23/06/2011
Les petites annonces ? Modèle dépassé !
L'agenda partagé des loisirs dans son environnement proche ? Un rêve, la Presse locale a du mal à suivre !
Qui ne rêve d'appuyer le matin en un clic sur une application, qui proposerait en fonction de ses goûts et de sa localisation l'ensemble des animations du secteur ?
La tentative de Ouest France est aujourd'hui suivie par Le Télégramme. On peut prédire sans difficulté que ces deux médias "presse" ne sont pas préparés pour cette nouvelle activité, qui requiert des talents informatiques hors de leurs maigres budgets informatiques... Il est très difficile de passer d'un métier "papier" vers des techniques nouvelles sans une équipe de haut vol ! Sans compter sur les réflexes du passé, qui consistent à "monétiser" par la vente d'un journal une information "internet !
Il ne serait pas ininteressant de reconvertir par exemple le "Pays d'Auray", le machin inutile, en agrégateur de données sur les activités locales, à l'image de "Go-Breizh", mis en route par la Région !
Du rêve à la réalité !
Animations, le Télégramme lance un agenda des loisirs
Télégramme du 23 juin 2011
Annoncer gratuitement un concert, une expo, une rando, un vide-greniers, un bal... Rien de plus facile désormais avec le nouvel agenda des loisirs du Télégramme.
L'adresse internet où aller : www.letelegramme.com. La marche à suivre: cliquer sur «Ajoutez vos loisirs à l'agenda», s'inscrire en trois clics, remplir le formulaire d'annonce de votre animation et l'envoyer. Résultats : une parution gratuite et immédiate de l'annonce sur le site internet letelegramme.com ainsi qu'une double publication automatique dans le journal papier au cours de la semaine précédant l'événement. Ceci après validation par le correspondant local du secteur concerné.
Annonce des fêtes locales
Alors que tout l'été, animations et festivités vont battre leur plein, Le Télégramme propose donc à tous les organisateurs d'animations d'utiliser un nouvel agenda des loisirs pour annoncer gratuitement les festoù-noz, kermesses, expositions, repas marins, fêtes nautiques, festivals, épreuves sportives et autres festivités qui rythment la vie des localités bretonnes. Point majeur : envoyée sur internet, l'annonce parvient aussi au correspondant local du Télégramme qui la valide pour parution dans nos colonnes et prend ainsi bonne note de la tenue de l'événement. Mis en service depuis peu, ce nouvel outil a été conçu de façon simple et ludique. Il est ouvert aux associations comme aux particuliers. Comme plusieurs structures déjà, le centre social Ti an Oll de Plourin-lès-Morlaix utilise ce nouvel espace. Et en apprécie les avantages. «C'est moins de mails, moins de coups de téléphone», se félicite Marie-Jo Nouailles, secrétaire d'accueil de cette association de 1.200 adhérents qui propose, bon an mal an, plusieurs dizaines de rendez-vous festifs, ludiques ou culturels. «On peut annoncer un événement à n'importe quel moment, sans impératifs horaires, et on est certain que le correspondant local aura bien l'information. C'est souple et facile».
Un prospectus gratuit généré instantanément
Autre atout de ce nouvel outil: il permet aux organisateurs d'éditer gratuitement un prospectus. En effet, une fois le formulaire rempli, l'usager peut cliquer sur un bouton «Imprimer un prospectus» qui génère instantanément un flyer comprenant les informations clés de l'événement. Libre à l'organisateur de l'imprimer autant de fois qu'il le souhaite ou d'en effectuer ensuite des tirages ou copies pour diffusion. L'agenda des loisirs du Télégramme est d'ores et déjà accessible sur le site internet www.letelegramme.com. Alors, plus une minute à perdre pour une annonce garantie des animations à venir. Pratique Pour annoncer vos animations, connectez-vous sur www.letelegramme.com, rubrique «Nouveau - Ajoutez vos loisirs à l'agenda».
Commentaires
j'ai beaucoup de peine à croire que vous maitrisez les éléments d'un business model de presse quotidienne !
Autre point :j'attends toujours vos explications détaillées sur le remplacement des ressources des campings de Kerhostin et du Rohu (dont vous êtes riverain tiens, tiens) que vous souhaitez voir privatiser dans le budget de SPQ.
Pour ce qu concerne le "drive" à SPQ l'idée est saugrenue. Vous devriez investir dans un abonnement à la revue LSA. La lecture de quelques articles vous permettre de comprendre le ridicule de cette idée.
Écrit par : Isa | 23/06/2011
Je suis d'accord avec "ISA",La commune peut trés bien vendre les camping du Rohu et de Kerhostin a des promoteurs qui se feront un plaisir de constuire des appartements de hauts standings avec une "Marina" au Rohu pour recevoir des voiliers de luxe.Vue les prix des terrains la commune se ferait un argent fou,et vous auriez un port pour mettre votre gr-voilier.Mais avant que ce ne soit fait les poules auront des dents et les écoliers classe le jeudi?
Écrit par : jeanzyscan | 23/06/2011
Il est possible, certes, que vous maitrisiez mieux ! En ce qui concerne la presse locale, je peux vous dire qu'elle a du mal à communiquer l'ensemble des manifestations d'une journée. Il y a un manque certain de "communication" ici, ce qui est dommage ! On apprend ainsi par un compte-rendu que l'on a manqué un concert ou une manifestation musicale de qualité !
Quant à LSA, j'en ai été un lecteur assidu pendant des années ! mais le journalisme professionnel est souvent aveugle... quant à l'évolution des marchés, ceux qui ne génèrent pas de publicité, ils sont tout simplement "ignorés" !
La livraison à domicile est coûteuse. Le "Drive" fait l'impasse sur ces frais là ! Mais il faut du temps au temps...
Quant aux constructions en bordure de mer, la loi littorale l'interdit dans la bande des 100 mètres ! C'est suffisant au Petit Rohu pour réaliser une promenade arborée comme à Saint Julien !
Écrit par : jeanbart | 23/06/2011
Je sois sans doute être idiote, je suis une vieille blonde !!! :-) mais je ne vois pas très bien le but du post. Il faut féliicter Le télégramme de son initiative.
j'attendais d'ailleurs le 24 pour faire état de leur article car je préfère ne pas sortir leurs articles le jour de la parution pour que les gens gardent un intérêt à acheter leur journal.
Écrit par : fran | 23/06/2011
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