Les Secrets de Saint Pierre

TABLE D’ORIENTATION à Kerhostin
PHASE 1
VAK du 5 juin 2013
Lors de l’assemblée générale de 2012 nous nous étions fixés un objectif pour cette année 2013 :
L’ETUDE ,LA CRÉATION, LA FOURNITURE et LA MISE EN PLACE D’UNE TABLE D’ORIENTATION SITUÉE COTE OUEST.
Nous arrivons au terme de la première phase et on peut constater que déjà la dalle à été coulée.
Cette première étape n’a été possible qu’avec accord de la municipalité et du conservatoire du littoral qui ont approuvé le projet et son installation.
Le panoramique est réalisé , il sera mis en place courant JUIN après réalisation de la table réceptrice.
Des informations complémentaires seront fournies au fur et à mesure de l’avancement des travaux
à suivre….
TABLE D’ORIENTATION
Phase 2
VAK du 11 juin 2013
LA DEUXIEME PHASE NECESSAIRE A L’IMPLANTATION DE LA TABLE D’ORIENTATION EST TERMINEE.
ELLE CONSISTAIT TOUT D’ABORD :
A CREER LES COFFRAGES ET LES ARMATURES (FERRAILLAGE).
A CALER ET ETAYER SUR PLACE TOUS LES ELEMENTS DEVANT RECEVOIR LE BETON
A PREPARER LE BETON ET A LE COULER DANS LES STRUCTURES MISES EN PLACE .
A DONNER LE COUP DE TRUELLE FINAL AVANT DE PROTEGER LE TOUT EN ATTENDANT LE SECHAGE
TOUT CECI AVEC DES BENEVOLES ET SURTOUT GRACE A »PIERRICK » ET SA TECHNICITE.
MERCI AUX SERVICES TECHNIQUES POUR LES PRETS DE MATERIELS
DECOFFRAGE : TRES BIENTOT…………………………..A SUIVRE

La cartographie, champ de bataille des géants du Web et de l'électronique
Les Echos du 11 juin 2013

Nicolas Rauline

Apple, Google, Microsoft ou Facebook avancent leurs pions dans ce domaine.
Les géants visent le marché publicitaire, mais aussi la commercialisation de services.
La bataille autour de Waze illustre le champ de bataille technologique qu'est devenue la géolocalisation. Car la start-up israélienne (lire ci-dessous) a bien attiré l'attention de tous les géants du Web et de l'électronique, de Google à Facebook en passant par Apple, désireux de ne pas laisser échapper une nouvelle brique technologique. L'objectif de ces géants est de conserver - ou de gagner - la confiance des utilisateurs, en leur offrant toujours plus de services, gratuits la plupart du temps. Avec, en point de mire, le marché prometteur de la publicité locale. Selon le cabinet Berg Insight, le marché de la publicité géolocalisée sur les terminaux mobiles pourrait passer de 526 millions d'euros dans le monde en 2012 à 6,5 milliards d'euros en 2017. L'idée est de proposer aux commerçants locaux d'envoyer des offres géolocalisées et ciblées aux utilisateurs de ces services, selon l'endroit où ils se trouvent et selon leurs goûts.
Google Maps dominateur
Tous les géants du secteur ont donc investi dans le développement de systèmes cartographiques. Pour tenter de concurrencer Google, Microsoft avait déjà lancé Bing Maps, utilisé notamment par Facebook pour son système de géolocalisation Facebook Places, qui permet aux utilisateurs du réseau social d'indiquer où ils se trouvent. Apple, qui utilisait Google Maps sur tous ses terminaux, a créé sa propre application, Plans, à partir d'un partenariat avec TomTom, il y a un an. Nokia a également développé son propre système, après le rachat du spécialiste Navteq en 2007 pour 8,1 milliards de dollars. En France, PagesJaunes compte toujours sur Mappy, dont il a sorti une nouvelle version il y a quelques jours, pour concurrencer les géants américains.
L'acquisition de Waze pourrait permettre à Google de conserver une longueur d'avance sur la concurrence. En développant son système de prise de vues satellite Google Earth ou son système de visualisation des rues Street View, puis en les intégrant à son produit Google Maps, Google s'était déjà imposé comme la référence en la matière. Selon comScore, l'application mobile de Google Maps équiperait les deux tiers des smartphones aux Etats-Unis, alors même qu'Apple a tenté de court-circuiter son rival en imposant sa propre application par défaut dans tous les iPhone. Outre-Atlantique, toujours selon comScore, plus de 70 % des internautes ayant visualisé une carte en ligne l'ont fait via Google Maps.

La bataille de l'auto
Google pourrait certes avoir perdu un peu de part de marché sur les douze derniers mois, depuis qu'il a rendu l'utilisation de Google Maps payante pour certains professionnels. Foursquare a ainsi cessé de s'appuyer sur Google Maps pour son service, pour privilégier une solution ouverte et gratuite, Open Street Map. Au-delà de 25.000 visualisations par jour, les sites utilisant le système de cartographie de Google doivent en effet payer. Les revenus générés par Google seraient pour le moment peu significatifs, les offres débutant à 10.000 dollars par an, mais il s'agit d'une voie explorée pour commencer à rentabiliser un système qui génère encore très peu de revenus.
Le prochain champ de bataille du secteur pourrait bien être la voiture, un argument supplémentaire pour expliquer les convoitises dont Waze fait l'objet. La prochaine étape, pour ces logiciels de cartographie, devrait être de concurrencer les GPS traditionnels. Selon la presse américaine, Apple aurait lourdement investi, récemment, pour connecter l'iPhone au tableau de bord de certains constructeurs. Une fois le smartphone reconnu par le véhicule, l'application Plans pourrait être affichée en lieu et place du GPS. Le conducteur pourrait alors interagir avec elle grâce au système de commande vocale Siri. Si Google mettait la main sur Waze et intégrait un système de trafic en temps réel pour être informé des embouteillages, il pourrait prendre un avantage concurrentiel dans ce domaine et passer de lucratifs contrats avec les constructeurs.
Nicolas Rauline, Les Echos
Une opération stratégique pour Google
Si le rachat de Waze se confirme à 1,3 milliard de dollars, il pourrait constituer l'une des plus grosses opérations pour Google.
L'acquisition la plus onéreuse pour le moteur de recherche reste celle de Motorola, conclue en 2011 pour 12,5 milliards de dollars.
Le rachat de Waze se classerait juste derrière celui de la régie DoubleClick (3,2 milliards de dollars en 2007) et de la plate-forme vidéo YouTube (1,65 milliard en 2006).


Géolocalisation
Le Monde.fr du 12 juin 2013

Une application sur les traces des tags racistes
Les applications pour smartphones exploitant la géolocalisation ouvrent un champ très large de possibilités (voir notre article ci-dessous sur Wikipedia). Et notamment dans le domaine des actions citoyennes. Dernier exemple en date, la Licra, la Ligue contre le racisme et l'antisémitisme, a lancé mardi une application mobile permettant notamment de géolocaliser et de dénoncer les tags racistes. Baptisée "l'app'Licra", elle se veut la "première application antiraciste" et entend "inciter les citoyens à agir" en proposant de "géolocaliser les tags racistes en un clic pour en accélérer les procédures d'effacement". Une fois l'application gratuite téléchargée sur son smartphone, il est possible de photographier et de géolocaliser tout graffiti raciste sur un mur et de transmettre les informations à la plateforme juridique de la Licra, qui les traitera "en un temps record", en collaboration avec "les services municipaux des villes concernées", selon l'association. Pour la Licra, cette application est "une riposte numérique, alors que la France fait face à une importante augmentation des actes racistes et antisémites".

Une fonction géolocalisation pour Wikipedia
L'encyclopédie communautaire en ligne Wikipedia a lancé la semaine dernière une nouvelle fonction de recommandation d'articles fondée sur la géolocalisation. Accessible depuis son site mobile, mais aussi utilisable depuis un ordinateur, la page "à proximité" ("nearby", en anglais) propose une sélection d'articles du site sur des monuments, des lieux ou des musées se situant près de l'utilisateur. Le but est de renseigner sur les alentours, à la manière d'un guide touristique, mais aussi d'inviter les internautes à apporter leur contribution. D'un simple clic, l'utilisateur peut ajouter ses propres clichés, pris avec son téléphone portable.