10/01/2015
La "vase", çà sent encore mauvais !
Le "dévasage" de Port Haliguen serait encore repoussé ! 2016 ?
Comme l'aérodrome de NDDL, Port Haliguen est géré entre deux bords, un port "utile" avec de l'eau, un problème "écolo" avec de nombreux "barbus"...(qui malheureusement ne naviguent pas sur la mer !)...
La gestion par la SPL y ajoute une "strate" crypto-administrative, où se mêlent intérêt commun et carrière politique...
La solution de "déshydratation à terre" coûte 5 fois le rejet en mer ! et ne règle que la moitié du désenvasage...
Aujourd'hui la recherche du "consensus" est quasiment impossible, car les moyens de la SPL sont contraints ! Ne rien faire devient impossible, car Port Haliguen risque de ne recevoir que des "pédalos" !
S'entendre dans la période de préparation des élections départementales en mars 2015 est une "gageure" !
Dévasage de Port Haliguen, des associations en désaccord
Télégramme du 10 janvier 2015
Le dragage du port de plaisance de Port Haliguen pourrait démarrer fin 2015-début 2016. (Photo d'archives) Le projet concernant le dragage des ports de plaisance de Port Haliguen Quiberon et du Crouesty Arzon a été lancé par la Compagnie des ports du Morbihan.
Actuellement, la démarche en est à la phase préliminaire de concertation avec tous les acteurs de ce dossier : administrations, collectivités, professionnels et associations. Les deux enquêtes publiques sont prévues pour le printemps. Les travaux pourraient démarrer à la fin de l'année ou au début 2016.
« Un dossier déjà ficelé »
Mais cinq associations (Bretagne Vivante, Eau et Rivières de Bretagne, Sémaphore, Comité de défense de la baie de Kervoyal et du littoral damganais, An Aod Braz) ont fait savoir qu'elles avaient quitté la réunion de jeudi qui était consacrée à Port Haliguen. Elles n'avaient pas l'intention de participer à la suivante prévue hier à propos du Crouesty. « Le comité de suivi des dragages des ports Est du Morbihan ne peut se réduire à être la chambre d'enregistrement des décisions déjà prises par la Société publique locale du conseil général du Morbihan », soulignent ces associations, qui ne veulent pas « par leur présence cautionner un dossier déjà ficelé et une concertation dont elles sont exclues ». Elles estiment que faute de documents complets, il leur « paraît impossible de remplir leur mission » et demandent une « clarification du fonctionnement du comité de suivi du schéma de référence des dragages du Morbihan »
Pas d'immersion en mer
La Société publique locale de la Compagnie des ports du Morbihan exprimait, hier, sa « déception », souhaitant « le dialogue et l'échange ». Son directeur, Michel Le Bras, rappelle que le conseil général a pris en 2012 la décision de ne plus procéder à d'immersion de produits de dragages en baie de Quiberon. « Et elle sera respectée », insiste-t-il. L'opération de Port Haliguen prévoit de réutiliser les sédiments prélevés pour réaliser l'extension de terre-plein prévue dans le cadre d'une redynamisation de la partie Ouest du port. Le volume à prélever est estimé à 55.000 m³. Cela, toutefois, ne solutionnera pas tout le problème de l'envasement du bassin. Il reste 75.000 autres m³ à enlever pour améliorer les tirants d'eau. Pour cela, il faudra trouver à terre une plate-forme d'installations classées pour la gestion des sédiments. Il n'est d'ailleurs pas certain, indique la Compagnie des ports, qu'un tel volume puisse être enlevé compte tenu des coûts cinq fois plus élevés qu'une immersion (clapage) en mer. Pour limiter l'envasement, trois brèches seront réalisées dans les digues mais cet effet de chasse d'eau attendu ne sera pas suffisant pour refouler à l'extérieur les vases en suspension.
L'attente des plaisanciers
Pour ce qui concerne le port du Crouesty, il s'agit d'une première tranche de 30.000 m³. Là aussi les dépôts seront mis à terre, « dans un lieu qui est en train d'être préparé », indique le gestionnaire. Ensuite, il faudra trouver des entrepreneurs pour faire le traitement et s'assurer de débouchés. « À chaque fois, nous agissons dans le strict respect de la réglementation », souligne Michel Le Bras. « Les plaisanciers sont fortement demandeurs et ces opérations sont nécessaires ».
© Le Télégramme - Plus d’information sur http://www.letelegramme.fr/morbihan/quiberon/devasage-des-associations-en-desaccord-10-01-2015-10487321.php
Commentaires
La presse locale-toujours objective comme chacun le sait-nous parle des déboires du Conseil Général et de la SPL" compagnie des ports du 56" concernant le problème des vases portuaires en oubliant toutefois les 22 millions de m3 accumulés à l'embouchure de la Vilaine et les chasses ultra-polluantes du barrage d'Arzal.
A Port-Haliguen, c'est pire: le baobab des vases cache également la forêt des pieux arrivés au bout du bout de leur valeureuse existence.
Le directeur de la SPL, élevé au biberon du" Syndicat Mixte des Ports du 56 "dès sa sortie d'une école de commerce, devrait savoir qu'un fond de commerce s'entretient surtout quand dans le contrat-ici la concession-il est imposé d'entretenir le fond!
Aux Quiberonnais qu'il jugeait "arriérés" lorsqu'ils soulevaient le problème de l'entretien général du port il leur riait au nez!
Pour compléter le tableau, un Conseiller Général de notre canton nous jugeait si peu fiables qu'il nous excluait de toutes places à prendre.
Maintenant, les vases leur collent aux pieds tel un bâton merdeux.
Pour se dédouaner, au dernier conseil portuaire, l'expression " vases historiques " fur même employée par un ingénieur qui nous fait évidemment regretter nos ingénieurs des Ponts et Chaussées avec qui nos vénérables anciens élus travaillèrent en bonne intelligence.
Après tout on pourrait peut-être les classer aussi au patrimoine!
Je persiste à dire que le projet "en trompe-l'oeil" est uniquement fait pour évacuer à moindre frais un minimum de vases ou sables.
Projet qui les amènera jusqu'à une fin de carrière fructueuse. L'avenir du port et des lieux ( à très long terme ) ne les intéressant évidemment pas!
Aux assimilés commerçants du Conseil Général et de la SPL je dirais que PH n'aurait jamais dû être considéré comme un vulgaire terrain agricole où l'on pratique la monoculture de "l'oseille".
Tôt ou tard il faut payer et nous y sommes!
Les sommes englouties dans la rénovation du château de Suscinio perdu par la Sagemor et du village de Poul Fétan sont définitivement perdues contrairement aux obligations imposées par le Code des Ports Maritimes.
Pour terminer nous allons employer 2 expressions purement presqu'îliennes:
1: Ces gens du CG et de la SPL sont pris comme des "tacauds dans la vase"
2:Nous les Quiberonnais que certain traite "d'indolents" un peu comme nos compatriotes des "Iles sous le Vent" nous avons été pris pour des "gottes.
Vous savez les oiseaux marins impossibles à déplumer et qu'il faut "dépouiller" comme les "bêtes aux grandes oreilles" avant de tenter de les cuisiner.
Attention toutefois, ils sont "durs à cuire"
Si nos élus ne le savent pas encore, ils l'apprendrons
Le Guennec JCH
Écrit par : Le Guennec J.C.H | 11/01/2015
Tout a fait d'accord avec toi JCH Le Guennec,la sagemor à récupérer un pognon fou avec le port,q'elle se démerde à traitée les boues à terre et surtout pas comme a la Trinitée les rejeter en mer,d'ailleurs depuis la baie est une mer morte,plus d'huitres et de moins en moins de cocquillages,et plus de poissons!Kenavo,un Breton en colére !
Écrit par : jeanzyscan | 12/01/2015
Jeanzyscan, la mer est d'une incroyable mansuétude à l'égard de l'humanité.
En 1967, soit 2 ans avant que Quiberon ne cède Port-Haliguen dans les conditions connues de tout le monde maintenant, le pétrolier« Torrey Canyon » s'échouait du côté des Iles Sorlingues et provoquait la première marée noire. La mobilisation fut forte et pendant plusieurs années la mer se chargea de nettoyer les moindres recoins inaccessibles à l'homme.
Nous n'allons pas égrener les autres catastrophes à l'exception de l' « ERIKA » qui marqua profondément les esprits des Morbihannais et des Presqu'îliens en particulier. Ce navire- quasi épave affrété au voyage à moindre coût par la célébrissime compagnie TOTAL- transportait une cargaison ultra-polluante. Là encore, après une immense intervention humaine, la mer se chargea de nettoyer les endroits inaccessibles à l'homme.
Durant ce temps, de 1967 ( date des relevés de sondes à Port Haliguen ) à aujourd'hui , les mêmes politiques qui criaient au scandale pétrolier laissaient les enceintes portuaires s'envaser outrageusement à la Trinité et surtout à Port Haliguen..
L'argent roi encaissé en dépit du code maritime - la Bible du milieu maritime- ne fut jamais investi dans un quelconque dragage.
L'Etat puis le Conseil Général- Concédant depuis mars 1984- n'auraient-ils pas imposé à une société privée-concessionnaire- de maintenir les fonds conformément à l'article « 5 » de la concession établie en 1969 par l'Etat pour les port de Port Haliguen, la Trinité et Port en Dro.
Même là y-a-t-il une justice ? Le citoyen ne disposerait-il que de son bulletin de vote comme arme ? Qu'ont fait les municipalités de Quiberon et de la Trinité ? Plus fins, les Carnacois reprirent leur port dès 1988.
Depuis 2010- année fatale- suite à l'entreprise désastreuse que l'on connaît tout rejet de vase est interdit en Baie de Quiberon. Quelles sont les limites géographiques de la baie de Quiberon et figurent-elles dans l'arrêté préfectoral ?
Le 12 janvier 2015- sur FR3 Bretagne du soir- un membre du CG du Finistère, film d'une société bien connue à l'appui, nous disait que l'impact négatif des rejets en mer en Finistère sud avait disparu. On y voyait même des langoustines- « demoiselles du Guilvinec » frétillantes de bonheur.
Ce reportage annoncerait-il le futur dragage du chenal de Brest et du port de commerce et l'évacuation des vases?
Le problème de l'évacuation des vases est Européen. Nos amis Belges et Hollandais orfèvres en la matière nous rendraient des ports propres.
Pour cela, le PDG de la « Cie des ports » devra mettre la main au portefeuille.Il pourra toujours demander des subventions à son ami le président du CG!
Après une large concertation il est possible de trouver une zone « dépôt de dragage » dans l'Ouest de la Presqu'île, surtout qu'elle existe déjà.
Ce n'est pas le problème des Quiberonnais qui n'ont fait que subir un mercantilisme exacerbé depuis 1969.
Il est urgent d'attendre une solution qui arrivera très certainement et il est hors de question de faire de PH un centre commercial, un parking et un bassin de décantation.
Le laid ne doit plus être la signature de Quiberon.
Le port propre, je demande à nos élus une fois de plus de reprendre PH quitte à aller au clash !
A monsieur Dumoulin, maire de Auray, je conseillerais d'attendre avant de confier Saint Goustan à la « Cie des Ports » .Ils repasseront avec leur soit-disant maîtrise technique, nous en avons la preuve!
Selon le Télégramme, le Conseil Général serait d'accord et pour cause !
Jeanzycan, tu nous parles de la mortalité des huîtres .
Pour nos lecteurs on dira que les huîtres plates furent introduites par le duc de Penthièvre pour sa consommation personnelle.
Il existait autrefois un banc naturel et 2 jours par an-jusque dans les années 70- l'administrateur des Affaires Maritimes autorisait les pêcheurs à draguer en dehors des concessions. Pourquoi ce petit privilège a-t-il été aboli ?
La mortalité ne viendrait-elle pas de l'expérience des huîtres triploïdes, des émissaires du fond de la baie, des fosses septiques, des dépôts sauvages- sous St Pierre- d'huîtres mortes. Mortes de quoi ?
Autrefois, lors des épidémies de peste ou de choléra on brûlait les vêtements des malades !
Ces rejets de coquilles d'huîtres ont-ils toujours lieu ?
Jean Yves continue à manger des huîtres, c'est excellent pour la santé. Elles sont un aphrodisiaque reconnu : ne sommes-nous pas des gars de la pointe ? et une réserve d'iode importante.
Au moment de l'échouage du « TK BREMEN » tu allais régulièrement à VTT prendre d'excellentes photos.
Si tu y vas avec ta copine, évitez les galipettes dans l'herbe. Elle est pleine de dioxines en provenance de l'incinérateur. Heureusement, l'iode vous préservera peut-être d'un cancer de la thyroïde !
Les vases, Port Haliguen et l'incinérateur voilà de beaux sujets à aborder lors de la prochaine élection départementale.
Attention aux promesses !!
A bientôt
Le Guennec J C H
Écrit par : Le Guennec J.C.H | 14/01/2015
Tout ,a fait d'accord avec vous Mr Le Guénnec,les huitres triploides implantées dans la baie,par les Ostéiculteurs,sont je pense la cause de la mortalitée de toutes les huitres,pendant des Années ils ont vendus des huitres toutes l'année,en se faisant pleins de frics,et maintenant sont partis ailleurs,je reviens de la péche avec mon cousin ,et en 1h 30 de péche,ont à péchés une huitre japonaise chacun!Quand aux légumes de plouharnel,Erdeven,ils sont bourrés de dioxine rejetées par l'incinérateur de Plouharnel,je me demande méme ,comment les paysans de Plouharnel,arrivent à vendre le lait de leurs vaches ,des analyses sont elles faites ?
Kénavo
Écrit par : jy Lp | 20/01/2015
En 1963, l'administrateur de "l'inscription maritime" (au temps où cette administration dépendait encore de la Marine nationale), Jean Sauvée, s'était battu pour instaurer une "Société Coopérative Ostréicole de la Baie de Quiberon" dont les actionnaires privilégiés étaient les marin-pêcheurs du quartier d'Auray.
(J'ai encore des actions de cette société!)
Cette société a commencé à fonctionner. Jusqu'au jour où des dissensions sont survenues entre les actionnaires et les administrateurs où malheureusement des étrangers au milieu de la pêche se sont infiltrés. Le danger avait été signalé pourtant par des sociétaires. il y avait eu des discussions orageuses voire violentes lors des assemblées générales.
Le but de cette société coopérative était de gérer intelligemment et au profit de pêcheurs, le banc naturel d’huîtres plates de la Baie qui à l'époque était très étendu et abondant.
Il n'y avait pas d’huîtres japonaises et d'hybrides introduits par l'IFREMER. Cette coopérative avait pour modèle ce qui se faisait ailleurs, un peu sur le modèle des jurandes du Midi...
Ca a périclité rapidement faute d’administrateurs à poigne. Sabordée , le banc a été amodié à la fin des années 1970 puis étendu en eaux profondes dans les années 1980. Cela a un point tel que le fond de la Baie est dans les faits privatisé. N'en déplaise à d'aucuns, c'est la vérité .
Traditionnellement, les marin-pêcheurs disposaient d'un droit annuel de prélèvement par dragage, droit datant d'un décret de napoléon III (années 1860_1868) qui reprenait un droit d'ancien Régime (Louis XIV) qui autorisait ses sujets à pêcher ce qu'il leurs étaient nécessaire pour leur vie et leur bon plaisir!. De plus les huîtres étaient en droit romain "res nullius" comme les poissons d'ailleurs et appartenaient à ceux qui les ramassaient. On est loin aujourd'hui de cette appropriation! Appropriation ou privatisation que l'on retrouve avec les coquilles saint Jacques , les rigados à Gâvres, les crabes et les crevettes... Maintenant c'est au tour de la pêche aux bars de se voir confisquée par certains qui oublient les dégâts massifs qu'ils ont commis en mer.
Les délaissés d'amodiation sont eux même systématiquement dragués jusqu'à la laisse de haute mer de mi-marée. Rien n'échappe au dragage. Même la nuit!. Ce qui est grave là-dedans, c'est que les ULAM, (unités légères des affaires maritimes) sont plus portées à faire la chasse au papy ou au gamin qui ramassent quelques pétoncles ou huîtres plates. Pourquoi? parce que pas d'emmerdements, aucun risque de retour de flammes, car le gamin pêcheur, ou le papy qui trouve une coquille saint jacques , fermera sa gueule de trouille lorsqu'il est planté par l'ULAM; Tandis que ceux qui abusent ne risquent rien. Pourquoi? Parce que c'est de la politique! Et parce que ca pourrait aussi avoir des inconvénients pour mener une belle carrière. D'où leur gêne pour répondre franchement quand on écrit à leurs chefs et responsables. Car dans ce cas deux écoles s'affrontent. Celle qui consiste à confisquer les libertés maritimes des uns au profit de quelques uns et celle, plus républicaine qui consiste à conserver à chacun l'accès libre et égal aux ressources dans des limites raisonnables...
C'est un problème réellement politique! Peu a peu, si on n'y prend pas garde, tout l'accès à la côte, la pêche dite "de loisir" sera tellement contrôlée suspicieusement que finalement elle en sera criminalisée. Toutes ces dérives pseudo-administratives deviennent terriblement dangereuses: D'un espace de liberté , on va nous en faire un goulag... Il ne faut pas laisser faire.
Écrit par : Patrick LUCO | 20/01/2015
Merci messieurs. c'est vrai qu'il y avait un banc d'huitres sauvages et la baie était encore libre. Les ostréiculteurs continuent à draguer au ras de la côte la nuit aux grandes marées et de jour les arrêtés d'interdiction pleuvent pour nous empecher d'aller avec nos enfants à la peche à pied.
Les huitres ont colonisé les rochers étouffant les berniques et le varech
Nos enfants ne peuvent même plus jouer dans les mares et les CRS ne sont plus là pour réparer les coupures.Mes fidèles locataires ne viennent plus car ils refusent d'aller sur les plages trop fréquentées de Saint Pierre.
Veulent-ils faire mourir le tourisme? Les locations ont payé une partie de ma maison. Tout le monde n'est pas riche mais tout le monde a le droit de vivre et même de survivre.
Écrit par : Jo | 15/01/2015
Tout pue dans ce réaménagement de Port Haliguen ! Rien n'est clair...
- Des études bâclées, avec un avant projet sommaire inexistant.
- Une étude préalable même pas contradictoire.
- Des choix bizarres et très hâtifs.
- Une étude environnementale manifestement incomplète qui entraine des doutes de la part du préfet de région.
- Un glissement du calendrier de réalisation
- une valorisation des travaux sans doute discutable
- une concertation restreinte à quelques uns par copinage entre incompétents. Qui a été "concerté"? Hein? Je vous le demande! Merci l'APPH! et quelques autres de la Cour!... Une équipe municipale discréditée qui a ruiné Quiberon avec les emprunts Dexia basés sur le Franc suisse? Ils ont été virés!... Pour tous vos choix: Les Quiberonnais de souche ou de coeur vous remercient!...
- une absence d'emprise réelle sur les affaires municipales des responsables municipaux qui "n'osent" même pas contester les choix en conseil municipal faute de connaissances sur le dossier global ou des dossiers particulier alors qu'il va y avoir un impact énorme sur les biens de riverains et sur tout les alentours. Quand les travaux vont commencer ce sera trop tard.
- une absence d'études d'impact sur les conséquences sociologiques, touristiques, environnementales, patrimoniales, architecturales pour Quiberon... et j'en passe!
- les choix sur les traitements des vases et leurs dépôts vont entraîner une modification drastique d'un paysage touristique majeur.
- on ne nous dit pas non plus que ce Port Haliguen va devenir dans les faits un ghetto... Voilà comment on nous pourrit "notre Quiberon"
etC...etc...
On a du souci à se faire pour la qualité de vie à Port Haliguen... et même à Quiberon.
Écrit par : Patrick LUCO | 20/01/2015
Bonjour à tous les rédacteurs.
Je partage entièrement vos dires sur l'état de la baie de Quiberon.
Reprenez tout cela en main avant qu'il ne soit trop tard.
Oui il existait un très grand banc d'huitres sauvages et monsieur l'administrateur Jean SAUVE était visionnaire et proche des inscrits maritimes et non des parqueurs inscrits à la mutuelle paysanne.
A vouloir gagner rapidement du blé certains ostréiculteurs- heureusement pas tous- ont fait appel à des sorciers payés par l'Etat ( càd nous et nos impôts).
Bilan il ne reste plus une huitre dans la baie.
Et le tourisme là-dedans?
Voici un lien qui dresse le bilan!
http://mobile.agoravox.fr/actualites/environnement/article/l-ifremer-assignee-en-justice-par-161304
Tout cela est une affaire de politiques juste bons à se faire élire
Écrit par : Vigie | 22/01/2015
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