UA-69286360-1

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

16/04/2013

Faire les poches ?

Montebourg, l'ultra-libéral de Gauche ?

Ce ministre est toujours "mal assis" ! Alors que la Gauche crée une Banque Publique d'Investissement (effets pour l'instant nuls !), il prône la cession de participations majoritaires de l'Etat, dans quelques grandes entreprises... une cohérence totalement assumée par cet ultra-libéral !

33% au lieu de 36%, on voit derrière cette réflexion, le juriste et le calcul des majorités (mais en général on préfère 75% et 25%...).

Comment donc protéger les intérêts stratégiques de l'Etat et ne pas diminuer l'influence de l'Etat ? Eh, bien, en faisant du fric et en soutenant les verts, sa copine Duflot, puisqu'EDF et GDF-Suez sont des "has been" dans le domaine énergétique. Montebourg est devenu ainsi "anti-CO2" à mort, malgré ses efforts répétés en sens inverse à Rouen et Hayange...

Au fond la majorité de l'Etat dans les grandes entreprises énergétiques n'est utile, que lors des grands choix nationaux d'investissement ! mais un "dépanneur" a-t-il vraiment conscience de ces enjeux ?


Montebourg confirme des cessions de participations de l'Etat
Les Echos du 14 avril 2013

Arnaud Montebourg a confirmé dimanche que le gouvernement réfléchissait à des cessions de participations d'entreprises dont l'Etat est actionnaire, tout en excluant de les privatiser.

"Dans certaines entreprises, on a par exemple 36% de participation. On peut passer à 33%, qu'est que ça change ?", a dit le ministre du Redressement productif sur France 5.

Il a évoqué aussi des groupes dont l'Etat détient "85% du capital". Même s'il ne les a pas nommés, "pour ne pas provoquer des réactions inutiles sur les marchés boursiers", il faisait clairement allusion à EDF et GDF Suez, dont l'Etat français détient respectivement près de 85% et 36% du capital.

"Ce sont des choix qui seront discutés devant le Parlement (...). Il ne s'agit pas de les interpréter comme une privatisation", a-t-il assuré.

Les changements envisagés, qu'il avait dévoilés dans une interview début avril au Wall Street Journal dans le cadre des efforts de consolidation budgétaire du gouvernement, sont des "changements qui protègent nos intérêts stratégiques et ne diminuent pas l'influence de l'Etat", a encore dit Arnaud Montebourg.

A la question de savoir si l'expression intérêts stratégiques renvoyait au secteur de l'énergie, il a répondu : "Il n'y a pas que l'énergie, il y a beaucoup de choses, les transports (...), tout ce qui organise la société française."
"Il s'agit de les choisir avec soin, de le faire avec tempérance et en maintenant les intérêts de l'Etat", a-t-il encore indiqué.

Les commentaires sont fermés.