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22/03/2012

Sourire ? L'arme du commerce qui réussit...

L'environnement commercial de Saint Pierre change à la vitesse "grand V" !

Auray attire de plus en plus de clients de la presqu'île. Les grandes enseignes, Leclerc, puis maintenant Super U, agrandissent leur surface de vente et leur méthode d'encaissement. Chez Super U la vente sur Internet avec enlèvement sur entrepôt se développe. Le "front" de caisse s'équipe de 2 caisses "automatiques"...

Petite évolution avant la "grande révolution", préparée au Japon, avec des scanners à reconnaissance du produit sans code-barre. En concurrence avec d'autres innovations, comme le code "2D" ou l'étiquette "NFC"...

Il est certain, que le point faible des grandes surfaces est le délai d'attente aux caisses... mais à Super U on tient encore au contact des clients avec les caissières !

Ce fameux sourire est essentiel dans le commerce de proximité de la presqu'île. C'est une arme incontournable pour ceux, qui veulent revoir "le client"... Que certains de nos commerces s'exercent "en stage", il y va de leur survie !


Super U à Auray, en travaux pour passer de 2.000 à 2.500 m²
Télégramme du 12 mars 2012

Le magasin SuperU est en plein chantier. Finmai, une fois les travaux d'agrandissement achevés, sa surface de vente aura augmenté de25%.

Le magasin Super U fait partie du paysage commercial alréen depuis plus de dix ans. L'année où les Mousquetaires de la distribution décidaient d'implanter leur enseigne zone de la Porte Océane remonte en effet à 2001.

Coup de neuf
En 2006, Super U reprenait le flambeau sans modifier la surface du supermarché, à savoir 2.000 m². «2001-2011, entre les deux, une décennie. Il était plus que temps de donner un coup de neufàl'outil», lance Robin Conan, directeur du magasin pour justifier les travaux de rénovation et de modernisation entamés en fin d'année dernière. Et qui doivent prendre fin en mai. Sur les plans, ils sont destinés àfaire passer la surface de vente de 2.000 à 2.500 m². «Nous poussons sur les murs des deux côtés», précise le directeur.

Améliorer le confort d'achat
L'objectif est double: élargir les allées et offrir un choix plus vaste de produits frais. «Nous avons vocation à être un commerce de proximité. Il est important d'accorder une place prépondérance à l'alimentationque nous avions eu peut-être tendance àne pas privilégier dans un passé pas si lointain», insiste le directeur. Dans la foulée, les réserves du magasin vont gagner du terrain. «Là aussi, notre but est d'augmenter le confort d'achat de nos clients. En pouvant stocker plus de produits, nous limitons les risques de ruptures d'approvisionnement des rayons, qui sont toujours nuisibles aux consommateurs. En augmentant les réserves, nous améliorons également les conditions de travail de nos salariés».

L'ensemble du mobilier intérieur sera aussi totalement changé.
«Le challenge est de parvenir àle faire sans importuner les clients. Le plus dur, c'est de réussir à coordonner chacune de nos actions. Mais j'ai dans ce domaine quelque expérience qui me sera bien utile au moment où nous allons passer à l'acte», glisse avec un léger sourire Robin Conan.

Les caisses maintenues
Une chose est sûre: cette rénovation ne s'accompagnera pas d'une suppression des hôtesses de caisse. «C'est contraire ànotre politique commerciale. Le client doit être servi le mieux et le plus rapidement possible. Et cet objectif ne peut être atteint sans la présence de personnels», affirme Robin Conan qui annonce cependant l'arrivée d'une ou deux caisses automatiques. «Une nouvelle fois, ce sera au bénéfice de nos clients. Une personne qui vient tous les matins acheter une baguette et le journal n'est peut-être pas obligée d'attendre dix minutes pour payer». Quant au montant total des travaux, impossible de le savoir. Ce serait une information a priori bien trop précieuse pour le concurrent d'en face.
• Yann Le Scornet

Dites adieu aux code-barres !
Daily geek show du 21 mars 2012

Fini les queues interminables aux caisses… Les codes barres ont signé leur arrêt de mort dans les supermarchés : une caméra se charge d’identifier tous les produits à leur place. Un scanner efficace et rapide pour gagner du temps !

Qu’y a-t-il de plus ennuyant aux supermarchés, que de faire la queue ou de chercher le bon code barre d’un article ? Toshiba a développé pour vous un système qui va simplifier la vie de tout le monde ! En effet, cette entreprise a créé de nouvelles caisses équipées d’une caméra qui reconnaît chaque produit. Pour cela, cette machine utilise un logiciel de reconnaissance des motifs qui pourra décrypter les étiquettes, les produits frais (comme les fruits ou les légumes) et les emballages des produits.
Mais ça doit être lent non ? En bien figurez-vous que non, car cette machine peut même reconnaître le produit lorsqu’il est en mouvement ! Ainsi vous pourrez bénéficier d’un gain de temps énorme et jeter aux oubliettes les codes barres qui ne fonctionnent jamais. Bien sûr, encore faut-il que la machine reconnaisse bien votre article… Ça serait dommage de payer une banane à la place d’un grille-pain. Mais bon, on leur fait confiance ! ;-)
Les codes barre c’est tabou, on en viendra tous à bout ! Prêt à révolutionner les supermarchés ?

La maison de la presse change de mains à Quiberon
Ouest France du 16 mars 2012

La maison de la presse, c'est 3 000 titres, une carterie, une papeterie, une librairie et deux employés à temps plein toute l'année.

Nicole Brangeon en tient le gouvernail depuis le 2 mai 2008. Native des Pays-de-Loire, elle travaille dans le milieu depuis 1993, et est notamment passée par les bureaux d'un gros diffuseur à Troyes. À Quiberon, la maison de la presse est en liquidation. Elle reprend l'affaire.
Décorée de la Plume d'Or pour les maisons de presse saisonnières en mai 2011, elle fait vite de l'entreprise le numéro un du dépôt de presse du pays de Vannes. « Ce fut une belle récompense. Être diffuseur dans une ville saisonnière n'est pas évident à gérer. C'est beaucoup de travail et de présence. De 6 h à 19 h 30, et jusqu'à 20 h 30 en saison. » Aujourd'hui, elle passe la main aux nouveaux propriétaires, qui travailleront en couple.

Nicole Brangeon prend une retraite bien méritée à Erdeven, où elle a fait construire avec son époux, Jean.
Pour l'entreprise, une page se tourne. Jean-Marie Kragten, libraire à la maison de la presse depuis neuf ans, reste dans la maison. « Ce fut un plaisir de travailler avec Nicole. Ce n'est pas seulement sa méthode de travail, sa rigueur, sa connaissance du métier et son côté pratique. C'est une belle personne. Une amitié s'est tissée, je vais la regretter », soupire-t-il.

Helen Meslier, responsable papeterie et carterie depuis cinq ans, secondait à la presse. Elle a trouvé un poste dans un autre magasin de Quiberon, avec promesse de CDI. « Cela a été une excellente expérience avec l'équipe et les clients. J'en garde un très bon souvenir. J'ai passé quatre années super. »
Nicole souhaite réussite et bon vent à ses successeurs

Elle tire son chapeau : « Je tiens à remercier la fidélité des écoles et de la médiathèque, Solène Le Biavant, directrice depuis bientôt un an. Et bien sûr, les clients, habitants à l'année et saisonniers, qui m'ont si bien accueillie. Il a fallu un an pour les reconquérir. Je pense à ce monsieur belge pour qui je gardais une collection de petites voitures. Pour 40 centimes ou pour 50 €, j'ai toujours réservé le même accueil à ma clientèle. Et mon sourire est gratuit. »

Commentaires

Je trouve croquignolet que les grandes surfaces réussissent à nous convaincre de faire le boulot des caissières à leur place!
Je suis SUR que l'argent gagné par l'entreprise en supprimant des postes de travail se traduira par une baisse des prix. Comme la disparition d quasi totale des péagistes a entraîné une baisse du prix des péages!
Ploutocratie comme on dit sur un autre blog! Et bêtise absolue de nous tous qui croyons y voir un progrès!

Écrit par : JPD | 22/03/2012

Moi,tant que je le pourais ,j'irais à une caisse ou il y une caissiére,bien plus sympha q'une caisse automatique,déja qu'il n'y a pas beaucoup de boulots et que les caissiéres sont payés méme pas au smics,au profit de gr-groupe qui sans mettent plein les poches,quand aux scanners qui identifient tous ce que vous avez dans un caddy,j'espére le plus tard possible,quand ont est en retraite on peut toujours prendre son temps pour faire ses courses,je sais ils y a ceux qui font leurs courses par internet,mais ceux sont des jeunes qui passent des heures pour aller au boulot,aprés récupérer les gamins,alors la je les comprends car à la fin de la semaine ,ils sont Hs,surtout à paris,une ville de fou,ou j'ai travaillé 20ans,mais à mon époque çe n'était pas la méme galére,ont avaient le temps et pourtant ont travallaient plus,jusqu'à 49 h par semaines avec des journées de 9 h et le samedi matin en plus.

Écrit par : j-y LP | 24/03/2012

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