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03/09/2011

Déchèterie à Saint Pierre ?

Travail en commun avec Quiberon ? Commençons par la déchèterie !

La déchèterie du "Rago" souffre de deux maux ! l'éloignement de Saint Pierre et la difficulté de l'étendre... et sa proximité avec le superbe lavoir du Rago !
Aujourd'hui Véolia se pose la question : l'exemple briochin nous montre qu'il faut du terrain, 12.000 mètres carrés, pour faire du bon travail.

Que peut-on faire entre Saint Pierre et Quiberon ?

Choisir un emplacement, qui serait plus proche de Saint Pierre, afin d'optimiser les transports amont et aval, situé sur axe plus performant que la départementale actuelle... Dans le périmètre de la station d'épuration par exemple !

Pourquoi ne pas traiter les déchets verts sur place ?

Le compostage n'est pas une opération complexe ! Transporter à Crach les déchets verts de la presqu'île est une aberration économique !

Plus vert que moi, tu meurs !


Déchèterie, le modèle briochin
Télégramme du 19 août 2011
Les déchèteries gérées par leSmictom des Châtelets sont lesmieux notées de la région. Labellisées par l'office régionale des déchets, cesstructures proposent de plus en plus de filières de tri et derecyclage.

C'était il y a un peu moins de vingt ans: «À l'époque, tous les déchets étaient jetés en vrac dans la décharge de Grève des Courses», se souvient Gilles Merrien. Deux décennies plus tard, les esprits ont sérieusement évolué autour de Saint-Brieuc. Et les infrastructures aussi. À tel point qu'aujourd'hui, le directeur du Smictom (Syndicat mixte intercommunal de collecte et de traitements des déchets) des Châtelets est à la tête du parc de déchèteries la mieux notée de Bretagne.

Les cinq meilleures déchèteries de Bretagne
En se basant sur différents critères (tri, valorisation des déchets, accueil du public...), l'observatoire régional des déchets a en effet observé et labellisé les 250 déchèteries bretonnes. «Et sur 250, seules 5 déchèteries ont été classées au niveau 3, le niveau le plus élevé. Ces cinq structures sont toutes sur le territoire du Smictom», se félicite Alain Jouan, adjoint au maire de Trégueux et président du syndicat. Selon Gilles Merrien, ces bons résultats trouvent leur source dans un choix stratégique. «Dès 1999, nous nous sommes orientés vers les grands espaces. L'idéal, c'est de ne pas avoir un site de moins de 12.000m²», indique le directeur. «Le but, c'est d'aller de plus en plus loin dans la valorisation des déchets et de développer de nouvelles filières».

Réduire le tout-venant
Ces dernières années, des bennes destinées à recevoir des plaques de plâtre, de la laine ou du polystyrène ont ainsi fait leur apparition dans les déchèteries du Smictom. Tout ceci pour, au final, recycler les déchets en matières premières. «Et nous avons aussi été les premiers en Bretagne à mettre en place des bennes pour Emmaüs», souligne Alain Jouan. «Mais en créant toutes ces nouvelles filières, nous sommes tout juste parvenus a ne pas faire augmenter le tonnage du tout-venant (6.300 tonnes l'an passé). Ce tonnage, nous souhaitons le limiter puisque le tout venant part en enfouissement», enseigne Gilles Merrien, persuadé qu'il y a «encore des produits à valoriser».

Une déchèterie novatrice aux Plaines Villes
Reste que pour les responsables du syndicat, l'autre grand axe de travail, c'est l'amélioration et l'ouverture de nouvelles déchèteries. «Nos deux chantiers prioritaires, ce sont Quintin, qui va voir sa surface augmenter en 2012, et Yffiniac, qui est mal situé et vieillissant», explique Alain Jouan qui souhaite déplacer cette dernière déchèterie «plus près des habitations». Reste enfin le cas du secteur nord-ouest de Saint-Brieuc. «C'est aux Plaines Villes que nous souhaitons développer la déchèterie de quatrième génération», se projette Gilles Merrien. «Seulement, il y a urgence à trouver un terrain de 10.000 à 12.000m². Il y a un vide géographique et une attente de la population». Cette déchèterie nouvelle génération, les équipes du Smictom l'ont déjà imaginée: «Aujourd'hui, toutes les bennes sont concentrées au même endroit. Ce que nous voulons, c'est faire éclater ce fonctionnement et créer un parcours pour l'utilisateur, avec sept espaces de dépôt. Ce parcours se terminerait sur la benne du tout-venant, là où serait positionné le gardien».

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