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06/01/2014

Une abstention délicate pour le Père François !

Cadres et jeunes veulent "sanctionner" la Gauche ! et ceux, qui font déclaration sur blog !

Fallait-il qu'il s'embarque dans cette galère ?

Les journalistes constatent que la campagne électorale n'est pas encore commencée... ici, à Saint Pierre on peut même dire qu'elle "merdoie" dans des considérations crypto-municipales, selon l'inspiration du jour et sans aucune "vue" d'avenir ! Le blog du Père François est encore plus triste que le personnage, ennuyeux, mal fagoté et avec des prétentions d'instituteur à la retraite...

Madame G, au mépris du Code électoral, se permet de livrer sa pensée, toujours positive !

Les "biscuits" manquent. Il est temps d'organiser des "meetings" électoraux au CC pour vérifier "les muscles" !


Municipales, l'abstention pèsera lourd
JDD du 5 janvier 2014

SONDAGE - 35 % des Français affirment, selon l'Ifop, qu'ils n'iront pas voter en mars. Une personne interrogée sur quatre veut sanctionner le gouvernement. De mauvais augures pour le PS.
Dans soixante-dix-huit jours, les Français reprendront la parole. Ce sera la première fois depuis les élections législatives de 2012. Un premier rendez-vous électoral d'une année 2014 qui en comptera trois. Après les élections municipales (23 et 30 mars) suivront les européennes le 25 mai et les sénatoriales à la rentrée, probablement le 28 septembre.

Scrutin local par définition, les élections municipales ne seront évidemment pas déconnectées du contexte national. La gauche, qui gère la plupart des grandes villes, jouera très gros au printemps. Même si aucun ministre ne sera tête de liste, l'exécutif sera sous pression. Comme toujours lors des élections intermédiaires, la participation sera déterminante, notamment pour les nombreux maires socialistes sortants.

Selon le premier indice de participation mesuré par l'Ifop pour le JDD, 35 % des Français interrogés déclarent vouloir s'abstenir. C'est-à-dire un demi-point de moins que lors du premier tour des élections municipales de 2008. À l'époque, cela avait déjà constitué un record d'abstention dans ce type de scrutin. "Les Français ne sont pas encore entrés dans les municipales, relativise Frédéric Dabi, directeur général adjoint de l'Ifop.

On a 65 % de participation en début de campagne. Cela peut progresser." Dans l'enquête de l'Ifop, on retrouve un clivage générationnel : 56 % des jeunes annoncent vouloir s'abstenir, contre seulement 20 % chez les plus de 65 ans ; 48 % des ouvriers déclarent ne pas vouloir voter, contre seulement 33 % chez les cadres ; plus inquiétant pour la majorité, la tentation de l'abstention est plus forte à gauche (41 %) qu'à droite (29 %). Mais le fait politique, c'est incontestablement la très forte mobilisation des sympathisants du Front national : 78 % iront voter. Les électeurs de Marine Le Pen sont donc plus mobilisés que ceux de l'UMP. On comprend mieux pourquoi l'UMP ne parle plus de "vague bleue", selon la formule chère à Jean-François Copé.

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