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24/07/2012

Vente directe ? même en informatique...

Apple Store, Microsoft Store, de drôles de méthodes commerciales...

La révolution de l'année 2012 se loge "dans les détails" comme le diable !

La commercialisation des logiciels a aujourd'hui définitivement quitté le domaine matériel. Finis les supports, les cartons colorés, les boites en étagère... Les grossistes, les revendeurs de détail... à la trappe !

A la suite d'Apple, qui touche des revenus "en or" de la vente directe des logiciels, Microsoft enfourche le même cheval avec quelques variantes !

Désormais, le prix d'un logiciel est partagé entre le créateur et le vendeur en direct, sans possibilité de négociation. Certaines pratiques, comme le lien avec le créateur, sont désormais interdites...
Le Code de Commerce est "haché menu...sous prétexte qu'il s'agit d'informatique. La publicité est également organisée par le "vendeur en direct", avec un couac de première : comment choisir parmi 500.000 logiciels proposés !

Quels sont les recours habituels lorsque l'on n'est pas satisfait ? Peut-on obtenir un remboursement ?

Bref, une drôle d'organisation pour un profit maximum... L'Europe devrait se saisir rapidement de ces pratiques peu conformes à la règle de la libre concurrence !


Windows 8 proposera des applications payantes à partir de 1,49 dollar
ZDNet.fr du 23 juillet 2012

Microsoft a détaillé les conditions de facturation de son magasin d’applications pour Windows 8. Le prix d’entrée d’une application de 1,49 dollar cache un partage des revenus fluctuant.

Dans un billet de blog, Microsoft a détaillé vendredi comment seront rémunérées les applications sur le store de Windows 8. Les prix de ces applications payantes démarreront à 1,49 dollar à 4,99 dollars, par paliers de 0,50 dollar. Nous sommes loin du 0,79 dollar d’un Apple AppStore. Microsoft choisit de privilégier un prix plus haut, bien élevé vis-à-vis du seuil psychologique du dollar.

Les prix dans d’autres devises sont calculés par la boutique, à l’instar des magasins des systèmes concurrents, qui proposent pour certains de les fixer soi-même par devise, comme le Google Play Store. Le développeur est payé dès que le montant des impayés dépasse les 200 dollars de ventes.

20% de commission à partir de 25 000 dollars
La commission de l’éditeur de Redmond passe des classiques 30% à 20% dès que l’application dépasse les 25 000 dollars de revenus. Peu, voire pas, d’éditeurs de magasins d’applications officiels ont consenti jusqu’ici à une telle concession, s’en tenant à la norme fixée par Apple.
Pour s’assurer l’adoption par utilisateurs et développeurs, Microsoft mise beaucoup sur les versions d’essai, l’une des lacunes des magasins Android notamment.

La monétisation d’une application peut passer par l’achat direct dans la boutique, par la publicité, par l’achat dans l’application (in-app). Le paiement in-app peut passer par le Windows Store ou par un système tiers, détaché de Microsoft. Ce qu’Apple interdit formellement sur ses terminaux, au point de bannir des applications utilisant le bouton Flattr.

Commentaires

quel verbiage.
Bon, la vente maintenant, c'est la jungle, en informatique comme ailleurs
ça vous étonne ?

Écrit par : johan | 24/07/2012

Les commentaires sont fermés.