UA-69286360-1

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

23/09/2013

La Qualité, un critère "accessoire" ?

De l'enterrement, en passant par le "cordon bleu", à la visite "sans prix", le "brouillard" volontaire s'installe, en enlevant au consommateur l'intelligence de la "décision" !

Cette découverte économique au 17ème siècle de l'importance des choix de l'individu est aujourd'hui "niée" au sommet de l'Etat. Faute de ressources, la Sécurité Sociale creuse chaque année un peu plus le trou sans fond de l'équilibre budgétaire et condamne des millions de contribuables à payer "un supplément" pour maintenir en état d'hypnose les malades, qui s'ignorent...

Le "tiers payant", imposé aux praticiens avant 2017, est une maladresse de plus des "gauchistes", qui nous gouvernent, qui conduira le corps médical à réviser ses choix électoraux pour la Présidentielle !

Sans repère financier, le consommateur médical augmente inexorablement sa "consommation", en pratiquant le "vagabondage" et le "gâchis" en terme de quantité de travail ! Entre deux praticiens, la qualité ne paye plus ! La "médiocrité s'installe, ainsi que les déserts médicaux, obligeant la Direction à "subventionner" l'activité médicale...

Le phénomène se répète au bout de la chaîne, dans le "low cost" des obsèques, le défunt n'ayant aucune possibilité de réclamer...

Quant au "cordon bleu", fabriqué avec de la viande séparée mécaniquement, pour des raisons de coût de main d'œuvre, il subit à son tour la descente aux enfers classique : moins de qualité se répercute sur les chiffres de vente, et tout ceci parce qu'une découpe à la main permet de "trier" les morceaux selon leur qualité...

Le "trou" de la Sécu est un phénomène "structurel" ! Les "plombiers" de Gauche et de Droite ont besoin d'un "rafraichissement" intellectuel et économique !


Eco Plus Funéraire, l'enterrement low cost
Télégramme du 23 septembre 2013

Un nouvel acteur est présent dans le domaine des obsèques depuis le 17 juin. Eco Plus Funéraire a ouvert ses portes avenue Victor-Hugo. La particularité de cette enseigne est de proposer des prestations et du matériel à bas prix, aux familles qui doivent enterrer un défunt. C'est Armelle Nivoix, sa fille et son gendre Magali et Olivier Robic, qui gèrent l'établissement.

Prix d'entrée à 1.250 €
Armelle Nivoix travaille dans ce secteur d'activité depuis plus de 30 ans. La famille gère deux autres établissements funéraires, du groupe Le choix funéraire, à Baud et Locminé. Eco Plus Funéraire est une marque de ce groupe. Le directeur général était présent jeudi 12 septembre, à l'inauguration de la boutique. C'est la neuvième boutique du genre qu'il ouvre en France et la première en Bretagne. « Nous nous sommes rendu compte que tout le monde n'a pas 3.200 € à mettre dans un enterrement, ce qui correspond au prix moyen des obsèques. En faisant des achats groupés et en proposant une gamme réduite de cercueils, plaques, urnes... on diminue fortement les coûts. Notre prix d'entrée est à 1.250 € », explique Philippe Martineau. La formule ne séduirait pas que les familles au budget restreint, elle toucherait également un public urbain, désireux de faire dans la simplicité. « C'est pour cela que nous nous sommes installés à Vannes. Il y a une demande et nous y répondons. À l'avenir, nous comptons installer aussi des Eco Plus Funéraire à Brest, Saint-Brieuc et Rennes ».
Pratique Eco Plus Funéraire, 46, avenue Victor-Hugo. Ouvert du lundi au vendredi, de 9 h 30 à 12 h et de 14 h à 18 h. En matinée, le samedi. Tél. 02.97.66.16.16.

Agroalimentaire, viande ou pas viande ?
Télégramme du 20 septembre 2013

Long débat d'experts, scientifiques et juridiques, autour de la viande, hier au tribunal. À la barre, la société Celvia, basée à Saint-Jean-Brévelay, et Soprat, filiale de Doux, à La Vraie-Croix. Leur faute présumée ? Avoir trompé les consommateurs, sur la composition de plats préparés à base de volaille. Pour faire simple, plusieurs contrôles sanitaires, en 2011 et 2012, ont montré que ces produits (nuggets, cordons bleus...) contenaient de la viande séparée mécaniquement (VSM), alors que le seul terme de viande apparaissait sur les étiquetages. Or, selon une directive européenne de 2001, le consommateur doit être légalement averti de la présence de cette VSM, notamment « en raison de ses faibles valeurs nutritives ».En effet, il s'agit d'une pâte obtenue, par l'enlèvement de la viande des os couverts de chair, après le désossage des carcasses de volailles, à l'aide de moyens mécaniques entraînant la destruction de la structure fibreuse des muscles. Cette définition de la technique utilisée pour extraire la viande des carcasses oppose depuis plusieurs mois l'administration aux industriels.

« Désordre judiciaire »
Ceux-ci l'utilisent beaucoup, notamment dans le contexte actuel. « Il faut aujourd'hui tout valoriser, explique un dirigeant de Celvia. Les abattoirs doivent aller chercher chaque dixième de centime pour pouvoir continuer ». Sortant devant les juges des produits résultat de séparation mécanique, les industriels défendent la qualité de leur travail et des process de haute qualité. À l'image de Celvia, ils préfèrent parler de « viande gros grain » : grâce à des procédés modernes, la fibre musculaire n'est pas broyée, un des trois critères d'identification de la VSM, et pourrait prétendre à l'étiquetage « préparation de viande ».Seulement, la France et l'Europe sont toujours en discussion sur ce point à ce sujet, l'Europe considérant que « gros grain » ou pas, il s'agit bien de viande séparée mécaniquement, alors que l'usage français pense l'inverse. « Un désordre judiciaire, ou chacun fait ce qu'il veut en Europe », a déploré l'avocat de Celvia, alors que le procureur a demandé des peines d'amende. Les affaires ont été mises en délibéré en novembre.

Le tiers payant chez le médecin sera généralisé d'ici 2017
Nouvel Observateur du 23 septembre 2013

"Quand vous irez voir votre médecin, vous n'aurez plus à avancer le prix de la consultation", explique la ministre de la Santé. Cette mesure sera d'abord disponible "pour les ménages aux revenus modestes".

Marisol Touraine doit détailler lundi la stratégie nationale de santé du gouvernement. (LCHAM/SIPA)
Le tiers payant, qui permet de ne pas avancer l'argent d'une consultation chez le médecin, sera généralisé en 2017, annonce la ministre de la Santé Marisol Touraine dans un entretien au quotidien "Libération", publié lundi
.
"D'ici à 2017, quand vous irez voir votre médecin, vous n'aurez plus à avancer le prix de la consultation" et "dès la fin de l'année prochaine", le tiers payant sera ainsi possible pour les ménages aux revenus modestes", indique la ministre, dont les propos ont été confirmés par son entourage.

Marisol Touraine doit détailler lundi la stratégie nationale de santé du gouvernement. Cette proposition de généraliser le tiers payant pour les consultations chez des médecins du secteur 1 (ne pratiquant pas de dépassement d'honoraires) figure dans le rapport du comité des sages présidé par Alain Cordier, ancien directeur de l'Assistance publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP).

Actuellement, le tiers payant est octroyé seulement aux bénéficiaires de la CMU-C (couverture maladie universelle) et de l'AME (Aide médicale d'Etat). Le tiers payant, qui se pratique déjà en pharmacie, permet au patient de ne pas avancer l'argent de la consultation, remboursée directement au médecin par l'assurance maladie et la complémentaire. Si certains syndicats sont tout à fait favorables à cette pratique, à l'image de MG-France, principal syndicat de généralistes, d'autres sont plus sceptiques, pointant les difficultés techniques de mise en oeuvre.

Lutte contre les déserts médicaux
La ministre de la Santé annonce aussi dans "Libération" que pour faciliter l'accès aux soins dans les déserts médicaux le gouvernement va ouvrir "très prochainement" plus de 300 maisons de santé pluridisciplinaires et installer les "praticiens territoriaux". "Il y en aura 200 à la fin de l'année", indique-t-elle. "Ce sont des médecins généralistes qui s'installent dans des zones désertées, et on leur assure un revenu garanti de 3 .600 euros par mois."

La ministre de la Santé promet aussi que les "critères des contrats" des mutuelles seront "renforcés" dans la prochaine loi de financement de la Sécurité sociale, présentée jeudi, car "la qualité des complémentaires santé doit être garantie aux Français". Sur les droits des patients, Marisol Touraine affirme qu'ils vont "franchir une nouvelle étape", avec "dès l'année prochaine la possibilité d'actions de groupe en matière de santé". Plus globalement, explique la ministre, la stratégie nationale de santé ne vise ni à "étatiser la médecine générale ni à marginaliser l'hôpital, mais à organiser le parcours de soins autour du patient".
Selon le quotidien "Libération", le gouvernement a par ailleurs l'intention de relancer le dossier médical personnalisé pour faciliter l'échange d'informations entre professionnels de santé, au premier bénéfice des personnes âgées ou atteintes de maladies chroniques.

Lundi, Marisol Touraine doit détailler la stratégie du gouvernement en matière de santé. Début février à Grenoble, le Premier ministre Jean-Marc Ayrault avait plaidé pour "une réforme structurelle de notre système de santé", afin de mieux organiser le parcours de soins de chaque patient, tout en réduisant les inégalités croissantes d'accès aux soins. Reste à savoir comment sera financée cette stratégie, dans un contexte de contrainte budgétaire.

Commentaires

La touche " de ton clavier est-elle coincée?
Au fait, une parenthèse ouverte attend d'être fermée, ou si tu préfères, les parenthèses vont par deux! Peut-être ne sais-tu plus compter jusque là!

Écrit par : JPD | 23/09/2013

Wahouu !!!! Pourquoi autant d'agressivité dans les commentaires ? Article très intéressant. Merci

Écrit par : comparateur de mutuelle | 27/09/2013

Les commentaires sont fermés.