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07/02/2013

Open data, Saint Pierre Quiberon n'est pas le premier de la classe !

Le rappel de la Déclaration des Doits de l'Homme à Madame G...

L'examen des comptes de la Commune de Saint Pierre n'est pas réservé à l'administration fiscale, ni à la Cour des Comptes régionale. Il appartient à nos élus de faciliter cet examen "en toute transparence", afin de pouvoir analyser la "pertinence" des actions engagées et financées par les impôts locaux.

Avant son départ, Madame G doit rendre compte de ses 12 années, de comptabilité "opaque" et non publiée !

Le mouvement "Open Data", qui est une réalité à Rennes, doit devenir un réflex normal dans toutes les communes de France ! Pourquoi ne pas autoriser la publication d'une étude fouillée dans la revue municipale "Dialogue" avec les commentaires appropriés de l'opposition municipale ou sur le site Internet de la Commune ? Pourquoi ne pas analyser les chiffres financiers du "lotissement social de Kerbourgnec", de la "Médiathèque" aux lecteurs plus nombreux que le nombre d'habitants, de "l'Office de tourisme municipal", rapporté aux nombre de visites en hiver, de l'opération "HLM en Centre-ville", de la rénovation du Centre-ville, rapporté aux travaux d'entretien des routes sur toute la Commune, de la publication "écolo" Dialogue, des frais remboursés aux élus municipaux...

La "sainteté" n'est plus de notre époque, l'honnêteté, oui !


Henri Verdier (Etalab), l'ouverture des données publiques n'est pas une mode
Les Echos du 7 février 2013

Nicolas Rauline

Un mois à peine après sa prise de fonctions à la tête d'Etalab, le directeur d'Etalab fixe le cap de la politique d'open data. Pour lui, le gouvernement n'a aucunement l'intention de la remettre en cause. Des débats thématiques vont même être organisés dans le courant de l'année.

Un sénateur PS, Gaëtan Gorce, également commissaire de la Cnil, appelle à une pause dans le développement de la politique d'Open data, en raison des conséquences sur les données personnelles. Que lui répondez-vous ?

Il ne m'appartient pas de répondre à un sénateur ou à la Cnil. Mais ce débat a le mérite de soulever un point essentiel. Le droit à la protection de la vie privée est un droit fondamental, le droit à la transparence de l'action publique l'est tout autant. L'ouverture des données publiques n'est pas une mode. Elle a une longue histoire, qui commence, au fond, par la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen en 1789, avec l'article 15 : « la Société a le droit de demander compte à tout agent public de son administration. » En 1978, la loi Cada (Commission d'accès aux documents administratifs) inscrit dans le droit français l'obligation pour l'administration de publier les documents publics que demande le citoyen. En 2003, les Etats de l'Union européenne renforcent ce droit en l'étendant aux données publiques et en proclamant le droit de réutilisation, introduisant ainsi une dimension de politique économique. Par ailleurs, le droit comporte déjà de sérieuses protections. Sans même parler de la Cnil, la loi de 1951 sur les statistiques publiques ne permet pas par exemple de publier une série de statistiques concernant moins de cinq personnes, ce qui exclut de fait les données personnelles. Et la loi Cada organise des exceptions, en matière de souveraineté, de conflit d'intérêt...

Depuis la mise en place de la politique française d'open data, il a toutefois peut-être manqué un débat concret sur le type de données pouvant effectivement être publiées...

Si ce droit à l'information est ancien, sa traduction dans le contexte de la révolution numérique demande des évolutions. Etalab a moins de deux ans. Nous avons tout d'abord construit la solution technique pour héberger une grande quantité de données publiques, ainsi que le réseau et les processus pour nourrir cette plate-forme. Maintenant, la deuxième étape de ce processus va permettre de faire évoluer le contenu même des politiques publiques grâce aux données.

Dans plusieurs secteurs, comme la santé, certains parlent de blocages...
Le débat et la recherche de bons équilibres ne signifient pas blocage... Dans le cas de la santé, une part des incompréhensions vient sans doute du fait que tous ne parlent pas, en réalité, des mêmes jeux de données... Si un vrai débat est organisé sur le sujet, visant à la définition d'une politique raisonnée d'ouverture des données, pour des bénéfices bien compris, je pense que les inquiétudes tomberont.

Mise à part la santé, quels sont les autres secteurs sur lesquels il est prioritaire de lancer le débat ?
Le Comité interministériel de modernisation de l'action publique (Cimap) de décembre a clairement fixé pour 2013 six thèmes de débat, dans les domaines de la santé, des transports, du logement, de l'éducation, des risques environnementaux et de la lisibilité des prestations publiques. Ces débats seront organisés dans le courant de l'année.

L'emploi, par exemple, n'est donc pas prioritaire ?
Des échanges auront lieu dès cette année, avec Pôle Emploi, des chercheurs, des associations, des start-up, etc. Mais il faut être prudent car la lutte contre le chômage ne peut se résumer à une approche technologique.

Le gouvernement doit encore fixer une feuille de route pour l'administration en ligne et l'open data. Quelles sont les premières pistes ?
Elle sera finalisée dans les prochaines semaines. Elle fixera les grandes lignes du projet : l'importance de se concentrer sur la mise à disposition de jeux de données de qualité, les débats thématiques pour que l'open data accompagne les politiques publiques, la nécessité d'intégrer l'ouverture des données dès la conception des politiques publiques, parce que ces données vont transformer la société comme l'informatique puis Internet l'ont transformée. ...

Votre prédécesseur pointe le manque de moyens d'Etalab. Vous n'êtes pas inquiet ?
Je ne suis pas inquiet car l'intégration d'Etalab au SGMAP (secrétariat général pour la modernisation de l'action publique), aux côtés de la DISIC (Direction interministérielle des systèmes d'information et de communication) et de la DIMAP (Direction interministérielle pour la modernisation de l'action publique), a renforcé la position de l'open data. Nous sommes désormais trois forces, réunies au service d'une même stratégie de modernisation de l'action publique, ce qui nous permet d'être au service de tous les ministères notamment, ou d'être plus proches des collectivités locales.

L'une de vos missions est également de créer un écosystème autour de l'open data. Vous publiez ce jeudi le palmarès du deuxième concours Dataconnexions. Quel regard portez-vous sur les projets actuels autour de l'open data ?

C'est par ce genre d'événements que l'on crée des écosystèmes pérennes et efficaces. La rencontre des porteurs de projets, des administrations, des membres du jury et de nos partenaires est extraordinairement féconde. Cette année, nous avons reçu des projets de grande qualité, en plus grand nombre que pour la première édition : 35 contre 20. Les projets de la première édition se structurent. Cela démontre qu'il y a des modèles pour ces sociétés. Les réussites de projets innovants d'open data valent mieux que tous les longs discours pour démontrer qu'il existe véritablement un modèle économique prometteur. Il y aura trois autres concours, cette année, pour encourager toujours plus l'émergence de nouveaux projets de réutilisation de données publiques.

Une pétition veut libérer les données de la Sécurité sociale
01 Net du 26 janvier 2013

Une pétition réclame que la manne des informations (tarifs, efficacité des soins) détenues par l'Assurance maladie, soit accessible sans restriction.

Cet appel se fonde sur les difficultés avérées pour accéder à ces informations : « Ces données qui composent le paysage de l’offre sanitaire sont aujourd’hui quasi inaccessibles aux acteurs du secteur souhaitant informer les usagers ». Sont concernés, les tarifs des professionnels, des hôpitaux, les informations relatives à la qualité et à la consommation des soins, l'efficacité des médicaments ou la qualité de la prescription

Le président de l'UFC-Que Choisir appelle sur son blog le public à soutenir, comme lui, cette pétition. Alain Bazot rappelle ainsi que l'association a dû « engager d’importants frais pour aspirer les données sur le site AMELI quant à l’offre et aux tarifs des médecins en France, faute de pouvoir les obtenir directement et simplement auprès de l’Assurance Maladie ». Le site Fourmi Santé a même dû fermer, à l'automne 2012, son comparateur de tarifs médicaux après avoir été mis en demeure par l'Assurance maladie.
Inquiétude quant à la position du ministère de la Santé.

La pétition lance ce débat public, à l'heure où les français sont préoccupés par l'accès à des soins de qualité et par la hausse des dépassements d'honoraires restant à leur charge.
Les auteurs s'inquiètent aussi de la position de la ministre de la Santé, Marisol Touraine, qui a déclaré en octobre 2012, « qu'il était du ressort des pouvoirs publics de rassembler les informations sur le système de soin pour les rendre plus accessibles et plus transparentes ».

Cette volonté est, pour les auteurs de la pétition, en contradiction avec celle du gouvernement de généraliser l'ouverture et la gratuité des données détenues par les administraions d'Etat. Nul doute aussi que le soutien public de professionnels de santé (médecins en tête) faciliterait les répercussions de cette appel dans le débat public.

Commentaires

Alors maintenant vous accusez la municipalité actuelle d'être malhonnête. Vous les accusez donc d'escroquerie ou de vol !

attention monsieur hennel ça s'appelle de la diffamation.

Écrit par : johan | 08/02/2013

Oui tu as raison, l'opacité est soigneusement entretenue par les politocards en général et par les guignols locaux en particulierpour qu'on ne se rende pas compte de leurs gabegies et bricolages divers comme les emprunts pourris de la ville d'à côté que l'on y a soigneusement masqué.
avec l'informatique c'est faciele car à part deux ou trois experts comme toi, personne n'y pige quoi que ce soit tellement c'est brouillé.
Remarque tout le monde s'en fout. tout peut se faire sans que personne n'y trouve à redire tellement c'est uncompréhensible. Et puis si on disait quand même quelque chose cela continuerait de plus belle et en plus il y aurait plein d'emmerdes à la clé car ils se serrent tous entre eux. Que veux-tu c'est cela la démocratie. Tiens tu vas voir, y a le Johan qui va protester en disant que tu n'es qu'une andouille et moi un abruti: c'est normal on est des locaux maintenant! des duchentils implantés dans le pays.Il peut gueuler tout ce qu'il veut mais c'est nous qu'avons le fric en attendant d'avoir le puvoir!

Écrit par : Omer Dalor | 08/02/2013

N'a pas intéret à communiquer ses indicateurs de gestion car ca montrerait aussitot les gaspillages. sont tous pareils , leurs langue de bois dans leurs diuscours sert à cacher.
bientot avec les minables au pouvoirs vous allez voir les impots tomber, que vous aurez du mal à payer alors qu'eux vivent très bien en se votant des rallonges. et bientot ce sont les retraités qui vont trinquer , Hollande l'a dit surtout avec sa déculotée avec Merquel et Cameron aujourd'hui.

Écrit par : Buzuc Atao | 08/02/2013

12 années de gestion de la mairie socialisme à Saint-Pierre Quiberon va laisser de vilaines traces dans sa gestion piteuse et une commune éclatée et complètement divisée. 12 années pour rien ! Nous devons tous faire barrage à cette dictature socialiste locale ou peut être même communiste dans la partie immergée de l'iceberg. Il est grand temps que l'opposition s'organise pour mettre à la porte ce type de gestion dogmatique du siècle dernier, passéiste et ringuarde. La presqu'île à une vraie entité. Les villes de Saint-Pierre Quiberon & Quiberon doivent s'unifier et développer un projet de développement commun. Un projet novateur en phase avec notre époque sous le nom d'une même ville. Un axe de travail qui doit favoriser le développement une meilleure gestion financière et un tissu professionnel jeune dans l'artisanat et le commerce. Une politique de la jeunesse pour dynamiser nos écoles et le milieu associatif avec des moyens modernes et performants à disposition. Une maison pour les associations est devenue une urgence et des subventions plus élevées pour donner à nos jeunes de s'exprimer avec envergure. la restauration des voies de circulation et la maintenance rigoureuse des abords sont aussi une priorité. Il faut casser cette tradition française où l'on considère qu'un bon maire est celui qui entreprend de gros travaux. L'essentiel est Aujourd'hui ailleurs. Il est plus important d'avoir une municipalité avec des finances au vert se basant sur une politique de la jeunesse qui apportera une dynamique et un rayonnement à Quiberon et sa presqu'île. L'avenir de Quiberon passera aussi par la nécessité d'apporter de la bretonnitude à nos habitants et à nos touristes en valoriser au quotidien notre histoire, notre culture et notre langue millénaire. Breizh da gentañ !

Écrit par : Mériadec | 09/02/2013

a"Mériadec-Omer Dalor-Bruzuc Atao""ou est donc passé l'opposition à St-pierre-Quiberon?méme pas un mot dans le journal communal pour marquer leur mécontentement.Donc,pour eux tous va bien!Jeanbart dans leur liste aux prochaines élections et ils pouront attendre encore 6 ans avant d'accéder au pouvoir en comptant les vaches qu'il y à sur la commune!Kénavo!

Écrit par : jeansyscan | 10/02/2013

et bien moi j'espère que la prochaine liste ne sera pas de gauche ou de droite. Ca n'a aucun sens dans une petite commune. Il faut des gens d'obédiences différentes unis par le désir de travailler pour leur commune et non pour leur gloire personnelle (ou leur appétit de pouvoir et leur incommensurable orgueil,comme petit nenel)
Il ne faut pas que les réunions publiques du conseil municipal deviennent des chambres d'enregistrement comme l'est celle de Quiberon.
Et il faut qu'ils discutent, quitte à s'engueuler même pendant les séances publiques. Mais il est vrai que pour ça il faut des gens qui aient vraiment des opinions et surtout du courage. Mais souvent les têtes de listes s'arrangent pour prendre des potiches en fin de liste qui n'oseroont pas faire entendre leur voix et diront oui à tout.

Écrit par : johan | 10/02/2013

Le maire de saint pierre et son conseil sont tous sauf apolitique. Ils passe leur temps à fliquer la population et empêcher les gens d'entreprendre et d'être acteur d'une évolution saine et novatrice à saint pierre quiberon. Il est temps d'en finir avec les socialistes à saint pierre. 0ù se trouve l'opposition ? Que fait l'opposition ?

Écrit par : laurent | 12/02/2013

j'aimerais bien que ça change à St Pierre mais malheureusement, j'ai l'impression que l'opposition est aussi sectaire que la majorité, car passer de dictateurs de gauche à des dictateurs de droite ne serait pas de la tarte

Écrit par : johan | 13/02/2013

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