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01/12/2010

La peste ! Le chômage rémunéré...

Kerguéhennec, un terrain d'entente, pas possible
Télégramme de Brest du 1 décembre 2010
Kerguéhennec.jpg

Le projet de relance du centre d'art contemporain du château de Kerguéhennec a été adopté. Joseph Kerguéris a justifié le licenciement d'une partie du personnel.

L'avenir du domaine départemental de Kerguéhennec, à Bignan, avait suscité une grosse polémique en juin. Le conseil général, estimant que ce centre d'art contemporain n'apparaissait plus suffisamment attractif, il avait décidé de limoger l'association gestionnaire et d'en reprendre les commandes. Annick Guillou-Moinard a présenté le plan de revitalisation du site qui restera dédié à l'art contemporain mais aura plus d'activités culturelles et se veut plus accueillant pour les familles. Quatorze personnes continueront à y être affectées. La gauche a voté pour ce projet tout en regrettant que les personnels aient dû postuler à leur réemploi et que leurs contrats de travail n'aient pas été automatiquement repris par le conseil général. À ce jour, deux anciens salariés des 14 de l'association, ont été intégrés en tant que d'adjoints administratifs du département et deux ont accepté des contrats à durée déterminée. Les huit autres ont été licenciés économiques et n'ont perçu, selon Hervé Pellois, qu'une part de leurs arriérés de salaire et indemnités de licenciement. Cette position a valu une mise au point de Joseph Kerguéris. «J'ai demandé personnellement à Yves Borius de s'entretenir avec le personnel et je me suis personnellement déplacé. Le souvenir que j'ai gardé de nos échanges est qu'ils n'étaient pas fondés sur des éléments de confiance réciproque. S'agissant de ce projet, il n'a de chance de succès que si ceux qui s'y attellent y adhèrent. J'ai constaté avec regret qu'il n'était pas possible de trouver un terrain d'entente. Je regrette que nous en arrivions là».


Mobilité de l'emploi, la France est un cas "gravissime" !

Certains emplois ici sont "en or massif". A Kerguéhennec le temps de la "pointeuse" est révolu et l'environnement particulièrement soigné.
Eh, bien, quand il faut se reconvertir, on choisit le "licenciement économique", méthode indolore apparemment, mais vecteur important du "chômage rémunéré".

La remise en cause "personnelle" de chacun, direction comme personnel, n'est pas acceptée comme "nouveau rebond" de la vie professionnelle !

Couette "douillette" préférée à la formation ! Pendant ce temps "les chinois travaillent" !

Commentaires

Facile Zenbar qd on jouit de sa petite retraite peinard de donner des leçons de mobilité aux actifs

Écrit par : Séraphin Lampion | 01/12/2010

Ce chateau est un sacré repaire de planqués et de pistonnés alors qu'ils sont tous socialos! vas comprendre! jeanbart!

Écrit par : Rock'y | 03/12/2010

Les commentaires sont fermés.