25/10/2013
L'enjeu des prochaines municipales ?
Le "ratage" de la rénovation du Centre-ville de Saint Pierre Quiberon n'est pas une fatalité !
La "boite à outils" de Madame était pourtant bien remplie avec un axe Ouest-Est à amplifier et une place de marché à rénover... malheureusement la pression des commerçants du "centre" actuel" de Saint Pierre, le manque de volontarisme des élus, enclins au conservatisme le plus éculé ont abouti à une réalisation "coûteuse" et stupide, terminée par le chaos du sens de circulation...
Le Père François, les élus ont accentué le dépérissement de la Cité en construisant un HLM, sans magasin, en installant sur la Place du marché des activités "tertiaires" (Office du tourisme, police municipale, Gestion sociale), qui n'ont aucune intérêt alimentaire... Le marché du jeudi, qui est pourtant un exemple réussi d'animation commerciale, manque de place pendant la saison...
Le bourg est en train de "crever", avec la fermeture probable de la Poste en haut de l'Avenue du Général de Gaulle et l'envahissement par des commerces futiles, qui occupent aujourd'hui d'anciens commerces alimentaires...
Le terrain du Celtic pourrait servir à améliorer cette place du marché, en rasant l'immeuble immonde da la supérette actuelle ! bref, un urbanisme commercial, digne de ce nom, est le seul moyen aujourd'hui de sauver les derniers commerces de Saint Pierre !
L'équipe de Laurence est certainement la seule à pouvoir proposer du "neuf" pour l'aménagement du Bourg de Saint Pierre !
La grande mue commerciale des centres-villes
Le Figaro du 25 octobre 2013
Concurrencés par les malls de périphérie, les cœurs commerçants se rétrécissent et se modernisent.
OLIVIA DERREUMAUX
Un centre-ville réduit à sa plus simple expression. C’est ce qu’ont pris l’habitude de trouver les habitants de Béziers au moment de faire leurs emplettes. Dans cette commune héraultaise de 70 000 habitants, le taux de vacance commerciale dans le centre-ville atteint en effet 22 %, avec des rues totalement vidées de leurs commerces en l’espace de deux ans. Seule l’artère principale, la rue de la République, arrive à se maintenir à flot, avec des enseignes, comme les Galeries Lafayette, Du Pareil au Même, Nocibé, Foot Locker ou Naf-Naf. Même constat dans le centre-ville de Châteauroux, où la rue Victor-Hugo est la seule à garder un pourcentage élevé d’enseignes.
Ce phénomène de désertification des centres-villes des petites et moyennes agglomérations est décrypté par la fédération pour l’urbanisme et le commerce spécialisé (Procos) dans le premier volet d’une vaste étude sur l’évolution du commerce dans les centres-villes entre 2001 et 2013. Moins de commerces, avec une activité qui se concentre sur quelques rues piétonnes, mais aussi « plus de concurrence et une tendance à la spécialisation de l’offre », souligne Pascal Madry, directeur de la fédération.
Les commerces d’équipement de la personne (textile, chaussures…) résistent mieux à cette rétraction de 2,2 % du cœur des cités en douze ans. Elles y représentent désormais près d’un commerce sur trois. Tout comme les commerces de l’hygiène-beauté-santé (Nocibé, Sephora, Yves Rocher…), qui progressent partout, quelle que soit la taille des villes, jusqu’à atteindre 15 % dans les agglomérations de moins de 50 000 habitants. Ce phénomène résulte de la prédominance des enseignes nationales dans le cœur des villes (35,7 % de l’offre, contre moins de 28 % il y a dix ans).
Certaines chaînes ont bien sûr cédé elles aussi aux sirènes des grands centres commerciaux de périphérie, dont les promoteurs font tout pour siphonner la clientèle traditionnelle des centres-villes. Mais elles sont les mieux armées pour résister à la hausse des coûts locatifs dans les emplacements les plus attractifs, de plus en plus rares. Les commerçants indépendants sont, eux, relégués dans les rues adjacentes. « Ces artères parallèles ont évolué vers un positionnement plus “faubourien”, avec la présence de commerces de proximité et de services », ajoute Procos.
Face à ce phénomène, plusieurs agglomérations ont pris le taureau par les cornes. Aucune des petites ou moyennes villes n’a encore trouvé la formule magique pour contenir le phénomène. « Par contre, certaines villes moyennes ont mis en place, avec succès, des politiques volontaristes de mobilité et d’aménagement urbain, avec refonte des voiries et des trottoirs, modernisation de l’accessibilité en voiture, et développement des transports », rassure Michel Pazoumian, directeur général de Procos.
C’est le cas d’Orléans, de Tours, de Rouen, d’Angers ou Strasbourg. En empêchant la multiplication des extensions de surfaces des super et hypermarchés de périphérie, Valence a aussi inversé la tendance.
Les villes moyennes à haut pouvoir d’achat et à forte attractivité touristique maintiennent un centre dynamique, tels Deauville, Saint-Jean-de-Luz ou Aix-en-Provence.
« Cette modernisation des centres-villes va nécessairement entrer dans les enjeux des campagnes municipales de 2014, pronostique Michel Pazoumian. Il n’y a pas de secret, quand les élus s’impliquent et qu’on investit, les centres-villes résistent. »
Commentaires
Tu t'y verrais bien sur cette liste!!!
Écrit par : JPD | 25/10/2013
Plusieurs question :
DE QUELS COMMERCES FUTILES PARLEZ VOUS ?
"Laurence" a-t-elle l'argent pour racheter la superette afin de la raser ? et n'importe comment, où voyez vous que le terrain de la superette soit contigu au celtic. Il vous faudrait aussi abattre la maison entre ces 2 batiments
un maire a-t-il le droit de construire des boutiques ?
Si le hlm n'était pas la, combien y aurait-il d'élèves dans les écoles ?
Écrit par : connie la crevette | 25/10/2013
Les remarques de Connie semblent pertinentes?
Qu'as-tu à y répondre, JBH?
Écrit par : JPD | 26/10/2013
le" hml" permet à plusieurs familles d'avoir un logement,pas de probléme pour toi,maison,bateau,voiture,mais fais tu tes courses à St pierre Quiberon?Entiérement d'accord avec "Connie"qui connait beaucoup de chose sur la presqu"ile,comme moi qui y suit né il y à 63 ans,toi tu ne connais rien de notre presqu"ile,aqlors au lieu de raconter des conneries ,tais toi,un cheminot qui à fait des millions de km sur les rails de France!
Écrit par : jeanzyscan | 26/10/2013
Vos raisonnements sont absurdes. Comment pouvez vous comparer St Pierre à Angers, Orléans, tours etc...
Il faut comparer ce qui es comparable ?
Mais plus je vous lis plus je pense que vous vous complaisez dans cette absurdité.
Écrit par : le mari de connie | 26/10/2013
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