cas de Facebook, car le réseau social affiche plus d'un milliard d'usagers au compteur. De fait, le réseau social américain est en première ligne sur ce sujet. Or dans ce domaine, la politique du site communautaire était assez peu élaborée, hormis le souhait de conserver les profils de ceux qui sont disparus. Ainsi, depuis 2009, Facebook propose un formulaire pour signaler le profil d'une personne décédée.
Celui-ci peut alors être supprimé ou transformé en profil "de commémoration", où seuls les amis et la famille peuvent consulter les photos ou écrire sur le mur du défunt. Lors de cette étape, diverses informations sont requises, en particulier une preuve de la mort de l'intéressé (un avis de décès ou un article de presse, par exemple), afin d'éviter les plaisanteries douteuses.
DESIGNER UN LÉGATAIRE POUR GÉRER LE PROFIL
Mais depuis le 12 février, Facebook a étoffé sa politique post-mortem en permettant aux utilisateurs de rédiger des sortes de "directives anticipées" pour leur profil. Concrètement, un usager peut désormais déterminer à l'avance l'avenir de son compte : doit-il rester en ligne, pour être une sorte de réceptacle pour les condoléances et un lieu de recueillement, ou doit-il disparaître, afin de faciliter le travail de deuil des proches et les aider à aller de l'avant ?
Si l'usager opte pour la suppression de son profil, celui-ci sera retiré au moment où vos proches signaleront à Facebook votre disparition, via le formulaire de contact.
S'il opte pour un maintien en ligne, il lui faudra choisir un légataire qui deviendra le gestionnaire du profil. Il aura la possibilité d'effectuer diverses actions, allant du changement de la photo du profil à l'ajout de nouveaux amis (des proches qui veulent établir un "contact numérique" avec le défunt et qui n'avaient pas pu le faire auparavant), en passant par la publication de statuts particuliers (pour donner des précisions sur le déroulement des obsèques, par exemple) et le changement de la photo de couverture.
S'il ne fait rien, Facebook appliquera ses règles actuelles : le profil sera transformé en mémorial lorsque vos proches signaleront le décès.
DES LIMITES POUR L'ADMINISTRATEUR
Quelques garde-fous sont prévus, si jamais l'usager choisit un légataire. Ce dernier pourra effectivement télécharger une archive du profil (incluant les photos, les statuts, les informations diverses et variées), mais celle-ci ne contiendra pas les messages privés. Ces derniers impliquent en effet d'autres personnes qui sont peut-être encore envie et qui pourraient causer du tort, d'une façon ou d'une autre. Les anciens messages publiés par le défunt ne seront pas non plus modifiables ou effaçables.
Cette nouvelle politique est pour l'instant déployée exclusivement aux États-Unis. Mais Facebook étant un réseau social global, celle-ci devrait être progressivement étendue à d'autres pays du monde. On peut supposer que le site fera des légères modifications en fonction de la nationalité du défunt, afin de respecter au mieux les traditions de chaque pays.
Un exemple :
Circulation, l'été, un PC routes en alerte à Vannes
Télégramme du 9 août 2015
Michel Foy, opérateur au PC routes de Vannes.
Certains week-ends d'été, la circulation peut augmenter fortement Après un chassé-croisé noir sur les routes, lors du premier week-end d'août, avec des bouchons importants à Vannes et Lorient, le trafic était encore très chargé, hier. Comment surveille-t-on la circulation ?
À Vannes est installé l'un des quatre PC routes de l'Ouest.
Ils ont pour nom exact centres d'ingénierie et de gestion du trafic. Il s'agit en fait des PC routes d'où partent les informations envoyées à destination des automobilistes sur les panneaux à messages variables, ces portiques où s'affichent en lettres lumineuses les risques de bouchon, de ralentissement etc. sur les routes nationales.
L'Ouest compte quatre de ces PC, dépendant des Directions interdépartementales des routes (DIR), dont un installé à Vannes dans la zone du Prat.
Il gère le trafic sur la RN 165 des Pays-de-la-Loire jusqu'à Quimper, sur la RN 24 de Lorient à Plélan-le-Grand et sur la RN 166 de Vannes à Ploërmel. Capteurs et caméras C'est là qu'aboutissent toutes les informations collectées sur l'état de la circulation sur ces trois portions de voies express. Des ordinateurs disent comment ça roule. La densité du trafic s'affiche sous forme graphique et en images. 17 stations de capteurs magnétiques, implantés dans l'enrobé de la chaussée dans les régions de Vannes et Lorient, permettent de compter le nombre de véhicules et leur vitesse. Les informations sont transmises instantanément par fibre optique au PC. L'opérateur peut savoir ainsi s'il y a un bouchon, un ralentissement. Les images renvoyées par une douzaine de caméras placées en divers points névralgiques permettent de compléter ces renseignements par visualisation directe.
Un logiciel national
« Sur la route, il suffit de pas grand-chose pour perturber la circulation », souligne Didier Loyer, responsable du service. Un accrochage, une voiture en panne... Il faut alors envoyer une équipe sur place afin de remédier au plus vite à la situation. En cas d'accident et si la circulation doit être déviée, c'est la gendarmerie ou la police, selon le secteur, qui intervient.
Le PC a en même temps un rôle d'information.
Directement sur la route, grâce aux panneaux à message variable vers lequel l'opérateur de service envoie une alerte. Grâce également aux véhicules orange équipés d'un système d'affichage que l'on envoie sur place. Et aussi en alimentant un logiciel national dans lequel, l'opérateur en poste actualise toutes les données concernant les incidents routiers de son secteur et qui sont reprises par Bison futé et des médias.
Attention aux bouchons !
Le PC de Vannes est ouvert de 6 h à 20 h et dix week-ends par an, essentiellement ceux de l'été. C'est le cas pour ces samedi et dimanche. « C'est un service que nous apportons à l'usager de la route pour faciliter ses déplacements, assurer sa sécurité », indique Didier Loyer. Lors des grands départs des 1e r et 2 août, dix kilomètres de bouchon avaient été comptabilisés sur le réseau surveillé par le PC vannetais.
La circulation, qui est en moyenne annuelle de 65.000 véhicules sur 24 heures à hauteur de Vannes, est montée à 90.000 véhicules sur cet axe le 12 juillet, jour du Tour de France, qui avait été également un jour noir.
Hier le chassé-croisé a tenu ses promesses de ralentissements à Lorient, Ploërmel et Moréac. Le plus gros bouchon, qui a fluctué de cinq à 13 km tout au long de la journée, était à Vannes. Aujourd'hui, la situation s'améliore et la circulation vire à l'orange.
© Le Télégramme - Plus d’information sur http://www.letelegramme.fr/morbihan/vannes/circulation-l-ete-un-pc-routes-en-alerte-09-08-2015-10733892.php
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