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31/01/2015

Les "retraités" choisissent ce qui leur plait !

AQTA, et ses élus imbéciles, réinvente le "GOSPLAN" !

Front de mer de Quiberon.jpg

Le "PLH" est l'occupation majeure du Maire de Saint Pierre Quiberon...alors que sa propre commune est "délaissée" depuis 9 mois...

On rêve devant autant de naïveté et de stupidité devant "les lits froids" de la part d'élus de stations côtières balnéaires... On ne se baigne pas en hiver dans la Baie de Quiberon  !

Prévoir "un calendrier" de fixation d'un objectif "quantitatif" et d'un programme d'action en matière de logement fait penser aux mauvaises années de la Russie, qui se chauffait "à la vodka" !

A force de "tirer" sur les retraités, qui payent leurs impôts et font vivre les artisans locaux, ceux-ci iront chercher des communes d'accueil plus plaisantes... laissant leur pauvre Maire aux mains de cas sociaux, sans revenu et sans logement !

La découverte aujourd'hui de "passoires thermiques" est inouï ! Les logements sociaux, dits à bas prix et mal construits, sont le résultat des politiques SRU (obligation des 20%) et de la compassion électorale des élus de gauche...

Quand on est élu à droite, on soigne ses électeurs, en travaillant dur à l'amélioration de sa commune !


 

Habitat sur AQTA, s'attaquer au déséquilibre nord-sud

 

Télégramme du 31 janvier 2015

 

Les retraités de plus de 60 ans qui s'installent sur le territoire d'Aqta préfèrent le littoral à l'arrière-pays. 

 

 Les élus d'Aqta ont jeté les toutes premières bases du Plan local d'habitat (PLH), qui doit être adopté début 2016. Ce travail préliminaire a consisté à plancher sur le diagnostic livré par un cabinet d'étude sur la situation du logement dans le pays d'Auray.

 

 Le document traduit d'abord la forte poussée démographique de ces dernières années. La population a augmenté trois fois plus vite dans les années 2000 que durant la décennie précédente. Dans le détail, il y a l'arrivée de nouvelles familles, mais surtout de retraités de plus de 60 ans. Or ces derniers préfèrent le littoral à l'arrière-pays et ont les moyens de mener à bien un projet immobilier dans des communes où les prix sont inaccessibles à la majorité des jeunes actifs.

 

 En 2013, le prix médian des transactions était ainsi de 175.000 € dans les communes du nord du pays, contre 250.000 sur le littoral. « Pour que chacun puisse s'installer partout sur le territoire, il faudra que la communauté de communes reprenne la main sur une partie du foncier », observe Philippe Le Ray.

 

Objectifs chiffrés au printemps

 

 D'autant que la proportion des résidences secondaires dans ces zones où la tension immobilière est forte est lourde de conséquences sur la vie des communes. C'est ce qu'on nomme le syndrome des lits froids.

 

 La problématique de l'habitat interfère sur celle des transports.

 

 Le sud du pays est un gros pourvoyeur d'emplois, occupés par des personnes qui n'ont pas les moyens d'y résider.

 

 Le champ scolaire n'y échappe pas non plus : « Dans ma commune, il n'y a plus que 95 élèves pour deux écoles. La question du maintien d'un de ces établissements peut être posée dans l'avenir », explique Laurence Le Duvehat, vice-présidente d'Aqta en charge de l'habitat et maire de Saint-Pierre-Quiberon.

 

Dans un autre domaine, le diagnostic a chiffré à 15.000 le nombre de logements qui sont de véritables passoires énergétiques. Et il y a aussi la question des personnes âgée qu'il faut aider à rester chez elles en adaptant leur habitation. Partant de toutes ces problématiques, la communauté de communes s'est donné un calendrier pour élaborer son PLH.

 

 Au printemps, les élus arrêteront un objectif quantitatif (nombre de logements à produire et à réhabiliter, importance du foncier à mobiliser).

 

 À l'été, ils devraient définir un programme d'actions, afin qu'en 2016 toutes les communes « disposent d'un outil opérationnel ».

© Le Télégramme - Plus d’information sur http://www.letelegramme.fr/morbihan/auray/habitat-s-attaquer-au-desequilibre-nord-sud-31-01-2015-10511393.php

 

 

 

Commentaires

Aqta : ce sont ces collectivites à la sauce marxiste.
Ils sont à la recherche de foncier pour construire des clapiers pour recevoir le trop plein du 9-3.
Ce sera fini de la tranquillité d'un si beau pays qui a eu le tort d'élire des imbéciles pareils.
Si le foncier n'est pas trouvé, ce sera l'assomoir fiscal à la sauce hollandaise pour confisquer vos biens.

Écrit par : Jean Rohu | 31/01/2015

Pas besoin d'aller chercher dans le 9-3 il y a déjà une certaine population alréenne à répartir dans le 56. Pourquoi pas au bord de la mer?

Écrit par : QATA | 01/02/2015

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