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15/01/2013

Le retard de la presqu'île ?

Pourquoi s'aligner "sur les petits vieux" pour enseigner les techniques modernes ?

L'informatique rebute une partie de la population âgée, car elle est mal enseignée et n'est pas à jour.

L'animateur, restant, après avoir dirigé une équipe de 2 autres bénévoles, qui sont partis, enseigne une matière, qu'il a connue il y a plus de 20 ans dans la région de Florange... c'est dire que le passage de l'ENV, qui proposait 10 postes et une salle pour la vidéo-projection, à la Médiathèque est un bon choix, si les matériels disponibles et les cours sont "a jour" !

Pourquoi enseigner "Word" et quelques rudiments "d'Excel" à des petits vieux, qui ne sont intéressés que par Internet, Messenger ou Skype, la photo numérique, la vidéo (le seul domaine où l'animateur a des connaissances), les nouveautés matérielles (Smartphones, tablettes, liseuses et objets connectés) et une information sur la maintenance élémentaire ?

A l'heure où Windows 8 transforme complètement Windows, pourquoi proposer des cours sur les "fenêtres", à peine ouvertes en 20 ans de rabâchage ?

Les tendances américaines seront celles de l'Europe dans les deux années prochaines... alors halte aux gardiens d'une foi informatique enseignée par des "archéo-chrétiens comme au temps des catacombes !

L'informatique aujourd'hui"se simplifie", ses usages se diversifient ! Place aux jeunes enseignants !


Loisirs et culture, l'informatique à la médiathèque
Télégramme du 15 janvier 2013

Depuis vendredi, la section informatique de Loisirs et Culture s'est installée à la médiathèque. Après sept années passées à l'École nationale de voile et des sports nautiques (ENVSN), c'est l'animateur Bernard Guillaume qui a pris cette décision. Il ne trouvait pas judicieux, ni profitable aux adhérents de poursuivre ses cours d'informatiques avec huit élèves.

Des cours de meilleure qualité

Il a donc décidé de réduire leur nombre à quatre afin d'être plus disponible. «Je n'avais donc plus besoin d'une grande salle, explique-t-il. L'ENVSN nous a accueillis pendant toutes ces années et grâce à eux, nous avons pu proposer cinq sessions par an. Cela représente environ 300 personnes qui ont pu s'initier ou se perfectionner à l'informatique». Avec un public plus restreint, Bernard Guillaume veut améliorer la qualité des cours. «Lorsque la municipalité a décidé de transformer le lieu, explique Catherine Dekeyne, la responsable de la médiathèque, l'un des objectifs était que les associations s'approprient les lieux. Ainsi, l'atelier peinture vient régulièrement visionner des documentaires, la section photo y a également ses habitudes. La demande de Bernard Guillaume allait donc tout à fait dans l'esprit de faire vivre ce lieu, au service de la population». Les projets sont maintenant nombreux afin que la section puisse travailler efficacement avec les bons logiciels. L'animateur souhaite même diversifier l'offre en proposant prochainement un cours de montage vidéo.

Pratique Le vendredi de 10h à 11h30.

Le livre numérique séduit 46 % des jeunes Américains
01 Net du 14 janvier 2013

Selon une étude récente, le livre numérique entre de plus en plus dans le quotidien des Américains de 6-17 ans. Sans pour autant leur faire abandonner le livre papier.
Cécile Bolesse

Le livre numérique continue sa percée et semble désormais séduire la catégorie de consommateurs la plus difficile, celle des enfants. Aux Etats-Unis, le nombre de 6-17 ans ayant lu un livre numérique a presque doublé en deux ans, passant de 25 % en 2010 à 46 % en 2012 révèle ce lundi 14 janvier 2013 une enquête de l’éditeur Scholastic Inc.

Les ebooks semblent être une bonne solution pour pousser les lecteurs récalcitrants vers cette activité. Ainsi 57 % d’entre eux déclarent qu’ils liraient plus s’ils avaient un meilleur accès aux livres numériques. En particulier les garçons. Enseignement étonnant de cette étude, les livres numériques n’éloignent pas ces jeunes des livres sur papier. Ainsi 80 % des sondés qui lisent des ebooks continuent à profiter des livres classiques… pour le plaisir !

Le livre papier à la maison, la version numérique dehors
Parmi les différences entre les deux types de livres, les enfants notent que la version numérique est plus adaptée lorsqu’ils sont hors de chez eux et leur permet de cacher ce qu’ils lisent à leurs camarades. A l’inverse, le livre sur papier garde leur préférence à l’heure du coucher ou lorsqu’il s’agit de partager leurs lectures avec leurs amis.

Enfin, si la majorité des parents se sentent concernés par le temps passé par leur progéniture à lire, 72 % d’entre eux seraient contents de les voir profiter des livres numériques. Francie Alexander, directeur des études au sein de Scholastic Inc., insiste sur l’importance de la lecture, peu importe le support car « l’alphabétisation est un élément clé pour la réussite à l’école et dans la vie. La lecture donnera aux enfants la capacité d’analyser, d’interpréter et de comprendre les informations que nous fournissent désormais les outils numériques. » Sans oublier qu’elle stimulera leur imaginaire.

Commentaires

Minable! Jaloux!

Écrit par : JPD | 15/01/2013

Raisonnement tellement absurde se fondant sur des arguments fallacieux. Cela ne vaut même pas la peine de les réfuter.
Votre tendance à les rabacher dénote un certain ramollicement cerebral chez le petit vieux que vous êtes.

Écrit par : johan | 15/01/2013

Veuiller excuser ma précipitation : ramollissement et non ce que j'ai commis.

Écrit par : johan | 15/01/2013

Les commentaires sont fermés.