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05/01/2015

Aujourd'hui, on peut choisir ses amis !

La Gauche et les Verts ont perdu "définitivement" la confiance des électeurs...

Thibault Grollemund et Simone Ansquer.jpg

 

 

Cécile Duflot, son point de vue sur la loi Macron.jpg

Dans les "avatars" de Bécassine, le passage au Conseil municipal de Saint Pierre Quiberon, sous la Direction de Geneviève et du Père François fut calamiteux...Pour une employée de la Chambre d'Agriculture, ressusciter des vocations agricoles est une rêve, brisé par le rejet du PLU local, par la nouvelle équipe... La revanche tient dans une alliance bancale (elle reste toujours célibataire !) entre des fonctionnaires, des employés sociaux et une "modeste" plume, qui donne dans le polar de Prisunic...

Si au niveau local, l'équipe socialiste a été balayée lors des dernières municipales, il reste "des croyants", bernés par un Président, qui cherche à colmater les fuites d'eau, une ancienne épouse, qui agite sans cesse le chiffon vert, et une fausse "égérie", qui se croit investie, comme Hulot, d'une mission "extra-terrestre"...

C'est dire, qu'avant l'ouverture des cantonales 2015 dans le canton de Quiberon, Bécassine fera de la figuration, alors que les électeurs l'ont déjà renvoyé à l'écurie à plusieurs reprises...

Le contexte "national" et "départemental" a déjà "savonné" la planche électorale, pour ceux qui penchent à gauche, avec une "gonflette écolo" !

La "qualification" de Gauche est un handicap "définitif"...


 

Départementales 2015, canton de Quiberon, rassemblement à gauche

 

Télégramme du  5 janvier 2015

 

 

 

 

Au centre Thibault Grollemund, Simone Ansquer, et leurs suppléants Claudine Salaün-Danigo et Alain Bonnec.

 

 Ils s'étaient déclarés il y a quelques jours. L'équipe « divers gauche » qui s'attaquera au bastion traditionnellement marqué à droite du nouveau grand canton de Quiberon affiche une union combative. Thibault Grollemund, Simone Ansquer, et leurs suppléants Alain Bonnec et Claudine Salaün-Danigo présenteront leur programme d'ici la fin janvier.

 

 Thibault Grollemund et Simone Ansquer porteront l'étiquette « divers gauche ».

 

 Et s'ils ne sont pas personnellement encartés, ils sont soutenus par le parti socialiste. Dans ce canton élargi redessiné, où les anciens cantons de Quiberon, Belle-Ile et Belz (soit seize communes et 33.700 habitants) font maintenant scrutin commun, ils ont voulu jouer l'unité.

 

 Ainsi Alain Bonnec, encarté à Europe Ecologie Les Verts, et Claudine Salaün, encartée au PS, complètent géographiquement et politiquement l'équipe.

 

 « Nous sommes des gens sensibles à la vie publique et à la citoyenneté, insiste Thibault Grollemund. Elus de terrain, nos compétences et nos parcours personnels sont complémentaires.

 

 Nous nous engageons d'abord pour notre territoire.

 

 Nous tenons à nous impliquer dans les réformes engagées avec cette couleur du rassemblement ».

 

 Les titulaires

 

 Thibault Grollemund, 32 ans, géographe de formation, travaille à la Poste. Premier adjoint du maire Frédéric Le Gars à Le Palais, en charge de la culture, de la communication, du patrimoine et du personnel communal. Vice-président du Syndicat mixte du pays d'Auray en charge des dossiers des fonds européens pour la pêche, la qualité de l'eau, et les questions relatives à la façade maritime, et notamment le transport maritime

 

 Simone Ansquer, 54 ans, est conseillère emploi-formation à la Chambre d'agriculture. Romancière, responsable associative. Conseillère municipale majoritaire à Saint-Pierre-Quiberon, de 2001 à 2014 en charge notamment de l'économie, le tourisme et le sport.

 

 Les suppléants

 

 Alain Bonnec, 62 ans, est un cadre informatique à la retraite. Élu à Erdeven de 1995 à 2014 (conseiller municipal majoritaire de 1995 à 2001 et adjoint au maire de 2001 à 2008, conseiller municipal minoritaire de 2008 à 2014).

 

 Claudine Salaün-Danigo, 60 ans, secrétaire en gestion de maison de retraite. Tête d'une liste municipale en 2008 à Belz. Ancienne secrétaire de la section PS de Belz.

© Le Télégramme - Plus d’information sur http://www.letelegramme.fr/morbihan/auray/departementales-canton-de-quiberon-rassemblement-a-gauche-05-01-2015-10481839.php

 

 

Cécile Duflot, mettre en échec la loi Macron est un devoir

 

JDD.fr du 4 janvier 2015

 

Cécile Duflot (EELV) critique la politique écologique de François Hollande et fait de la "mise en échec" de la loi Macron "un devoir". Ce texte serait un recul "dramatique", affirme l'ex-ministre du Logement (2012-2014).

 

 

 

 

Cécile Duflot, samedi à Paris. (Jérôme Mars pour le JDD)

 

"Il se fait tard pour la planète. Tout le monde s'accorde à dire que, pour notre avenir commun, 2015 doit être l'année de l'écologie. Alors que 2014 a été l'année la plus chaude, l'urgence est de passer à l'action pour le climat. C'est aussi un moment de vérité : l'heure n'est plus aux grands discours contredits par les actes.

 

Le gouvernement démarre cette année avec un texte paré des atours de la modernité. La loi Macron serait un 'coup de jeune pour la France'. Nous ne pouvons laisser faire un tel tour de passe-passe idéologique. Parce que lorsque l'on cède sur les concepts, on prépare toujours des concessions majeures. Non, la loi Macron n'est pas moderne. Elle est même d'un certain point de vue un grand bond en arrière, une occasion manquée de changer de modèle.

 

Beaucoup de critiques, souvent justes, ont ainsi pointé les risques sociaux du texte. Mais chose peu dite, ce projet de loi peut également marquer un net recul écologique du quinquennat. Après les timides avancées de la transition énergétique et l'abandon de la taxe poids lourds, ce pas en arrière serait dramatique. Alors qu'en 2015 la France s'apprête à accueillir la conférence mondiale décisive sur le climat, notre pays se doit d'être exemplaire. Or ce texte vient fragiliser le modèle environnemental français, déjà en retard.

 

Une lecture attentive du texte provoque une grande inquiétude chez les défenseurs de la nature. Une partie du projet de loi vise à 'simplifier' le droit de l'environnement. Alors que le dialogue avait été prôné lors de la conférence environnementale, il s'agit là d'un passage en force. La simplification est parfois nécessaire, je l'ai moi-même menée. Mais la méthode ici proposée est dangereuse. Elle permet d'alléger par ordonnances toutes les mesures du code de l'environnement qui viendraient soi-disant gêner l'activité et la croissance. Or le droit de l'environnement est justement un droit de protection face à la logique de marché qui a trop souvent sacrifié notre avenir pour des profits de court terme. S'il peut finalement être démantelé sur l'autel de l'activité, qu'en restera-t-il demain? Tous les défenseurs de l'environnement le savent, il y a toujours une fausse bonne raison liée à la croissance pour sacrifier une zone naturelle ou contourner des réglementations écologiques.

 

Par ailleurs, le texte porte aussi atteinte à la transition énergétique française. Après avoir envisagé de valider l'enfouissement des déchets nucléaires, le texte contient finalement des dispositions pour encourager l'exportation de centrales nucléaires. En prônant le transport par car, elle va renforcer le transport routier, premier facteur d'émissions de gaz à effet de serre. Certes, lorsqu'il n'existe pas d'autres alternatives, certaines lignes peuvent être nécessaires. Alors que cela fait des années que l'urgence commanderait d'améliorer les réseaux ferrés secondaires, ce texte organise la concurrence entre le rail et la route. En somme, au nom d'une certaine idée de la croissance, ce texte rompt avec des années d'amélioration progressive du droit en faveur de l'environnement.

 

En dépit de l'affichage de bonnes intentions vertes, le gouvernement a le tort de mener une course sans fin à la croissance, accrochée à un modèle périmé. À cette cécité écologique s'ajoute un renoncement social. Ainsi, le travail du dimanche, véritable régression et menace pour la cohésion sociale, est proposé sans être capable d'en mesurer l'impact économique. En facilitant le licenciement et en affaiblissant le code du travail, cette loi prend le risque à court terme d'accroître le chômage. En matière de logement, elle encourage les pratiques spéculatives de 'la vente à la découpe', qui menace les locataires aux faibles revenus.

 

'Moderniser', disaient-ils… Au final, le texte baptisé loi pour l'activité et la croissance, porté par Emmanuel Macron, est en fait un catalogue fourre-tout de vieilles idées des années 1980 enfouies dans les cartons de Bercy. Leur prétendue modernité est un recul. À la vérité, on tourne le dos à la modernité dont notre pays a besoin. La modernité réelle serait d'inventer un nouveau modèle social écologique, capable de répondre aux deux grands défis de notre époque : le dérèglement climatique et la montée des inégalités. La lucidité oblige à constater que ce texte emprunte le chemin inverse. C'est pourquoi mettre en échec cette loi est un devoir pour tous ceux qui ont encore de l'espoir et veulent inventer le siècle qui vient. Parce que parfois, le sursaut se fonde d'abord sur un refus."

 

 

 

 

François Hollande sur France Inter

 

5 janvier 2015

 

7h45 - "Il y a toujours plusieurs chemins"

 

Interrogé sur le fait de savoir s'il a emprunté le "bon chemin", François Hollande répond : "Il y a toujours plusieurs chemins, c'est essentiel dans la vie politique pour que la démocratie existe." "Est-ce que j’ai pris le bon chemin ? Nous verrons à la fin, parce qu'un chemin, c'est là où il conduit et je fais tout pour que la France soit plus forte et plus juste à la fin de mon quinquennat". Pour François Hollande, qui cite notamment l'entrée en vigueur du compte pénibilité au 1er janvier,"un chemin de gauche", c'est un chemin qui fait en sorte que nous puissions donner autant de force qu'il soit possible à notre économie sans mettre en cause les valeurs républicaines et le modèle social".

 

La politique menée est-elle en adéquation avec la campagne de 2012 ? "J’ai fait un choix dans la campagne, celui de dire : 'nous allons tout donner pour l’emploi'. Et aujourd’hui je devrais dire 'puisque je ne l’ai pas dit je ne le ferait pas ?' Mais il y a trop d’urgence !", se justifie François Hollande.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Commentaires

Regardez les bien!
ce sont ces gens là qui sont à l'origine du marasme économique, et du malaise sociétal des jeunes et moins jeunes:
ce sont de facteurs de pauvreté générale.
Ces socialistes et affidés , de par leur connerie propre ne se rendent même pas compte du mal qu'ils causent.
Quand on les verra en tournée dans le secteur pour vendre leurs idées nocives et délétères ce sera une bonne occasion de leur mettre des mandales à ces salopards...

Écrit par : Di Bangala | 05/01/2015

Socialistes, communistes et droite locale et départementale sont à mettre dans le même panier.
Où est la DEMOCRATIE quand Goulard fait occuper les fauteuils vacants par des fonctionnaires départementaux pour éviter que des "mal pensants" assistent au vote à main levée de la nouvelle DSP attribuée à la Compagnie Océane pour la desserte des îles?
Est-ce démocratique de mettre sa maîtresse, ses fils, ses amis à des postes souvent créés pour eux et où ils n'ont aucune compétence. Exemple: classement des menhirs au patrimoine mondial!

NEPOTISME quand tu nous tiens!!!

Madame Taubira veut vider les prisons.
Quelques malheureux voleurs de poules, emprisonnés parce qu'ils avaient faim, laisseraient volontiers leurs places à cette racaille qui ne se rend même pas compte du mal qu'elle fait mais qui se désolera aux prochaines élections du fort taux d'absentéisme.
Marine,la fille de Jean Marie, deviendra-t-elle prophète dans le pays de son père?

Par notre vote, commençons par les mettre dehors avant de les mettre dedans. Dépoilés de leurs mandats, les protections tomberont d'elles-mêmes et ils seront jugés comme tous simples citoyens!

Écrit par : RE ZO RE | 05/01/2015

4 nullités moins pire que leurs maitres à 3 points

Écrit par : Fredo | 05/01/2015

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