17/05/2015
PLU, une drôle d'aventure à Saint Pierre Quiberon....
Sujet électoral de premier plan, l'accouchement semble "douloureux" !
Géré, semble-t-il, entièrement par l'adjoint à l'urbanisme, la création du nouveau PLU devrait être la "révolution", après sa longue gestation par l'équipe de Geneviève...
Vannes, Auray et Carnac, lancées dans la même opération, choisissent la "transparence" et la communication des objectifs, avec de nombreuses réunions publiques. Les cabinets d'expert, très bien rétribués, font avancer les projets de PLU plus rapidement que les élus, mais avec souvent des œillères !
A Saint Pierre Quiberon les anciens conseillers municipaux étaient plutôt novices en matière de PLU. La volonté politique était mal établie, les réunions de concertation symboliques et un "a priori" très lourd... résultat, un PLU ressemblant "trop" au POS dans certains villages.
Au Petit Rohu, caricaturé par la présence d'un camp de camping municipal, le projet transforme certaines parcelles Ua, Ub en "zone de loisir" ! Les propriétaires de parcelles le long de la rue des campeurs sont rassemblés en kolkhoze obligatoire dans une zone "mobil-home" aux parcelles de 100 mètres carrés... les extensions de construction sont interdites, côté mer ! Le PLU de Quiberon, en bordure intercommunale, est ignoré !
Aujourd'hui les projets de la municipalité en matière de camping municipal ne sont pas clairs : poursuite, comme du temps de Geneviève, de l'exploitation d'un camp, visé par la "loi littoral", réduction de la surface d'exploitation de celui de Penthièvre, au lieu d'un regroupement de celui de Kerhostin et celui du Petit Rohu...
Quant à la question du "camping privé", l'équipe gagnante a "surjoué "la liberté" d'occuper les terrains privés !
Au bout d'un an de "gestation", les plans du futur PLU ne sont pas publiés, ni d'ailleurs les options "politiques" (que l'on pense de droite, par respect des électeurs)... Silence total sur les sites, gazette et conseils municipaux...
Les habitants, qui font des plans plus à long terme qu'un mandat municipal, grognent de ne rien savoir aujourd'hui !
Peut-on confier une telle opération " de long terme" à un Conseil, qui a du mal à gérer les affaires courantes ?
Plu de Vannes, la révision urbanistique est en marche
Télégramme du 1er avril 2015
Gabriel Simon
La Ville révise son plan local d'urbanisme qui date de 2005. (Photo : mairie de Vannes)
La Ville a entamé la révision générale de son plan local d'urbanisme (Plu). Un gros chantier auquel les habitants vont être associés. Une première réunion publique est prévue mardi 7 avril, à 18 h, au Pac.
Pourquoi modifier le Plu ?
Toute l'activité urbanistique de Vannes est régie par un Plu qui date de 2005. Or, Vannes a évolué et le contexte économique et social s'est modifié. D'autre part, de nouveaux textes législatifs sont apparus et il faut les intégrer dans les projets d'urbanisation : lois Grenelle 1 et 2, loi Alur, zones humides, zones inondables. Projets qui doivent être, aussi, en cohérence avec d'autres documents de planification supracommunaux, tels que le Scot (Schéma de cohérence territoriale), le plan de déplacements urbains et le plan local de l'habitat de Vannes-Agglo et la charte du Parc naturel régional du golfe.
L'environnement sera-t-il pris en compte ?
La révision du Plu va commencer par un diagnostic. Un volet urbain fera le point sur des questions comme l'évolution démographique de la commune ces dix dernières années, l'évolution du marché de l'habitat, la consommation de l'espace, la manière dont les habitants se déplacent. Il y aura un second volet, environnemental, dans lequel seront traités, entre autres, la ressource en eau, la biodiversité, la nature en ville.
Quelles seront les grandes priorités de ce Plu ?
« Il s'agit du projet phare du mandat. Ce plan va dessiner la ville de demain », souligne le maire, David Robo. L'optimisation de l'espace sera l'un des grands enjeux. Le but est d'économiser du foncier. Comment ? En facilitant la division des terrains. En reconstruisant sur d'anciennes zones d'habitat ou d'activité. En modifiant aussi certaines règles comme l'obligation en centre-ville de créer des places de parking par logement, ce qui freine la construction.
Y aura-t-il des objectifs de croissance démographique ?
« En Bretagne, Vannes est la seule ville de sa catégorie à ne pas perdre d'habitants », indique David Robo, qui précise que le but n'est pas de faire de l'accroissement de population mais « de continuer à être une ville attractive ».
Quels seront les grands espaces constructibles ?
Un objectif du Plu sera aussi de créer des réserves foncières. Et la ville ne va pas en manquer : tour de la Sécurité sociale et Cité administratif (boulevard de la Paix), caserne Sistermans (avenue Edouard-Herriot), ancien Etamat (route de Rennes), anciennes cliniques, locaux de l'UBS derrière la mairie.
Quel est le besoin en logements ?
Pour le seul maintien de la population, la mairie estime le besoin de logements annuels à 400/450. Le secteur de l'immobilier, actuellement en redémarrage, doit pouvoir aussi pouvoir répondre aux demandes de la clientèle. La Ville estime que Vannes manque de petits pavillonnaires. David Robo souhaite, par ailleurs, que soit engagé une étude sur le logement insalubre dans le centre.
Les grandes étapes du Plu ?
Fin du diagnostic pour l'été. Définition du projet d'aménagement et de développement durable pour l'automne. Définition du zonage pour l'été 2016. Validation mi-2017.
En savoir plus sur http://www.letelegramme.fr/morbihan/vannes/plu-la-revision-urbanistique-est-en-marche-01-04-2015-10579708.php#6TgWkQCBBqyvQ1P0.99
Plan local d'urbanisme d'Auray, la route est fixée
Télégramme du 9 avril 2015
Le Plan local d''urbanisme (Plu) et son document chapeau, le projet d'aménagement et de développement durable (PADD), ont été dévoilés en mars à la population. Mardi, le projet qui doit définir à quoi ressemblera Auray dans les dix ans à venir a été présenté aux élus. Présenté, et longuement débattu.
1. Un document élaboré pour tous et avec tous
Les Alréens ont pu découvrir le Plu lors de trois réunions publiques en mars. Mardi, devant les élus de la majorité et ceux de la « minorité » - comme préfère les désigner le maire Jean Dumoulin -, Azaïs Touati, adjoint en charge de l'urbanisme, a présenté son grand oral : les contours de ce Plan local d'urbanisme qui va élaborer un projet d'aménagement et de développement durable (PADD), afin de fixer les grandes orientations de la Ville en matière de logement, de développement économique, de paysages, d'espaces publics, de déplacements, de qualité de vie ou encore d'environnement. Des documents construits à partir d'un travail collectif, en lien avec les services de l'État, Aqta (Auray Quiberon Terre Atlantique), le Pays d'Auray, le conseil général, le conseil régional, les communes limitrophes et la chambre d'agriculture et, à ne pas oublier, dans une démarche de concertation avec la population.
2. Objectif 2028
En valorisant le cadre de vie de ses habitants, mais aussi en régulant le développement urbain et démographique d'un territoire, un Plu a pour objectifs d'améliorer ou de conforter l'attractivité de la ville. Le dernier Plu d'Auray remonte à 2007. Le nouveau document devrait être mis en application début 2017, et devra être arrêté pour fin 2015/début 2016. Le Plu va s'étaler jusqu'en 2028, où il devrait être remplacé par un nouveau document. En engageant les grands axes de développement de la commune sur un si long terme, le Plu se doit d'être parfaitement réfléchi.
3. Peu d'espace foncier à exploiter
Les trois grands axes du PADD ont été énoncés par Azaïs Touati : « Rendre la ville attractive, valoriser le cadre de vie et poursuivre un développement maîtrisé ». Le Plu doit définir l'équilibre à respecter entre les différentes zones de la ville (la gare, Porte océane, le centre...), les mesures à prendre pour respecter le patrimoine et préserver les zones vertes (bois) et bleues (zones humides, cours d'eau...) et délimiter l'espace foncier. « Les prévisions démographiques annoncent 1 % de croissance par an pour amener la population alréenne à 14.268 habitants... Nous n'avons pas l'objectif farouche de dépasser les 15.000 habitants, ce qui engagerait un autre levier au niveau de l'agglomération », avait ainsi expliqué le maire avant la réunion. « La commune possède 691 ha de surface. En dehors des zones agricoles - que nous nous sommes engagés à ne pas toucher - et artisanales, 28 ha sont disponibles. Et sur cette surface, n'en consommeront que 9 ha jusqu'en 2028 », a confirmé le maire Jean Dumoulin. « Nous partons sur une hypothèse de construction de 137 logements par an, en moyenne ». Les projets de renouvellement urbain entamés (Gumenen, Goaner) vont cependant se poursuivre.
4. Une ville plus attractive
Sur ce premier grand axe, le Plu doit fixer plusieurs orientations : garantir les équilibres entre les polarités commerciales de la ville (équilibre à trouver entre Porte océane, le centre-ville mais aussi la gare) ; redynamiser le commerce du centre-ville (avec notamment un embellissement programmé des espaces publics et une rénovation des façades) ; aménager le pôle gare autour du projet Pôle d'échange multimodal ; accueillir de nouvelles entreprises et développer l'emploi ; valoriser les espaces publics ; développer l'identité touristique de la ville et affirmer le caractère maritime d'Auray (en créant notamment des liens entre Saint-Goustan, le centre-ville et la gare et en développant le port.
5. Un cadre de vie à valoriser et un développement maîtrisé
« On va imposer une certaine surface d'éléments paysagers et des règles pour la gestion pluviale, ce qui n'existait pas de façon précise dans l'ancien Plu, et qui a pu générer des problèmes, notamment au niveau du Reclus », avait également annoncé Jean Dumoulin. « L'objectif serait ainsi de valoriser les espaces naturels en créant des interconnexions ville/nature fortes et faire de la Vallée du reclus un élément structurant du territoire », a complété Azaïs Touati mardi soir, évoquant également la nécessité de prévoir « des espaces de respiration en ville et de réintroduire le végétal dans tous les aménagements urbains ». Le Plu devra également s'atteler à imposer une mise en valeur du patrimoine bâti, favoriser les liaisons douces et promouvoir les déplacements alternatifs... Un vaste programme à développer, mais de façon maîtrisée, en favorisant la diversité des logements, en encourageant la mixité et en assurant une offre qualitative des équipements de la ville...
En complément
Des critiques et des propositions
On le sait, le Plu est le document phare d'une mandature, et même de deux. Sa présentation mardi soir devait donc être obligatoirement commentée, disséquée, analysée et critiquée par l'opposition. Ce qui n'a pas manqué d'être fait. C'est Guy Roussel qui a ouvert le bal le premier, sans attendre les dernières notes.
Maintenir le nombre de places de stationnement
« Quand on parle de commerces, on ne parle que de Porte Océane et du centre-ville. Mais on ne doit pas oublier la gare et la possibilité de densifier d'autres petites zones commerciales », a lancé l'ancien maire, visiblement remonté et combatif.
Son successeur dans le fauteuil de maire lui a répondu en évoquant le PEM (Pôle d'Échange Multimodal) qui va redessiner le quartier de la gare : « Une réunion est programmée avec les commerçants et la SNCF afin d'envisager la création d'un bâtiment qui pourra accueillir des services et des commerces à la gare... Quant au reste des demandes, on ne les oublie pas et on associe Saint-Goustan au centre-ville... Parce que, dans notre esprit, Saint-Goustan, c'est le centre-ville ». Inévitablement, la question des places de stationnement et de la requalification des espaces publics est tombée dans la discussion. « J'espère que dans cinq ans, il n'y aura plus de places de parking devant la place du Saint-Esprit », a évoqué le maire, « mais ces places, on les aura créées ailleurs. Comme toutes celles qu'on supprimera », insistant sur la volonté de maintenir le même nombre de places de stationnement sur Auray, pas plus, pas moins. Tout en répondant aux demandes des membres de l'opposition, sur le logement social ou la densification urbaine, le maire et l'adjoint à l'urbanisme se sont défendus en rappelant « qu'on ne peut mettre des détails dans un document général », mais en glissant tout de même au passage que la « question sociale ne se pose pas : c'est la loi (20 % SRU) » et que toutes les « opérations en tiendraient compte ». Mais l'analyse la plus détaillée, la plus imaginative, - d'ailleurs saluée par le maire -, a été délivrée par Roland Le Sauce : « Le PADD qui nous est présenté ce soir n'est pas à prendre ou à laisser. Il y a des orientations qui vont dans le bon sens. Mais chacun conviendra aussi que le PADD ne peut pas se limiter à une déclaration de bonnes intentions », a-t-il commencé, déplorant que le Gumenen ne soit « pas évoqué », ou que le mot « logement social » soit « d'ailleurs absent dans le document, gentiment remplacé par logement aidé ». L'ancien adjoint à l'urbanisme de Michel Le Scouarnec ne s'est pas contenté de critiquer, proposant également « la création de Zac comprenant des lotissements communaux, je pense au quartier gare avec le PEM et au centre-ville avec le foncier du Centre hospitalier Bretagne Atlantique qui se libère », ou encore de « mutualiser certains équipements au sein du Pays d'Auray, par exemple, une Maison de la justice et du droit », et appelant aussi à « la création d'un nouvel espace jeunesse, d'une nouvelle maison de quartier au Gumenen et du pôle associatif de Parco-Pointer ». Des propositions entendues. Écoutées ?
En savoir plus sur http://www.letelegramme.fr/morbihan/auray/plan-local-d-urbanisme-la-route-est-fixee-09-04-2015-10589132.php#AA8MqdOD1M3DCUXq.99
Réunion, le Plu et le PADD de Carnac expliqués
Télégramme du 27 avril 2015
Olivier Lepick et Anne Eusèbe dirigent le service de l'urbanisme à la mairie.
Le maire, Olivier Lepick, expliquera, le 30 avril à 20 h 30, salle du Ménec, aux Carnacois, ce que représente l'adoption du Plan local d'urbanisme (Plu) et le Plan d'aménagement durable (PADD).
Le discours se veut pédagogique. Il sera assisté du Cabinet Eol, déjà mandaté sous l'ancienne majorité, et par le service d'urbanisme de la mairie.
« La marge est étroite pour définir le Plu qui doit être arrêté en juin 2015 et approuvé début 2016, au vu des contraintes environnementales, réglementaires et législatives. Il nous faut slalomer entre les écueils. Les lois relatives à la Solidarité et au renouvellement urbain (SRU) introduisent la notion de développement durable. La loi portant sur l'Engagement national pour l'environnement (ENE) cherche à optimiser l'espace et à préserver la biodiversité. La loi Alur vise à densifier les zones urbanisées et à affirmer la vocation non constructible des espaces agricoles ou naturels. Elle a instauré la vocation intercommunale des Plu. Les lois sur l'eau imposent la réalisation d'un inventaire des zones humides », explique Olivier Lepick. Avant d'ajouter « Carnac n'est pas la seule commune du littoral dotée d'un patrimoine historique a y être confrontée. Son Pos (Plan d'oocupation des sols) est dépassé (1999). Il se contentait de fixer les règles générales et les servitudes d'utilisation des sols. Les enjeux du Plu vont au-delà. Il s'agit de définir un véritable projet d'aménagement sur quinze ans en évaluant les nouveaux besoins et en priorisant les secteurs de future urbanisation, limités la loi ».
© Le Télégramme - Plus d’information sur http://www.letelegramme.fr/morbihan/carnac/reunion-le-plu-et-le-padd-expliques-jeudi-27-04-2015-10609244.php
Urbanisme, présentation des enjeux du Plu à Carnac
Télégramme du 6 mai 2015
De gauche à droite : Paul Chapel de dos, Olivier Lepick à l'arrière-plan, Jean-Luc Servais, Élodie, du cabinet Eol.
Le maire, Olivier Lepick, assisté du cabinet Eol, consultant externe, a présenté à plus de 200 personnes, salle du Ménec, le 30 avril au soir, les enjeux du Plan local d'urbanisme (Plu). Le Plu a vocation à remplacer l'ancien Pos (Plan d'occupation des sols) qui date de 1999. Il doit être conçu pour dix ans au minimum. Son objectif est de définir les secteurs stratégiques en fixant les Orientations d'aménagement et de programmation (OAP).
Contexte réglementaire
complexe Le maire n'a pas caché à son auditoire que le Plu représentait une sorte de mille-feuilles administratif qui devait intégrer une multitude de contraintes. « Elles s'empilent d'autant plus les unes au-dessus des autres pour une commune littorale, dotée par surcroit d'un patrimoine historique. Ma marge de manoeuvre s'agissant du zonage et des permis de construire est donc très limitée. Je dois tenir compte d'un contexte réglementaire qui ne cesse d'évoluer, des lois Alur de 2014 (Aide au logement et à l'urbanisme), SRU (relative à la solidarité et au renouvellement urbain), ENE (Énergie nationale environnement), aux documents supra-communaux comme le Scot (Schéma de cohérence territorial) ».
Olivier Lepick a insisté sur le contrôle strict de légalité exercé par l'État qui entend réduire la consommation foncière. « On doit prioritairement construire au sein du tissu foncier existant et limiter les possibilités d'extension. L'État réaffirme ainsi la vocation non constructible des espaces agricoles ou naturels dans la campagne (trames bleue et verte) ».
Garder le paysage visuel
« Entre 2017 et 2028, environ 750 logements devront être construits, dont 50 % au sein du tissu urbain existant, selon une densité moyenne de 25 logements par hectare », précise le cabinet Eol. « Nous devrons qualifier chaque noyau bâti dans le cadre du Plu, avec une possibilité de construire modulée à chaque fois en fonction du type de noyau concerné. Les espaces qui restent disponibles sont les dents creuses, les parcelles densifiables, les coeurs d'îlots... » Les questions qui ont suivi la présentation des enjeux ont porté sur la possibilité de réhabiliter les anciens corps de ferme, la qualification de Carnac-Plage comme centre urbain dense, la zone artisanale de Montauban et du Bosséno, la dé-corrélation du Plu et du PPRL (Plan de prévention des risques littoraux en cours d'élaboration).
« On va garder le paysage visuel que vous connaissez. Il n'y aura pas d'immeubles de grande hauteur », a conclu Olivier Lepick.
© Le Télégramme - Plus d’information sur http://www.letelegramme.fr/morbihan/carnac/urbanisme-presentation-des-enjeux-du-plu-06-05-2015-10619264.php
Le calendrier d'adoption
La procédure d'adoption du Plu va se dérouler en plusieurs phases. La commune doit arrêter un projet de Plu, le soumettre aux personnes publiques associées avant l'été. Une nouvelle réunion publique sera organisée. À l'automne, une enquête publique aura lieu. Fin 2015-début 2016, le conseil municipal, au vu de toutes ces consultations, approuvera le Plu qui deviendra opposable à tous. Il sera complété d'ici deux ans par un document significatif qui sera annexé sous forme de servitude, intitulé Avap (Aire de mise en valeur de l'architecture et du patrimoine). Cette annexe constituera une sorte d'outil de gestion permettant de protéger et de faire évoluer le patrimoine bâti de Carnac. L'objectif est donc de maîtriser toute pression immobilière et de limiter les permis de construire à des cas bien définis.
En savoir plus sur http://www.letelegramme.fr/morbihan/carnac/le-calendrier-d-adoption-06-05-2015-10619262.php#Ik7BEemkzdrZxLTU.99
Commentaires
tout cela va être dirigé par l'Aqta d'ici peu ,alors pourquoi s’amuser à jongler entres les réglementations nationales ou locales pour perdre son temps a pondre quelque chose qui partira à la corbeille .
Écrit par : totor | 18/05/2015
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