01/04/2013
Poisson ?
La "vénérable" Poste vient de faire une proposition à Madame G...
Devant le déclin du bureau de Poste de Saint Pierre, le courrier sera distribué par "Air Drone Postal" à SPQ, télécommandé par des postiers de Quiberon...
Encore une "sale affaire" entre communes voisines, qui ne mangent plus de "poisson" en commun...
Le groupe La Poste va tester avec Parrot la livraison de la presse quotidienne par Drone
Communiqué de La Poste le 1er avril 2013
Le groupe La Poste et Parrot annoncent le lancement d’une offre de livraison de la presse quotidienne par drone en Auvergne.
Engagé depuis plusieurs années dans un plan de modernisation de ses activités de livraison, le groupe La Poste a décidé d’innover une nouvelle fois en développant un partenariat avec la société française Parrot.
Cet accord a pour but de mettre en place début mai une offre de portage à domicile des journaux en utilisant l’AR.Drone conçu par Parrot. Cette offre sera testée dans la région Auvergne auprès de personnes volontaires. Plusieurs personnalités du web ont déjà donné leur accord pour participer à ce test comme le bloggeur korben ou le E-commerçant Olivier Bernasson afin de retrouver le plaisir du papier.
Ce nouveau drone spécialement développé pour l’occasion par les équipes de Parrot portera le nom de «Air Drone Postal» en référence à l’histoire de l’aéropostale.
Un vingtaine de drones seront pré positionnés dans les bureaux de poste ou centre courrier à proximité des clients pour permettre une livraison avant 7h du matin de la presse. Ils seront pilotés par 20 postiers actuellement en formation.Grâce à sa portée de plus de 50 mètres, l’AR.Drone postal peut facilement atteindre des zones éloignées, franchir un grillage, voler au-dessus de chiens, atteindre un étage élevé.
En fonction de cette phase de test le groupe La Poste et la société Parrot étudieront la faisabilité d’une généralisation de ce service.
Le canular du député Poisson ne fait pas l'unanimité à l'UMP
Le Parisien du 1er avril 2013
Il veut une loi pour protéger les parlementaires portant un nom d’animal aquatique
Laurent Mauron
Jean-Frédéric Poisson, député (UMP) de la 10e circonscription (à gauche), veut faire perdurer la tradition du canular du 1er avril, mais sa blague ne convainc pas son collègue Jean-Marie Tétart.
«Dès demain matin, à l’ouverture des bureaux de l’Assemblée nationale, je déposerai une proposition de loi », lâche Jean-Frédéric Poisson, député (UMP) de la 10e circonscription des Yvelines.
En ce 1er avril, l’élu de Rambouillet a choisi de faire de son nom un canular et donc de tenter d’inscrire une loi au Parlement afin de « protéger les députés qui portent un nom d’animal aquatique ».
« C’est une blague », précise de suite l’intéressé qui, pour autant, situe cette farce dans la plus sérieuse des traditions. « Il n’y a pas de raison d’écarter l’Assemblée de la tradition du canular du 1er avril. Elle a tendance à disparaître alors que nos anciens la vivaient comme un moment de décompression », indique ce docteur en philosophie converti à la politique. Rien ne semble empêcher Jean-Frédéric Poisson de jouer un bon coup. « Le rire doit avoir un statut protégé, même en temps de crise », note encore le parlementaire qui a fait sienne la devise suivante : « Bienheureux celui qui peut rire de lui, il n’a pas fini de s’amuser. » Il est suivi par son homologue UMP parisien Philippe Goujon. « Il m’en a parlé et je l’appuie car la France possède une tradition d’humour et de fantaisie qui doit perdurer. Il n’est pas question d’être toujours sinistre », déclare l’élu de Paris.
L’idée ne fait pas l’unanimité
En revanche, Jean-Marie Tétart, l’autre député UMP des Yvelines au nom à « consonance aquatique », ne goûte guère la plaisanterie. « Je ne suis pas solidaire. C’est décalé par rapport à l’actualité et à ce que les gens pensent et vivent en ce moment. Nous n’avons pas été élus à l’Assemblée nationale pour ça », affirme le député-maire de Houdan.
« Il n’y a pas de quoi en faire un plat », répond Jean-Frédéric Poisson qui pense que personne ne peut lui retirer le fait qu’il « travaille sérieusement ». Pas question non plus, selon lui, de faire gaspiller une minute du « temps précieux » des parlementaires pour parler de ce sujet.
Le Parisien
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