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13/07/2012

Un breton a au moins 50 amis ?

Le progrès informatique a-t-il besoin d'une régulation ?

La bataille mondiale de l'informatique bat son plein aux Etats Unis, malheureusement pas en Europe ! Microsoft, qui assiste depuis trois ans à la fin de son monopole, croit encore aux principes, qui soustendent ses développements logiciels : plateforme matérielle ouverte aux extensions, connectivité presque universelle, liaison facile vers les serveurs d'entreprises, système d'exploitation multi-plateformes...

Le prochain combat sera en octobre 2012 avec le lancement de Windows 8.

Et les réseaux ? question incontournable aujourd'hui, puisque le PC, la tablette et le serveur de demain seront "connectés" en permanence... L'arrivée des "nuages" personnels est en train de bouleverser la façon de travailler avec l'informatique personnelle et accentue la pression sur les opérateurs de réseau. Au point que le monopole du système d'exploitation est en train d'évoluer vers un monopole de "nuage"...
Amazon est en tête, suivie, de Microsoft, IBM et les indépendants.

Le "nuage" est exigeant : des débits suffisants, une sécurité absolue, une présence universelle...

La fibre est la "seule solution" possible. Déjà l'équipement des réseaux "en fibre" conditionne le développement de cette informatique en nuage...

L'Europe hésite encore entre la réglementation et la libre concurrence : l'informatique serait-elle une exception aux principes de libre concurrence ?


Réseau social, Facebook plébiscité par les Bretons
Télégramme du 12 juillet 2012

95% des Bretons présents sur unréseau social sont inscrits sur Facebook. C'est ceque révèle l'étude d'unobservatoire du numérique, quiétablit le profil du « facebooker » breton et de sesusages sur leréseau social.

On savait que Mark Zuckerberg avait la cote avec son réseau social, imaginé avec ses camarades étudiants de l'université de Harvard. Une première étude du genre, réalisée en Bretagne, montre que les irrésistibles Bretons suivent latendance. Parmi les 48% d'internautes de la région présents sur un réseau social, Facebook ne fait pas dans la demi-mesure puisque seulement5% d'entre eux se refusent toujours à créer un compte. Derrière, Copains d'avant (33%), Twitter (6%), Google+(5%) ou encore Myspace (2%) semblent «hasbeen», selon les données de l'étude du groupement scientifique de mesure et d'analyse des usages numériques (*), M@rsouin, basé à Plouzané(29).

Pour les mordus du réseau social américain, leur motivation est simple, ils s'inscrivent «car leurs amis sont déjà connectés ou pour retrouver des anciennes connaissances ou se faire de nouveaux amis», détaille Adrien Souquet, responsable des enquêtes à M@rsouin.

Hyperconnexion chez les jeunes
Les Bretons suivent les tendances nationales. Tout comme leur profil. On trouve 52% d'utilisateurs masculins, contre 48% pour la gente féminine. De même, plus ils sont jeunes et diplômés, plus les internautes sont accros à Facebook. «Ce qui m'a le plus surpris, c'est la fréquence de consultation, précise Adrien Souquet. 52% des 15-30ans s'y rendent quotidiennement mais aussi 48% des plus de 30ans. La différence, c'est que les jeunes vont aller sur Facebook plusieurs fois par jour, alors que les plus âgés n'y vont qu'une seulefois en moyenne». Par effet de bord, les «facebookers» qui se connectent le plus souvent, mettent à jour plus régulièrement leur statut et possèdent également plus d'amis «virtuels». 53% des Bretons inscrits ont au moins 50 amis. 10% en ont plus de 200. Ils ne sont pas pour autant des «geeks».

Pas moins sociables que les autres
Selon cette même étude, «une personne qui va très souvent sur Facebook dispose d'une vie sociale tout aussi développée qu'une autre personne s'y rendant moins fréquemment». Aucune différence significative n'est observable en termes de fréquence de sorties (cinéma ou concert) entre les addicts et les occasionnels. Souvent montrée du doigt par les détracteurs de Facebook, la protection de la vie privée ne semble pas être un frein pour les internautes. D'une part, la majorité des utilisateurs s'estiment protégés (63%) et, d'autre part, pour ceux qui ne sont pas inscrits, le problème du respect de la vie privée n'entre pas dans leur choix(27%). Ces derniers ne voient tout simplement pas l'utilité de ce réseau social (75%). Enfin, les jeunes «facebookers» (15-29ans)sont 93% à avoir modifié leursparamètres de confidentialité, contre 72% pour les plus de 30ans.

* Les résultats sont tirés d'une enquête téléphonique menée, au mois de février2012, auprès de 2.000 Bretons, âgés de 15 ans et plus. La représentativité est assurée par des quotas sur l'âge, le sexe, la catégorie socioprofessionnelle, ainsi que la taille d'unité urbaine, le tout, pour chacun des quatre départements de Bretagne.
Julien Boitel

Bruxelles veut alléger la régulation dans la fibre optique
Les Echos du 13 juillet 2012

Guillaume de Calignon
La commissaire européenne à la Société de l'information, Neelie Kroes, veut stabiliser le cadre réglementaire jusqu'en 2020. Le prix du dégroupage ne baissera pas, ni le prix de location des réseaux de fibre optique.

C'est un tournant dans la régulation des télécoms en Europe. Neelie Kroes, la commissaire européenne à la Société de l'information, a annoncé un allégement à venir de la régulation dans les réseaux de très haut débit. Première décision, le prix du dégroupage du réseau de cuivre ne baissera pas. C'était une des demandes des opérateurs historiques, comme France Télécom, Telefonica ou Deutsche Telekom. Ce tarif, qui permet à un opérateur tel que Free de louer à France Télécom le réseau de cuivre et ainsi de vendre des offres ADSL, est un des déterminants de l'investissement dans la fibre optique. Et c'est un vrai casse-tête : s'il est trop bas, les opérateurs historiques sont incités à investir dans les réseaux d'Internet à très haut débit mais pas les opérateurs alternatifs, qui paient peu cher pour acheminer l'ADSL. Et s'il est trop élevé, les opérateurs historiques n'ont alors plus intérêt à investir dans la fibre optique puisqu'ils gagnent très bien leur vie en louant leur réseau de cuivre. « Nous ne sommes pas convaincus qu'une baisse du prix de location des réseaux de cuivre conduise à une augmentation des investissements dans la fibre », a déclaré hier Neelie Kroes.

Deuxième décision, « les régulateurs ne doivent pas décider d'orienter vers les coûts les prix de location de la fibre optique », estime la commissaire européenne quand elle se penche sur les prix auxquels les opérateurs qui investissent dans un réseau de fibre optique devront louer de la capacité à leurs concurrents. Ce tarif pourrait même ne pas être régulé, si les opérateurs alternatifs pouvaient accéder à ces réseaux de façon transparente et non discriminatoire. « Nous voulons donner l'assurance aux opérateurs qui investissent que les prix auxquels ils loueront leur réseau ne vont pas s'effondrer », indiquait-on hier à la Commission, où l'on considère qu'il « n'y a pas assez d'investissements dans la fibre optique ».

Développer les réseaux
En effet, Neelie Kroes a fixé des objectifs ambitieux en matière de développement des réseaux à très haut débit. Elle souhaite que, en 2020, la moitié des ménages européens bénéficie d'un accès à Internet d'un débit supérieur à 100 mégabits par seconde. Las, fin 2011, ce taux n'était que de 2 %...
Enfin, dernière décision, ce cadre réglementaire sera stable « au moins jusqu'en 2020 », a ajouté la commissaire à la Société de l'information, qui a rencontré en début de semaine les patrons de France Télécom, Deutsche Telekom, Telefonica et Telecom Italia. Hier, Pierre Louette, secrétaire général de France Télécom a salué « la volonté de définir un cadre réglementaire stable et prévisible, condition sine qua non pour que les opérateurs investissent ». Un texte législatif européen, qui précisera les règles, sera rédigé d'ici à la fin de l'année et sera scruté, à n'en pas douter, par tous les opérateurs.
G. DE C., Les Echos

Pour Microsoft, Apple a tort sur le futur du PC
Les Echos du 12 juillet 2012
Romain Gueugneau

A l'occasion de sa conférence mondiale organisée pour ses partenaires, à Toronto, le géant du logiciel a réitéré sa confiance sur les ventes de PC, alors que le lancement de Windows 8 approche.
Deux visions du monde s'affrontent dans l'informatique, encore et toujours. Contrairement à Apple, qui considère que l'industrie est entrée depuis 2010 et la sortie de l'iPad dans « l'ère post-PC », Microsoft estime de son côté qu'une « nouvelle ère » se profile, notamment avec l'arrivée de Windows 8, dont la commercialisation débutera à la fin du mois d'octobre.

« Dans sa façon de voir l'informatique, Apple a tort ! Les PC et les tablettes peuvent évoluer dans le même univers. Windows 8 en sera justement la passerelle », a expliqué Kevin Turner mercredi, devant 16 000 partenaires du groupe américain réunis à Toronto pour la conférence WPC.

Pour Microsoft, il n'est pas question d'admettre un quelconque déclin des PC, alors que plus de 90% des modèles vendus dans le monde chaque année embarquent Windows. D'ici à 2015, le groupe prévoit que l'industrie pourra écouler 375 millions d'ordinateurs par an (contre 352 millions en 2011).

Un marché atone

Les dernières estimations de ventes publiées hier par les deux cabinets d'étude Gartner et IDC confirment pourtant l'atonie du marché (-0,1% au deuxième trimestre 2012). Aux Etats-Unis, la situation est plus alarmante avec une chute des ventes comprise entre 5,7 % (Gartner) et 10,6 % (IDC) par rapport à la même période l'an dernier. Aux Etats-Unis, Apple continue cependant de croître, avec une part de marché en hausse, proche de 12 %.

Selon les analystes, ces mauvaises performances, sur le marché américain comme dans le reste du monde, s'expliquent certes par le contexte macro-économique compliqué, mais aussi par l'afflux de nouveaux terminaux, comme les smartphones et les tablettes, qui continuent de concurrencer les PC classiques, donnant en partie raison aux prévisions de la firme à la pomme.

Pour prêcher sa bonne parole, Microsoft souhaite s'adresser plus directement aux consommateurs. Le groupe va accélérer l'implantation de boutiques sous sa propre marque. D'ici à juin 2013, le nombre de « Microsoft Stores » devrait quasiment doubler pour atteindre 44 (contre 24 magasins actuellement, tous situés sur le territoire américain). Les dirigeants ont en outre confirmé l'ouverture cette année d'une première boutique hors des Etats-Unis, à Toronto.

Le géant du logiciel n'hésite donc pas à s'inspirer de la stratégie de distribution de son pire ennemi, Apple, pour défendre sa vision du marché. La vitrine sera en tout cas idéale pour promouvoir le lancement de Windows 8 et démontrer tout le potentiel de son système d'exploitation sur tablettes : son propre modèle, la Surface, sera exclusivement commercialisée dans le réseau Microsoft (boutiques et site internet).
ENVOYÉ SPÉCIAL À TORONTO

Commentaires

MOI........plus de 30000.....tous FORMIDABLE......sauf VOUS

Écrit par : dimitri | 13/07/2012

Eh zenbar.... c'est la preuve que t'es pas breton.....sur ton profil facedebouc...t'as pas un seul ami...........faut dire qu'avec ton bonnet sur ta photo.................tu ressembles plus à gargamel qu'au grand stroumph qui sait tout.........et la bise à dadu.........

Écrit par : Séraphin Lampion | 13/07/2012

quel verbiage pour ne rien dire d'interessant !!!!
Monsieur Séraphin a raison votre nombre d'amis sur facebook est proportionnel à l'intelligence de vos propos

Écrit par : johan | 13/07/2012

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