13/03/2014
Maison de retraite à Saint Pierre Quiberon ?
François Dubois, pour le maintien "à domicile", Laurence Le Duvéhat pour un Centre d'hébergement temporaire au Celtic !
Le Père François recule, dans ses écrits, sur une Maison à Kerhostin, malgré les gesticulations dans le PLU d'une zone réservée ! Au fond pour lui, mieux vaut une "Halle couverte" à cochons (rue Curie, où donc ?) et une tour de 10 étages à la place du Celtic pour loger Mairie, Police municipale, ADMR... et autres babioles crypto-administratives... avec un bail emphytéotique de 52 ans pour construire en sus des logements sociaux...
Les "vieux", c'est pas son truc ! Il préfère les "petits" au Cocon de la Baie...
Lolo, médecin généraliste, est quand même plus crédible, déjà engagée dans le CLIC à Auray ! Ce qui est gênant, c'est le terme d'hébergement "temporaire" pour personnes âgées...mais le projet serait bien situé en Centre-ville et pratique pour les résidents. L'hiver, ils auraient une vue plongeante sur le double-huit de Madame G (pratique pour le scrabble) , sur le HLM Centre-ville et le distributeur de billets...
Un premier pas avant la reconversion de l'ENV en Ensemble National de la Vieillesse !
Ehpad, un besoin de 38.000 lits en Bretagne d'ici 2040
Télégramme du 13 mars 2014
Yvon Corre
Avec actuellement un peu plus de 39.000 lits en Ehpad, soit une moyenne de 20 lits pour 100 personnes âgées de 80 ans et plus, la Bretagne se situe aujourd'hui parmi les régions les mieux dotées. Sans que, pour autant, cela soit suffisant.. Photo archives Le Télégramme
La Bretagne n'est pas la région la moins bien dotée mais il faudra quand même, selon une étude de Cap retraite, augmenter de 40 % le nombre de lits en Ehpad d'ici 2040, pour faire face au vieillissement de la population.
À l'horizon 2040, le nombre des plus de 80 ans va augmenter de 97 % en Bretagne. Ils seront près de 400.000. Autant dire que les besoins en maisons de retraite seront très grands, même si l'âge auquel on y entre ne cesse de reculer (85 ans aujourd'hui). Ces besoins, l'Observatoire Cap Retraite vient de les évaluer précisément par région et par département. Un travail qui, jusqu'à présent, n'avait jamais été fait. L'état des lieux d'abord : avec un peu plus de 39.000 lits en Ehpad, soit une moyenne de 20 lits pour 100 personnes âgées de 80 ans et plus, la Bretagne se situe aujourd'hui parmi les régions les mieux dotées. Sans que, pour autant, cela soit suffisant. À titre de comparaison, la Haute-Normandie n'en offre que 11 pour 100 et le Nord-Pas-de-Calais 13 pour 100, la moyenne nationale étant de 16 pour 100.
Disparités
Mais entre les départements bretons, les disparités sont assez grandes. Avec 22 lits pour 100 personnes, les Côtes-d'Armor et le Morbihan ont l'offre la plus importante. Le Finistère n'en propose par contre que 15.
La Bretagne a, par ailleurs, un taux de médicalisation des structures d'hébergement relativement élevé (81 %) mais, là aussi, il existe des écarts notables entre les départements. Cette part est de 89 % dans le Finistère et de 84 % dans les Côtes-d'Armor, alors qu'elle n'est que de 69 % dans le Morbihan, soit moins que la moyenne nationale (76 %). Un constat qui n'est pas sans importance quand on sait que les maisons de retraite accueillent de plus en plus de personnes dépendantes. Pour répondre aux besoins dus à l'évolution démographique, l'Observatoire Cap Retraite estime qu'une croissance de l'offre en maisons de retraite de 1 à 1, 5 % par an pourrait être suffisant en Bretagne, sachant que les progrès en matière de maintien à domicile devraient permettre d'absorber une partie de l'accroissement de la demande. D'ici 2040, cela fait quand même 38.000 lits supplémentaires. L'effort le plus important serait à réaliser par le Morbihan. Si ce département veut conserver son ratio actuel (22 lits pour 100 personnes), il devrait créer plus de 12.000 lits.
Un tarif moyen de 1.586 € en Bretagne
Ce que confirme aussi cette étude, c'est l'inadéquation entre les revenus des foyers et les tarifs en Ehpad. Sur l'ensemble de la France, le tarif moyen est de 1.769 € par mois pour un revenu moyen par foyer de retraités de 1.617 €. Un financement extérieur est donc quasiment toujours nécessaire. La Bretagne fait cependant partie des régions où le coût moyen de l'hébergement reste inférieur - de peu certes - aux ressources moyennes. Il est précisément de 1.586 € pour des revenus de 1.604 €. C'est le Finistère qui propose le tarif moyen le plus bas (1.464 €) et c'est en Ille-et-Vilaine où il est le plus élevé (1.708 €). En région PACA, un séjour en Ehpad revient à plus de 2.000 € par mois pour des revenus quasiment équivalents aux revenus bretons.
Commentaires
c'est vrai que toi c'est un internement, pardon un hébergement de longue durée qui te guette
Écrit par : jamie | 13/03/2014
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